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"Seules 367 femmes porteraient la burqa en France"

Publie le jeudi 30 juillet 2009 par Open-Publishing
15 commentaires

Deux notes des services de renseignement confirment le caractère marginal de cette récente pratique vestimentaire, souvent adoptée par de jeunes femmes militant pour un islam radical, qui a fait l’objet d’une récente controverse.

Moins de 400 musulmanes, 367 précisément, porteraient en France le voile intégral aussi appelé niqab ou burqa, selon une note de la sous-direction de l’information générale (SDIG), a-t-on indiqué au ministère de l’Intérieur mercredi 29 juillet, confirmant une information publiée dans le Monde daté de jeudi.

Ce nombre, a-t-on précisé, est une "première approche rapide qui sera suivie d’une étude plus approfondie". On ajoute de même source que le document où figure ce décompte a été remis au gouvernement au début du mois de juillet, au moment où la mission parlementaire d’information initiée par le député PCF du Rhône André Gerin commençait ses travaux.

Une autre note d’un des services du ministère de l’Interieur, la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), publiée également début juillet, ne donne pas d’estimation mais évoque un phénomène marginal, concernant des femmes jeunes (moins de 30 ans), vivant le plus souvent en milieu urbain et volontaires, voire militantes, pour porter le voile intégral.

La pédagogie plutôt que l’interdiction

Le sujet a fait irruption dans l’actualité le 8 juin quand André Gerin a demandé la création d’une commission d’enquête parlementaire sur le port du voile intégral en France.
Sa proposition a été signée par une soixantaine de députés, appartenant pour la plupart à la majorité parlementaire, et a suscité immédiatement de vifs débats à propos de la pertinence d’une loi pour interdire le voile intégral.

Immédiatement, les représentants des musulmans se sont unanimement dits hostiles à une loi, soulignant que le voile intégral était un phénomène ultra-marginal et que la question devait se régler entre musulmans, plutôt par la pédagogie que par l’interdiction.

De Sarkozy à Obama

Ils critiquaient aussi l’emploi du mot "burqa", qui désigne le voile des Afghanes et qui n’est quasiment pas porté en France, ce que confirment les services de renseignements, mais qui est le symbole d’un islam franchement rigoriste. Ils y voyaient une "stigmatisation" de l’islam en général.

Plusieurs ministres ont considéré également qu’une loi serait inadaptée, tandis que des associations féministes se disaient favorables à une loi d’interdiction, au nom du respect des droits de la femme.

Le président Nicolas Sarkozy avait déclaré que "la burqa n’était pas la bienvenue en France", répondant au président américain Barack Obama qui, dans son discours du Caire, avait critiqué les restrictions au port du voile en visant sans la nommer la France.

Un rapport début 2010

Finalement, il n’y a pas de commission d’enquête parlementaire mais une mission d’information qui a commencé ses travaux le 8 juillet et doit entendre une série de spécialistes ou de personnes concernées par la question du voile (ethnologues, maires, spécialistes des religions, associations, etc). Elle rendra son rapport fin janvier 2010.

Dès la première réunion de la mission parlementaire, André Gerin a précisé un point de vocabulaire, abandonnant burqa et niqab au profit du vocable plus neutre de "voile intégral".

http://tempsreel.nouvelobs.com/actu...

Messages

  • André Gerin a précisé un point de vocabulaire, abandonnant burqa et niqab au profit du vocable plus neutre de "voile intégral".

    La précision est particulièrement floue. On n’a pas fini d’enc.... les mouches quand il va s’agir de définir quand un voile devient intégral. Chez Gérin, communiste qui sert d’alibi à la droite extrême tendance choc des civilisations, il y a autre chose d’intégral, c’est la bêtise.

  • Ben quand ce n’est pas la burqua,c’est la grippe.Mais la pauvreté et l’exploitation que nennie.....momo11

    • Ceci n’est pas une réponse à momo11 mais comment éviter le long commentaire appuyé par une longue citation de wikipedia... qui suit ?

      L’opération montée par Eric Gérin avec son compère André Raoult est une récidive ; les deux s’étaient déjà entremêlés dans un livre qui ne fera pas date dans la littérature politique.

      Je m’étonne néanmoins que le parti auquel appartient le nommé Gérin ne se soit pas clairement démarqué de cette démarche politicienne. Trop riche ou trop puissant l’ancien maire de Vénissieux ?

      On sait bien, pourtant, ce qu’il est toujours advenu des communistes tombés dans le populisme !

      Gilles

    • comment éviter le long commentaire appuyé par une longue citation de wikipedia... qui suit ?

      pkoi tu veux l’éviter ? Il te dérange tant que ça ? Pourtant il dit la même chose que le tien... Alors c quoi ton pb ?

  • Que c’est triste de voir que c’est un député PCF qui a mis cette affaire sur les rails...

    Et se faire couvrir de ridicule ensuite par ce chiffre : 367 femmes. Bon on va dire, plus ou moins, et je ne sais pas quelle est la validité de cette étude ok.

    Mais il suffit de vivre, de se promener dans Paris, dans des quartiers où pourtant, on recense une forte population pratiquant l’Islam - par exemple, dans le 11ème pas loin de certaines des mosquées présentées comme les plus "fondamentalistes". Posez vous une après midi à la sortie du métro Couronnes.

    Vous constaterez comme moi, que bien peu de femmes portent effectivement, la burqa (et même le niqab).

    J’en déduis qu’elles doivent être toutes logées à Vénissieux alors ?

    Ce point de fait "dévoilé"( j’ai pas pu résister ;-)), restent d’autres énormes problèmes :

     comment va t on leur interdire de porter cette tenue ? on leur arrache de force, comme en Iran au temps du shah d’Iran où une police spéciale dévoilait les musulmanes pratiquantes ?

     comment va ton discerner les "provocatrices politiques converties" et celles qui pensent ainsi sincèrement exprimer leur foi , leur respect à leur mari etc ( je ne dis pas que moi je cautionne ces notions je dis "elles existent") ?

    Pire j’entends ce matin à la radio "bon y’en a que 367... POUR L’INSTANT ! MAIS JUSTEMENT cette loi est PRÉVENTIVE" !!! Bonjour le procès d’intention, bonjour le délit de sale gueule...

    On voudrait pousser au crime on ferait pas mieux- limite moi si ça me donne pas envie d’en porter une tiens juste pour voir ce que va me faire "la police de la morale rrrééépppuuubbbllliiicaine".

    Et comparer ça à l’interdiction de signes religieux ostentatoires à l’école publique et laïque alors là je dis arrêtons le délire....C’est d’une mauvaise foi sans nom.

    Pourquoi André Gérin ne s’en est il pas pris aux catholiques intégristes qui manifestent CONTRE l’avortement en face de Saint Nicolas du Chardonnet ? Perso, ils gênent beaucoup plus ma laïcité que les autres et je vais dire pourquoi.

    Les catholiques ont un chef spirituel unique, le Pape, en l’occurrence Benoïte Sixtine, chef qui incarne une Église qui est aussi un Etat, Etat qui a eu pendant très longtemps son DROIT (le droit canon) et ses Banques, et ils forment en soi, dans l’absolu, une Nation ( raison pour laquelle le catholicisme a été si fort dans le monde et encore aujourd’hui).

    Ce qui n’est et n’a JAMAIS été le cas jusqu’à présent pour l’Islam ni pour le judaïsme (car ces religions n’ont pas l’unicité de la religion CATHOLIQUE, religion hégémonique et dominatrice de la branche Chrétienne).

    Là, avec cette religion, il y a un vrai problème de laïcité,ou plutôt, d’indépendance d’un Etat par rapport à un autre, oui.

    Au sens de "SÉPARATION DES ÉGLISES ET DE L’ETAT" ( c à d , en d’autres termes, les curés se soumettent D’ABORD à la loi de l’Etat français et ensuite, à celle de Rome, si elle est compatible).

    Dans le sens révolutionnaire de 1791, antérieur à la loi de 1905 (même si c Ferry qui créa le mot Laîcité) et au Concordat, dont cette loi de 1905 surestimée est l’issue politicienne.

    Parce qu’il y a dans le monde un Etat qui s’appelle le Vatican et qui, transcendant les frontières des Etats politiques, "donne des ordres" par le biais de ses "députés" répandus dans le monde, qu’on appelle les prêtres, les cardinaux, les évêques... des ordres aussi cons, aussi indignes , s’ils le veulent que "non à l’avortement", ou "non aux capotes", ou encore "l’homosexualité est une maladie" et "non au mariage des prêtres et aux ordinations de femmes" etc au MÉPRIS, parfois, DE LA "LOI RÉPUBLICAINE", justement. Celle que votent MM Gérin et ses collègues.

    Rien de tel n’existe dans aucune autre religion que le Vatican à part peut être le Dalaï Lama et son "gouvernement tibétain en exil".

    Il existe ensuite des Etats confessionnels, ou des théologies : Eglise anglicane au Royaume Uni, Iran, Israël, mais rien de comparable à ce Vatican et au catholicisme.

    Alors avant de nous bourrer le mou, en pleine crise, avec des non sujets comme la burqa ou le niqab ou que sais je de "voile intégral" pour 367 bonnes femmes et sans se préoccuper d’avoir réfléchi auparavant à ce que pouvait être la laïcité aujourd’hui en France, il eût été judicieux de bien réfléchir je pense.

    D’autant que si Sarkozy veut vraiment jouer l’enfoiré, il va laisser Gérin "le communiste" s’exciter encore un peu, et s’enferrer dans cette commission bidon, de faire cette proposition de loi, qui sera de toute façon (et non sans raison) identifiée par la majorité des habitants de ce pays comme "anti-musulmane" et il décidera à la fin, magnanime, de ne pas la faire voter .

    Parce que vraiment, c’est trop "stigmatisant".Quelle bande de salauds racistes ces cocos en fin de compte hein...Et on en aura une louche supplémentaire sur Sarkozy l’immigré, l’ouverture aux enfants d’immigrés, (vite vote où sont les faire-valoir Rachida, Fadela et cie ?).... Eh ouai.

    C’est donc vraiment n’importe quoi et je signale en plus que ces femmes qu’on "déburqifiera" de force seront ensuite condamnées par leurs époux à rester chez elles et que PERSONNE n’ira ni ne pourra les aider en rien.

    Pour mémoire je me permets de rappeler un peu l’histoire (source Wikipédia) :

    Avec la Constitution civile du clergé de 1790, les ecclésiastiques français avaient dû prêter un serment de fidélité à la Constitution. Le pape Pie VI a condamné en avril 1791 ce serment qui faisait des prêtres des quasi-fonctionnaires. Une autre des conséquences de la Constitution civile du clergé était l’élection des évêques par les prêtres de leur diocèse, au lieu de la traditionnelle nomination par le pape.

    L’exigence formulée par le Premier Consul (Napoléon donc) de composer un épiscopat à sa guise l’oblige à faire céder à la fois les évêques réfractaires en exil et les évêques constitutionnels encore en place. Le 15 août 1801, le pape Pie VII promulgue deux décisions pour permettre cette réorganisation : le bref "Tam multa" exige la démission des évêques institués par Rome, alors que le bref "Post multos labores" demande celle des évêques élus.

    Cette intervention directe de l’autorité pontificale constitue un acte de haute importance puisqu’elle réintroduit la papauté en tant que source de l’institution canonique, ce qui met fin aux principes de l’Église gallicane. Sur les 81 évêques français encore en vie en 1801, 38 refusèrent d’adresser leur démission au pape et donnent ainsi naissance à la Petite Église.

    Le concordat est un compromis, bref (39 articles), parfois très vague. D’emblée, « la religion catholique, apostolique et romaine sera librement exercée en France » (article 1). À plusieurs égards, le texte, succinct et imprécis, est celui d’un compromis. Archevêques et évêques sont nommés par le gouvernement mais reçoivent l’institution canonique du pape. Le texte stipule en outre qu’il « sera fait par le Saint-Siège, de concert avec le Gouvernement, une nouvelle circonscription des diocèses français ».

    En échange de l’abandon des biens ecclésiastiques vendus depuis 1790, le « gouvernement assurera un traitement convenable aux évêques et aux curés » (article 14). Mais plusieurs dispositions témoignent de la subordination de l’Église vis-à-vis de l’État. Evêques et prêtres doivent prêter serment de fidélité au gouvernement (article 6 et 7), et doivent faire réciter à la fin de l’office divin le Domine salvam fac Rempublicam.

    Seulement les articles organiques, qui mettent en pratique les principes du Concordat, en infléchissent sur bien des points les dispositions. De plus, la reconstruction concordataire n’est que partielle : elle ne concerne pas le clergé régulier, ce qui n’empêche pas son développement – en particulier les congrégations féminines qui connaissent un extraordinaire essor. L’ouverture des facultés de théologie au sein de l’Université impériale fondée en 1808 se solde par un échec, puisqu’elles ne sont pas reconnues par Rome et que les grades qu’elles confèrent ne bénéficient donc d’aucune valeur canonique.

    En 1848, Louis-Napoléon Bonaparte est élu président. Souhaitant conserver le pouvoir, il réussit un coup d’état en 1851. Il rétablit l’empire en 1852, et modifie la constitution. Mais il conserve intact le Concordat signé en 1801 par Napoléon Ier. Il l’applique, à dire vrai, avec une singulière bienveillance, encourageant la pratique religieuse. De la relation bienveillante qui se fait entre le pouvoir et l’Eglise naît une frustration en particulier dans le monde ouvrier, qui se souvient de la répression de l’insurrection ouvrière de 1848. Durant ces incidents, l’archevêque de Paris, Mgr Affre avait été tué alors qu’il cherchait à ramener la paix entre les deux camps. Ce triste événement avait conduit les catholiques de France à réprouver ces insurrections ouvrières, créant une durable opposition entre eux.

    En 1866, Napoléon III prend cependant parti dans la guerre d’indépendance italienne en défaveur du Pape et des états pontificaux, s’attirant les foudres du clergé français, et en représaille un revirement dans l’application du Concordat. De même, Napoléon III refuse de réviser les articles organiques du Concordat dénoncés par l’Eglise.

    Dix-huit ans plus tard, après avoir imposé son pouvoir dans tous les domaines, Napoléon III déclare la guerre à la Prusse : débute la Guerre franco-allemande de 1870. Suite à la défaite de Sedan, Paris refuse de s’avouer vaincu et s’insurge contre le nouveau président, Adolphe Thiers, qui veut traiter la capitulation avec la Prusse. L’insurrection proclame Paris autonome en 1871, se baptise la "Commune", et est dirigée essentiellement par l’Internationale Ouvrière existant depuis 1864. Elle oppose de fait essentiellement le monde ouvrier, soumis à une pression financière forte, à la bourgeoisie, aux royalistes (catholiques), et aux conservateurs provinciaux, tous favorables à une paix rapide avec l’Allemagne.

    La Commune rompt avec le Concordat de 1801, et déclare la séparation de l’Église et de l’Etat. Les classes populaires parisiennes sont en effet assez hostiles au catholicisme, très lié au régime impérial et aux conservateurs. La Commune décide en outre la suppression du budget des cultes, la confiscation des biens des congrégations religieuses.

    Une nouvelle constitution provisoire est rédigée en 1871. Puis Mac Mahon remplace Thiers à la présidence. C’est un légitimiste qui ne fait pas vraiment avancer la cause de la République et reprend des mesures bienveillantes envers l’Eglise catholique. En 1875 une nouvelle constitution est rédigée, instaurant la République en douceur. Mac Mahon démissionne en 1879 et est remplacé par Jules Grevy (qui nomme Jules Ferry comme ministre de l’Instruction Publique, et Charles de Freycinet comme président du conseil). Jules Grevy et ses ministres appliquent le Concordat cette fois dans le sens d’un plus grand contrôle de l’Église. Freycinet fait dissoudre de nombreuses associations, baisse régulièrement le budget des cultes, fait intervenir l’État pour choisir les évêques, fait soumettre tout nouveau texte à l’approbation de l’État, supprime les aumôneries militaires qui viennent d’être créées, soumet les clercs au service militaire, et retire les clercs (et membres des autres religions) des conseils de l’enseignement public.

    Le 28 mars 1880, avec Jules Ferry, il fait interdire les Jésuites dans les écoles, et donne trois mois aux autres congrégations pour se faire autoriser. Il perturbe les relations diplomatiques pontificales, et finalement fait expulser de France les Jésuites et les religieux d’autres congrégations qui ne se sont pas fait autoriser. Son arrêté s’étendra finalement même aux congrégations non enseignantes. Plus de 5 600 religieux de tous ordres sont expulsés du pays. La loi Naquet autorise le divorce pour cause d’adultère. Les cimetières deviennent des lieux civils, et non plus spécifiquement chrétiens.
    Après le renversement de Jules Ferry en 1883, cependant, les choses se tassent, et l’anticléricalisme perd de la vigueur.

    En 1884, Léon XIII qui s’inquiète de la situation en France, publie l’encyclique Nobilissima Gallorum Gens où il dénonce les dérives françaises mais invite les catholiques à collaborer avec le pouvoir en place au bien de la Nation, ce qui représente un premier pas de l’Église vers l’acceptation de la République. Il prône le Ralliement. L’incident du toast d’Alger conduit Léon XIII à clarifier encore sa position. Il rédige alors, en français, l’encyclique Au milieu des sollicitudes qui encourage la légitimité de la Constitution républicaine et le Ralliement. Les catholiques se divisent sur la question, et les Républicains se méfient, y voyant un piège. Des lois antireligieuses voient le jour (taxes et amendes spéciales).

    Émile Combes lui-même hésite à s’engager fermement pour la séparation des Églises et de l’État : en effet, les relations entre les Églises et l’État sont toujours régies en 1904 par le Concordat signé entre Napoléon Bonaparte et le pape un siècle plus tôt, et ce concordat permet au gouvernement de contrôler le clergé français en nommant les évêques. Combes craint de perdre ce contrôle sur l’Église en s’engageant pour la séparation, mais la suite des évènements ne lui laisse guère d’autre solution :

    * d’une part, en juin 1903, une majorité de députés décide qu’il y a lieu de débattre d’une éventuelle séparation et constitue une commission dont Aristide Briand est élu rapporteur ;
    * d’autre part, le pape Léon XIII meurt en juillet 1903, et son successeur, Pie X, n’a pas sa souplesse : les incidents entre la France et le Vatican se multiplient.

    L’interdiction de l’enseignement aux congrégations provoque un conflit avec le pape qui entraine la rupture des liens diplomatiques entre le gouvernement français et la papauté. Et l’on sent bien désormais qu’il n’y a plus qu’un pas à franchir vers la séparation. De plus, le projet mûrit rapidement, parce que le pape, directement touché par les mesures sur les congrégations qui dépendent de Rome s’attaque nommément à Émile Combes.

  • Je peux vous jurer que cette "affaire" (connerie de plus) déplait fortement à la communauté musulmane d’être mis en lumière sur un sujet qui ne touche qu’une toute petite minorité de personnes (l’auteur a raison, la plupart sont des françaises converties:je n’ai rien contre cette conversion mais elles auraient dûs réfléchir avant car cela ne sert qu’aux intérêts nationalistes du gouvernement)

  • J’ai l’habitude de dire ce que je pense et de penser ce que je dis.
    Moi çà me gêne la burqua !

    Si je change de pays hé bien je prendrai la coutume du pays dans le respect de celui ci,
    et je trouve que c’est un manque de respect pour le pays qui les acceuille !

    Faudra t-il leur infliger aussi 40 coups de fouets ?

    Avez vous vu le bordel que çà met dans les hopitaux en angleterre !
    C’est n’importe quoi !
    Les chirurgien qui doivent mettre une burqua chirurgicale pour opérer !!!!

    On peut être un pays d’acceuil sans être un pays de crétin...

  • Les religions ; quelles quelles soient et leurs traditions sont les pires fumisteries que l’humanité puisse connaitre..... et prouvez moi le contraire.

    Varenne

    • Pourquoi, y en a qui ont dit que les religions c’était l’avenir de l’homme ICI, sur BC ???

      Je signale que 340 burquas ça fait pas autant de monde que de travelos au Bois de Vincennes. Si on compte le turn-over ça fait pas le 1/10ème.

      Pourtant ce dernier problème ça mobilise pas tellement les foules, ni les députés, communistes ou non.

      Mais vous pensez peut-être que se déguiser pour mieux se prostituer c’est plus enrichissant que de se planter un voile sur la tronche ???

      Ou que jouer au Drag-Queen ça fait partie du "respect" des "traditions" de la France profonde ??? LOL.

      Sans compter que je pense pas qu’ils sont mieux traités que les "voilées" par leur environnement immédiat.

      G.L.

  • Même si c’est douteux ,cet amour sarkosien d’un principe républicain , le voile sur la figure me semble être une négation de l’être. Donc je suis pour tout ce qui empêche la négation de l’être. Et de toute façon les néo-libéraux ne sont pas contre le voile du moment qu’on touche pas à l’oseille § Donc double discour du nabo , qui utilise la liberté des femmes pour nous étrangler encore un peu plus ( si t’es contre le voile ,t’es avec lui : "MON C..") notre corps est à nous marie.lina