MEXIQUE : Magdalena libre. Il y a des femmes qui font face

Pero il y a des femmes qui le font face rebeldía.
Des femmes qu’au lieu de demander autorisation, imposent leur existence propre.
Femmes qu’au lieu d’implorar du pardon, ils exigent justice.
Parce que les instructions d’union disent que la femme doit être sumisa et marcher de genoux.
Et, toutefois, quelques femmes font la travesura de marcher dressées.
Il y a des femmes qui cassent les instructions de de rejointe et elles sont mis debout.
Il y a des femmes sans miedo.” ;
Sub Cadres, mai 2006, DF.

magdalena garcá durent 3 Il se remplit de joie savoir qu’a été libéré finalement Magdalena García Durent, indigène mazahua attentivement illégalement en mai 2006 par le gouvernement hypocrite de du Été Mexique, qui administre señorito Enrique Peña Nieto.

Considérée prisonnier de conscience par Amnistie Internationale, Magdalena est passé 18 mois en prison. Aucune des accusations que lui a imposées le gouvernement a été vérifiée. Elle n’est pas un délinquant. Elle est un lutteur social et une grande femme.

Mo’il réjouit, donc, sa liberté de Magdalena, qu’entre autres beaucoup de personnes qui se avec elle, est le travail qu’a fait l’avocat Barbare Zamora. Félicitations et merci pour sa tâche !

Mais cette joie est accompagnée de colère, de rage. Magdalena est un échantillon plus de que la “justicia” ; que nous avons, le célèbre “estado de derecho” ; de duquel font tant de l’étalage les politiciens, c’est une farsa, c’est une tromperie.

Magdalena, comme beaucoup d’autres femmes qui lèvent le puño en signal de rebeldía, est une femme sans peur. Et sa personne, sa dignité et sa gravelosité, est une fenêtre, est une porte qui nous invite à devoir faire quelque chose pour changer ce système qui lentement nous tue, avec ses lois, avec son marché et son argent et ses armes.

À la liberté de Magdalena on unit des nouvelles qui signifient beaucoup. À l’Avant de Peuples en Défense de la Terre, à ces gens que Magdalena a allé soutenir San Salvateur Atenco, ils lui ont accordé un prix de droits humains.
La Mairie Siero, d’Asturies, l’Espagne, le passé 9 novembre a accordé ce prix annuel (6 mille EURO) à l’Avant de Peuples. La candidature a été présentée par le Comité de Solidarité avec l’Amérique latine d’Oviedo.

Cette même année, à Ignacio de la Vallée, un des représentants de l’Avant de Peuples, prisonnier politique dans le pénitencier de sécurité maximale du Plateau, la La Palma, en Almoloya de Juárez, a reçu avant aussi le Prix National de Droits Humains Cadeau Sergio Méndez Arceo (Cuernavaca, Morelos, avril 2007).

Nous avons, donc, qui cette grande organisation qui est l’Avant de Peuples en Défense de la Terre, d’une part le gouvernement mexicain l’attaque, la frappe, viole à ses femmes et elle arrête injustement à ses gens et à auxquelles ils la soutiennent, et le et il les accuse de délinquants. D’autre part, cette même organisation, reçoit, au niveau national et international, des prix de droits humains.

Devant ceci, ce que jolies nos autorités, ce que façon précieuse de s’occuper des demandes du peuple, ce que mensonger sa langue et quelle traître son mot.

Je transcris directement ce qui a dit Magdalena García Durent et lui a publié par le périodique la Journée : “yo demanderait au gouvernement, ce qui je m’aimerais voir dans le pays, il est qu’on fasse des recherches d’abord sur choses et ensuite elles le mettent à un à la prison, parce qu’il n’est pas juste qu’ils te privent de la liberté et ensuite ils te disent que tu es inocente” ;.

Liberté pour les prisonniers et les prisonniers politiciens !

Novembre 12th, 2007

– http://zapateando.wordpress.com/200...

la traduction est moyenne , mais cette femme mérite que l’ont parle d’elle.

LOLITA