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Signé Brunois et Rey repreneurs de France Chiottes (si on laisse faire)

Publie le mardi 18 avril 2006 par Open-Publishing
2 commentaires

Olivier Rey...

17 avril, RTL :

« Oui j’ai dit que ce qui m’intéressait c’était de savoir si Juninho se tapait une pute. Ça ne me choque pas. »
« J’ai de l’humour ».
« Nous avons peut-être commis une erreur en supprimant dans le plan de reprise complètement le service politique et le service économique. C’est peut-être une faute de carre que nous avons commise. C’est pour ça que je dis que nous pouvons revenir sur certaines choses »
17 avril, Libération :

« Je reste le garant de la sérénité »
« Le risque d’un prolongement du conflit est la liquidation pure et simple de l’entreprise »
« Il faut être réaliste, nous n’avons pas les moyens d’envoyer un journaliste suivre le concert des Rolling Stones au Stade de France. Dans un premier temps, les dépêches suffiront. »
« Dès que la pente sera ascendante, je suis prêt à remettre de l’argent et à embaucher de nouveaux salariés »
« Je comprends le désarroi des salariés, mais je ne suis pas responsable de la situation (...) je reste totalement ouvert au dialogue »
14 avril, AFP :

« Je ne sais pas qui je reprends »
14 avril, Libération :

« Ma priorité est de remobiliser une rédaction fatiguée. (...) il est temps de remettre de l’ordre »
« Il n’est pas question de faire du trash ou de l’obscène. France Soir ne sera jamais un reliquat de The Sun »
« J’irai dès demain au siège du journal pour m’entretenir avec les salariés » (M. Rey n’est jamais venu)
« Je ne sais pas ce que c’est la culture, je suis un journaliste sportif »
13 avril, RTL :

« Tabloïd, c’est un format pas un concept »
« Le CPE, je l’aurais traîté par les faits divers, par les casseurs que l’on n’empêche pas de piquer dans les sacs »
« Depuis le mois d’octobre, France Soir n’est plus en vente que dans la région parisienne »
« Dès que ça commencerait à aller mieux, on rembaucherait toutes les personnes de France Soir »
13 avril, Libération :

« Contrairement à ce que dit une rumeur, je ne suis pas proche de l’extrême droite »
12 avril, AFP :

« On va revenir aux fondamentaux de France Soir »
« Nous allons essayer d’ouvrir le dialogue avec les salariés qui restent, et essayer d’être intelligents de notre côté. J’espère que l’intelligence sera réciproque »

Jean-Pierre Brunois...

15 avril, AFP :

« Nous, on ne licencie personne, il ne faut pas inverser les rôles »
14 avril, L’Humanité :

« Je ne comprend pas pourquoi on s’acharne sur nous. On ne garde pas qu’une cinquantaine de personnes mais aussi les 14 salariés protégés. Même ceux qui ne veulent pas de nous ! (...) Tout le monde devra faire des efforts. Arrêter de prendre ses RTT par exemple. »
« Nous ferons un France Soir qui n’hésite pas à faire sa une sur les frasques d’un homme politique avec sa femme dans une chambre d’hôtel »

Blog des Salariés de France-Soir

 http://www.politicalis.com/signe-br...

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