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Retraite : à lire détonnant

Publie le dimanche 17 octobre 2010 par Open-Publishing
11 commentaires

un article à lire et surtout à diffuser sur la face cachée de la réforme des retraites : sur le site de Politis : Savriena, l’entreprise sarkosiste de démolition des retraites par Thierry Brun :

http://www.politis.fr/Sevriena-l-entreprise-sarkozyste,11865.html

Messages

  • et qui se trouve chez medelic
    je vous le donne dans le mille
    Guillaume sarkosy
    chris

  • quand on ne peut pas placer le grand fils !!! on essaie avec le grand frere !!

    notre president a vraiment le sens de la famille

  • Les gaullistes !!! eux-mêmes,
    pour ce qui concerne la retraite par exemple,
    expliquent sur un site que Sarkozy veut :

    "déstabiliser le système de retraite par répartition – l’un des pivots du modèle social français –, et ... faire le jeu du système individuel de retraite par capitalisation – l’un des ressorts du capitalisme anglo-saxon."

    Il faut aller lire cet article :

    http://www.gaullisme.fr/?p=10044

    Je ne sais par si ce lien a déjà été proposé sur ce site.

    En plus d’un commentaire sérieux et documenté
    on peut lire aussi à propos du talent de notre chef d’état :

    "Ainsi le veut le code de cette monarchie républicaine : pour faire de bonnes affaires, il faut faire partie des obligés du Palais et ne contrarier en rien les desiderata du maître des lieux. Et même devancer ses désirs, ou les deviner s’il ne les a pas explicitement exprimés."

    J’ai écrit un petit commentaire.
    J’ai tout censuré.
    Prudence ou lâcheté ?
    Pauvre France.
    On est mal barré !

  • l’article d’origine est sur Politis, l’auteur est Thierry Brun

    Sevriena, l’entreprise sarkozyste de démolition des retraites

    pour recopier un article avec sa mise en forme, il existe sous windows un programme simple : SpipEdit

    http://www.atoute.org/n/article77.html


    Après la "complémentaire santé" obligatoire pour les 180.000 salariés de la Sécu, gérée.... par le groupe de Guillaume Sarkozy, des "syndicats" ont osé demander la négociation d’une épargne retraite obligatoire , ainsi que d’une "assurance dépendance" tout autant obligatoire

    Guillaume Sarkozy pourra remercier ces syndicalistes "méritants" : CFDT, SNFOCOS (cadres FO) , CFTC, CGC

    La Sécu est sabotée de l’intérieur

  • Les gaullistes !!! eux-mêmes,
    pour ce qui concerne la retraite par exemple,
    expliquent sur un site que Sarkozy veut :

    "déstabiliser le système de retraite par répartition – l’un des pivots du modèle social français –, et ... faire le jeu du système individuel de retraite par capitalisation – l’un des ressorts du capitalisme anglo-saxon."

    Il faut aller lire cet article :

    http://www.gaullisme.fr/?p=10044

    Je ne sais par si ce lien a déjà été proposé sur ce site.

    En plus d’un commentaire sérieux et documenté
    on peut lire aussi à propos du talent de notre chef d’état :

    "Ainsi le veut le code de cette monarchie républicaine : pour faire de bonnes affaires, il faut faire partie des obligés du Palais et ne contrarier en rien les desiderata du maître des lieux. Et même devancer ses désirs, ou les deviner s’il ne les a pas explicitement exprimés."

    J’ai écrit un petit commentaire.
    J’ai tout censuré.
    Prudence ou lâcheté ?
    Pauvre France.
    On est mal barré !

  • N’oublions pas le troisième frère : Nicolas Sarkozy, Guillaume Sarkozy, ... et Pierre-Olivier Sarkozy.

    Pierre-Olivier Sarkozy est directement concerné par le passage aux retraites par capitalisation.

    Le 3 mars 2008, Pierre-Olivier Sarkozy a été engagé par la multinationale américaine CARLYLE : Pierre-Olivier Sarkozy est "co-head et managing director" du Global Financial Services Group, dans l’entreprise CARLYLE.

    Son rôle : gérer des fonds.

    Son objectif : faire passer la France dans le groupe des pays fonctionnant avec des retraites par capitalisation.

    Et ça tombe bien : son frère Nicolas a le même objectif !

    Lisez cet article de mars 2008 :

    Un Sarkozy chez Carlyle, l’autre décore Albert Frère : y a-t-il un lien ?

    Deux événements récents, en apparence anodins, ont un double point commun, l’un évident, l’autre plus difficile à repérer.

    Carlyle, géant new-yorkais du private equity (76 milliards de dollars en gestion), vient d’engager Pierre-Olivier Sarkozy. Ce dernier était précédemment co-patron de FIG Investment Banking, une division du suisse UBS. Chez Carlyle, il deviendra, dès le mois d’avril, co-head et managing director du Global Financial Services Group.

    Cette section est très neuve. Fondée en juin 2007, elle n’a pas encore bouclé de transaction mais a déjà attiré quelques pointures, notamment Sandy Warner, ex-président de JPMorgan Chase. Pierre-Olivier Sarkozy a été engagé pour « ses incroyables réseaux et expérience professionnelle, qui aideront Carlyle à capitaliser sur la dislocation du secteur des services financiers », indique la firme dans un communiqué daté du 3 mars.

    Entré chez UBS après avoir été « débauché » de chez First Boston Corporation, il en a rapidement gravi les échelons. Selon le site Internet du magazine Forbes, Pierre-Olivier Sarkozy était n° 10 de l’institution helvétique en 2002, conseillant des opérations pour un total de 312 milliards de dollars ; en 2007, il était n° 5 (514 milliards de dollars).

    Parmi ses faits d’armes, citons la vente de la banque MBNA à Bank of America pour 35 milliards de dollars en 2006. Plus près de nous, il a conseillé ABN Amro dans le cadre de la cession de sa filiale américaine LaSalle à la même Bank of America.

    L’homme est donc de valeur - Forbes titre d’ailleurs son portrait « Big Apple Dealmaker » - mais il ne compte pas, en passant chez Carlyle, complètement couper les ponts avec UBS : « Je continuerai de travailler avec UBS en tant que conseiller et, en retour, de profiter du soutien d’UBS pour les efforts d’investissement de Carlyle dans les services financiers. »

    La seconde information concerne un autre Sarkozy, nettement plus connu : Nicolas, demi-frère de l’homme d’affaires new-yorkais. Le président de la République a décerné au belge Albert Frère l’insigne de Grand’Croix de la Légion d’honneur, la plus haute distinction honorifique française, qui récompense les mérites éminents rendus à la nation. Seules 75 personnes l’ont déjà reçue.

    Albert Frère a en outre bénéficié du privilège suprême d’être l’unique personne décorée lors d’une cérémonie privée, en présence du Premier ministre François Fillon et de la ministre de la Justice Rachida Dati. Quelques jours plus tôt, c’était le canadien Paul Desmarais, l’associé d’Albert Frère, qui recevait la même distinction, mais lors d’une cérémonie publique.

    Rapport évident entre ces deux événements : ils concernent des Sarkozy.

    Rapport plus surprenant : Paul Desmarais a pu faciliter la nomination du demi-frère Sarkozy, vu sa situation de « membre influent du board » de Carlyle, selon Rue89. Un fonds lui-même des plus influents, puisque quelques grands noms sont passés par ses rangs : George Bush senior (de 1998 à 2003) et Junior (1990-1992), John Major (2002-2005), etc.

    Son président actuel n’est autre que Lou Gerstner, ancien patron d’IBM.

    Même si cette fonction de « facilitateur » n’est pas avérée, cela ajoute encore aux liens noués par Nicolas Sarkozy avec le monde des affaires. Pour conclure sur ses relations avec Paul Desmarais, citons sa déclaration faisant suite à un séjour dans la propriété du Canadien, en 2004 : « Quand tu entres dans la propriété, on t’ouvre un premier portail. Ensuite, tu dois faire des kilomètres et des kilomètres avant d’arriver au château... »

    http://trends.rnews.be/fr/economie/actualite/banque-et-finance/un-sarkozy-chez-carlyle-l-autre-decore-albert-frere-y-a-t-il-un-lien/article-1194641944910.htm#

  • ANNEXE : (il parait que c’est CONFIDENTIEL)

    http://www.politis.fr/IMG/pdf/Projet_CNP-CDC-Mederic.pdf

    PROJET DE REGROUPEMENT DES ACTIVITES D’EPARGNE RETRAITE ET D’EPARGNE SALARIALE DE CNP ASSURANCES, DE MALAKOFF MEDERIC ET DE QUATREM