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Oh… shocking !... ou l’art du false flag.(3)

Publie le dimanche 30 janvier 2011 par Open-Publishing
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Les groupes de pression, les tyrans, les initiés, les « élus » ont eu le temps d’apprendre à conditionner les peuples afin de les soumettre à leur diktat quand ils ne les asservissent pas. La méthode utilisée est invariablement la même : créer, produire et pérenniser la peur sur leur propre population afin de proposer les solutions n’arrangeant que l’ « élite ». Cette pratique s’appelle le « false flag »… ou agir sous un « faux drapeau » c’est-à-dire commettre l’attentat et faire croire que le criminel est celui que l’on vise.

L’attentat du 11 septembre répond au parfait exemple du false flag… que les adeptes du discours officiel se le disent… et qu’ils le veuillent ou pas.

Lorsque ceux qui se posent des questions et tentent de connaitre la vérité sont traités de négationnistes, la manœuvre prouve bien qu’il existe une véracité que l’on veut à tout prix nous cacher.

Mais cela n’y changera rien car celle-ci finira bien par remonter à la surface… simple question de temps.

Patientons !

Toutefois, cela ne nous empêchera pas d’anticiper ni d’analyser.

Les éléments qui caractérisent le crime du World Trade Center correspondent précisément à la définition du false flag, disions-nous, à savoir :


1.- La parfaite organisation de la phase terroriste.

Balayons d’un revers de la main toutes les vraies fausses preuves officielles accusant les soi-disant « kamikazes » qu’Al Qaida auraient « vomis » car celles-ci, « valables » immédiatement après l’attentat (ce qui renforce la théorie du « choc ») paraissent aujourd’hui d’une stupidité extrême.

Ou plutôt… pareilles preuves seraient des éléments à charge servant à récuser la thèse officielle.

Mais, attardons-nous, plutôt, sur le montage des pièces du puzzle.

a- Occasionnés par la masse de kérosène en flammes, les incendies engendrés par le choc des avions contre les deux tours auraient fait s’écrouler leurs structures… nous dit-on.

Curieusement, d’autres sinistres, notamment celui de Madrid qui aurait duré plus de 24heures, n’eurent pas des conséquences similaires.

On en vient à conclure que les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets.

Cocasse !

Néanmoins, il a été prouvé que le feu n’a pu faire fondre un acier hyper renforcé pouvant, pourtant, résister même à un impact d’avion.

Nous savons aujourd’hui que le point de fusion de l’acier était supérieur à la chaleur de l’incendie. En conséquence, le métal ne s’est disloqué, entrainant l’affaissement des bâtiments, que grâce à un explosif puissant parfaitement identifié que l’on appelle la thermite, mélange d’aluminium métallique et d’oxyde de fer, dont la réaction chimique génère une chaleur intense pouvant atteindre 2 500°C et faisant fondre tous les métaux sauf le molybdène et l’osmium.

Néanmoins, il faut reconnaitre que la préparation de l’attentat avec pareille minutie, la synchronisation entre les impacts d’avion et les explosions étaient parfaites. Je dirais même que ce fut un chef-d’œuvre. On ne peut nier le « travail bien fait », le « boulot de pro » et dans ce domaine le Mossad et la CIA excellent. On ne pourra jamais croire, à l’inverse, à moins d’être spinal, qu’Oussama Ben Laden, pas même capable de gérer ses propres biens et encore moins une pseudo-organisation, puisse faire preuve d’une aussi grande précision, d’une aussi diabolique stratégie parce que cela ne fait pas partie de sa culture, j’entends l’arabe. Ben Laden, ex-membre de l’Intelligence Agency, reste fondamentalement un homme du désert, c’est à dire favorisant le général au détail, l’étendue à la parcelle. Et entendre nos « experts » nous chanter la modernité et la sophistication des grottes de Tora Bora, qui n’étaient, en fait, que des trous naturels sentant les urines à distance, ne peut que nous faire sourire.

b- Imaginons qu’une agence publicitaire nord-américaine, afin de promouvoir un produit, adresse une annonce à des apprentis pilotes les invitant à une formation gratuite aux Etats-Unis laquelle leur permettrait d’achever leurs études en aéronautique. Elle prendrait en charge, évidemment, leurs billets d’avion.

Qui résisterait à offre aussi alléchante ?

Pareille agence, qui n’est rien d’autre qu’un écran pour une organisation secrète fort puissante (je ne dirais pas « gouvernement »… par décence !), ne retiendrait, dans la multitude des candidatures, que celle des élèves « arabes ».

Quoi d’étonnant, alors, lorsque les caméras filmeront l’arrivée de ces derniers, à leur insu, dans un aéroport ?

Il est évident que l’on n’aura aucun mal à leur faire porter le chapeau.

Le public en acceptera la thèse puisqu’on aura auparavant fabriqué le consentement. C’est bien l’hypothèse que je retiendrais. Il faudra dire encore que l’idée ne pouvait être que géniale.

c- La préparation à l’événement fut minutieuse également puisqu’elle commença par une diabolisation des Arabes.

Rappelons-nous, celle de Saddam Hussein en premier lieu et l’accusation concernant les armes de destruction massive pouvant faire exploser la planète… armes qui, au demeurant, n’existaient que dans l’esprit des déments comme Bush et Blair !
Là aussi le consentement avait été fabriqué mais il n’était pas suffisant pour envahir deux pays. Il fallait un argument plus frappant, plus marquant.

Et celui du World Trade Center le fut.

Rappelons-nous, encore, que pendant plus d’un millénaire on nous a fait croire à cor et à cri, c’est le cas de le dire, que l’ami Roland était mort à Roncevaux, égorgé par des Sarrazins… qui n’étaient rien d’autres que des Basques. Décidément les Arabes muent continuellement.

D’Euskariens… ils étaient devenus Gaulois, pendant la colonisation et voici qu’ils endossent la peau d’Auvergnats.

d- Après avoir diabolisé le monde arabe, il fallait présenter les coupables comme des extrémistes purs et durs. Là, encore, l’idée de considérer les présumés coupables comme des radicalistes musulmans me parait fortement douteuse car il est de notoriété publique que Mohamed Atta, leur « chef » fut un grand fêtard qui ne se priva ni de consommer de l’alcool, ni de manger du porc.

e- Un autre argument en faveur du complot mais qui paraitra peut être dérisoire signant néanmoins l’anticipation de l’événement : le film Godzilla, réalisé en 1998.

En y regardant de plus près, dans l’hélicoptère, le journaliste évoque la destruction des deux tours du World Trade Center… deux ans avant l’événement. Coïncidence ou anticipation ? Ni l’une, ni l’autre… le complot parait évident.

(à suivre)

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