¡PODEMOS !

Il en a déjà été question ici. Il y a un petit moment déjà.
J’en remets une couche.
Ça me parait essentiel...

¡Podemos !

We can ! ¡Podemos ! Nous le pouvons !
We can, ça fait pansement. Emplâtre sur une jambe de bois. Yes we can, c’est un coup de défibrillateur sur un capitalisme exsangue... We can, c’est dure à l’oreille. Agressif. Ça m’écorche. Ça me fait peur. Ça fait un bruit de bottes écrasant la misère...

¡Podemos !, c’est rond, c’est doux à l’oreille. C’est un virage. C’est une solution pour éviter de foncer dans le mur. C’est excitent de nouveauté, de jeunesse. ¡Podemos !, ça donne 20 ans. ¡Podemos !, c’est pour bientôt, c’est non violent, c’est calme. C’est pour septembre, le 17, c’est à l’initiative de sacrés malins en Espagne. Un des malins, pour aller au bout de ses idées à roulé 39 banques dans la farine. Ces mêmes banques qui se retrouvent, ridicules, à financer la publicité de ce remède contre le capitalisme, et contre elle même.
Elles n’ont pas aimé, le malin est à l’ombre. Mais sont projet roule. Les document sont édités et circulent. Grâce aux banques. Grâce au banques ? _ Non... Grâce à ce malin qui leur a mis le nez dedans. Ce lascar, c’est Enric Durán.

Ça vaut le coup de lire son idée, son projet. C’est en téléchargement PDF ici, http://oclibertaire.free.fr/spip.php?article540. Ça vaut le coup et c’est solidaire. Solidaire, responsable, engagé. C’est reprendre la main sur des hommes politiques muselés. C’est soutenir Enric Durán et c’est le remercier de prendre soin de nos gamins, avec nous...

Claude