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Mon expérience de vie me dit qu’il n’y a rien à faire

Publie le jeudi 1er juillet 2010 par Open-Publishing
3 commentaires

C’est exactement comme au collège. Je me rappelle de mes années de collège. La première année que j’y étais, nous avions un président des étudiants qui avait sa clique et qui décidait des activités pour les étudiants et comment les choses se passaient au collège.

Étant donné qu’on changeait de président à chaque année, évidemment que l’année suivante c’est un proche de ce président de collège qui avait été élu.

Pourtant, il y avait un candidat cette année-là qui était honnête et dynamique et qui semblait pourtant apprécié.

Je me disais qu’il avait une chance. Cependant au bout de la ligne, la grande majorité avait opté pour la "continuité" comme si changer de "clique" n’était pas possible pour une raison que je ne comprends pas. Un peu comme si la vieille clique intimidait tellement qu’on ne pouvait ne pas voter pour leur candidat.

Il se passe exactement la même chose au niveau de la société dans les élections municipales et nationales.

Je ne m’explique pas le phénomène à part comme je l’ai dit plus haut que la clique des élites dirigeantes semble intimider bien des gens.

En effet, on a affaire à des gens prêts à tout : priver les autres d’un revenu décent, briser des vies etc... et c’est pour ne pas qu’ils nous fassent cela qu’on leur donne notre vote. L’ironie, c’est qu’ils nous font cela même si l’on vote pour eux.

Ceux que l’on ne pouvait sentir dans les collèges continuent à être ceux qui dirigent la société.

À partir de cela, on peut comprendre la frustration croissante d’une bonne partie de la population.

Messages

  • Lire "La psychologie de masse du fascisme" de Wilhelm Reich.

    Je suis peut-être encore plus pessimiste que vous : je ne vois ABSOLUMENT aucun moyen pour l’ "humanité" de se sortir du bourbier où elle s’est mise. Et qu’elle disparaisse ne changera pas la face du monde, quoi qu’elle en dise, du haut de sa supériorité surfaite et débile. Il ne reste qu’à vivre...

    • Ah bon ?

      A quoi bon lutter puisque l’humanité "s’est mise dans le bourbier., , c’est ça ?

      Quelle humanité ? Vous qui espérez me gâcher mes vacances, pourriez vous m’expliquer les raisons qui conduisent à ce pessimisme de la" co responsabilité" des bourreaux et des victimes, des exploiteurs et des exploités, des dominants et des dominés..,

      L’humanité VA disparaitre ?

      Ou.. PEUT disparaitre si nous oublions que ces paroles ne sont pas faites que pour animer
      nos cortèges..?

      Du passé faisons table rase

      Foule esclave, debout ! debout !

      Le monde va changer de base :

      Nous ne sommes rien,

      soyons tout !

      Oui, plus que jamais, c’est la LUTTE FINALE.

      .Puisque le Capitalisme n’a jamais été, objectivement sur sa FIN..

      Alors.. SVP.. Amis, laissons aux froussards le pessimisme de la défaite qui n’est certaine que lorsqu’on ne se bat pas

      Ouvriers, Paysans, nous sommes

      Le grand parti des travailleurs ;

      La terre n’appartient qu’aux hommes,

      L’oisif[5] ira loger ailleurs

      Combien de nos chairs se repaissent !

      Mais si les corbeaux, les vautours,

      Un de ces matins disparaissent,

      Le soleil brillera toujours !..

      OUI..si nous comptons, d’un côté nos pieds et de l’autre les culs de la bourgeoisie
      ...............l’ ESPOIR est de ce côté - ci de la barricade !

      Ce serait folie que de ne pas s’en convaincre pour rassembler et vaincre

      Cordialement.

      .

      AC.

    • Le "total délire" de cette société est précisément la lutte : lutter contre la mort, lutter contre la vie, lutter contre la maladie, lutter conter l’amour, la sexuation, l’es expressions de l’enfance, les maladies de l’élevage industriel, les insectes comme les champignons (alors que 95% des plantes sont mycophiles), lutter, lutter, lutter.

      Ce monde n’est qu’une bataille où on veut m’embrigader pour lutter comme il le fait. Le Capital qui lutte contre la pauvreté (hahaha !) pour le bien de l’humanité (hahaha !) et les salariés qui luttent pour leur pouvoir d’achat (hahaha !) !) : tout cela c’est d’une dérision absurde.

      La solution doit être trouvée ailleurs pour pouvoir être autre que ce qui a provoqué autant de dégâts, de malheurs, cette m.rde de vie sociale. Le refus catégorique de la transformation de la moindre activité humaine en TRAVAIL : commençons par là, et déjà la MORALE de l’industrialisation de la vie sera sérieusement sapée.