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NUCLÉAIRE LE FILM

Publie le vendredi 23 novembre 2007 par Open-Publishing
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Alors qu’à Tchernobyl, la catastrophe fut niée, les différents pouvoirs orchestrent aujourd’hui sa prise en main.

Au cœur d’un monde restructuré par la peur, du réacteur à la cour d’école, du travailleur aux populations, la simulation nous dit que l’accident aura bien lieu.

Même lorsque la mise en scène semble ratée, elle atteint ses buts : la soumission des corps, l’habituation des esprits à un monde géré militairement, des individus acteurs de leur propre servitude.

Le film du Groupe LOuise BEcquerel "CECI EST UNE SIMULATION" est
disponible sur le web à ces adresses : sur le myspace nonukatall

CECI EST UNE SIMULATION

CECI EST UNE SIMULATION

http://nonukatall.magnify.net/

et en pièce jointe pdf la deuxième livraison du Bulletin antinucléaire, édité par La CCSN.

 un dossier sur la gestion de crise avant, pendant et après
"l’accident majeur", l’habituation des populations à la catastrophe :

la pseudo réhabilitation des villages contaminées par Tchernobyl

la gestion militaire de la Nouvelle Orléans ;

les simulations d’accidents autour des centrales nucléaires en France ;
la médecine de catastrophe ;

la traduction d’un texte de Mike Davis sur la gestion des quartiers
pauvres au niveau mondial...

 des lectures, des films, des comptes rendus d’activités antinucléaires.

Messages

  • CH/RC en cas d’accident nucléaire : contribuables à la caisse (non au nucléaire)
    Berne (AWP/ats) - L’industrie atomique n’assume pas ses responsabilités, estime l’alliance « Non au nucléaire ». En cas d’accident dans une centrale suisse, ses exploitants ne devront payer qu’une infime partie des dégâts.

    Actuellement, les exploitants d’une centrale nucléaire ne sont tenus de payer que jusqu’à un milliard de francs pour les dégâts provoqués, alors que ceux-ci peuvent atteindre 4300 milliards de francs. Pour le reste, les contribuables y vont de leur poche, ont critiqué différentes organisations mardi devant la presse à Berne.

    Dans le cadre de la révision en cours de la loi sur la responsabilité civile en matière nucléaire (LRCN), le Conseil fédéral souhaite augmenter la couverture des dégâts payables par les exploitants à 1,8 milliard. « Non au nucléaire » trouve cette somme encore trop basse.

    Sous l’égide de Greenpeace, l’alliance comprend le WWF, la Fondation suisse de l’énergie, Sortir du nucléaire et les Jeunes socialistes. Son but est d’empêcher la construction de nouvelles centrales nucléaires en Suisse et d’arrêter la production d’énergie atomique.