à propos du documentaire "Soha, retour au pays du Hezbollah"

à propos du Hezbollah, et du Compte rendu d’un 10 avril à Méricourt, porteur d’espoir et de solidarité internationale, voici l’extrait :

A l’issue de ces introductions de hautes qualités politiques et historiques, un film documentaire de 52 mn a été présenté « Soha, retour au pays du Hezbollah » qui raconte l’histoire d’une combattante communiste libanaise, torturée et incarcérée pendant 10 ans dans les pires conditions de détentions et qui revient dans son pays dévasté par l’agression des armées sionistes en 2006.

A travers ce film documentaire, Soha nous fait découvrir la réalité de la politique libanaise, c’est-à-dire la corruption et la traitrise de la bourgeoisie locale, antagoniques avec les efforts humanitaires et de réorganisation du pays… mis en action par le Hezbollah, une organisation si secrète, si disciplinée et si bien organisée que personne, même pas les services du Mossad, n’arrive à l’infiltrer.

Un documentaire passionnant, sur une figure de la résistance Communiste Libanaise

Voici l’introduction de Temps Présent ( le documentaire est accessible en ligne, et peut être acheté sur CD)

En 1988, à 20 ans, la libanaise Soha Béchara tentait d’assassiner le chef de la millice supplétive d’Israël dans le sud Liban occupé. Son acte lui coûtera 10 ans dans une des pires prisons du monde. Installée à Genève depuis sa libération, Soha Béchara retourne au Liban accompagnée d’une équipe de Temps Présent. La guerre a-t-elle radicalisé les jeunes ? Seront-ils nombreux à risquer, comme elle, une opération suicide ? Icône de la résistance, la jeune femme nous ouvre notamment les portes des milieux proches du Hezbollahz.

Soha, retour au pays du Hezbollah

Voir le documentaire

Quand à nos propagandistes, voyons voir.....sur le site d’Yves Rochat, époux de Soha Béchara

Tiens on parle de moi (suite) : Coup de gueule

introduction

Ce n’est plus le Temps, mais le blog de l’animateur de la plainte contre la TSR, Alain Jean-Mairet (AJM). Ce dernier milite pour l’interdiction de l’Islam en Suisse et publie les ôdes et poèmes d’Oskar Freysinger contre le PSS, tout un programme…

Tout commence au détour d’une recherche sur google avec mon nom comme mot-clé

Je tombe sur ce commentaire d’un article sur la Palestine du blog d’AJM signé par un certain Loulou : “c’est drôle tes commentaires ressemblent étrangement à l’argumentation des terroristes gauchistes (ex Ligue marxiste) d’Urgence-Palestine dont la propagande haineuse et antisémite sur les stands dans la rue à Genève ou Lausanne. La bienveillance coupable de certains politiciens verts tel Yvan Rochat époux de Soha Bechara (ex criminelle) qui a ouvert les portes du Hezbolland à la TSR, alors que CNN a toute les peines du monde à se balader seul. Quid du service d’ordre du Hezbollah lors de la manifestation des Verts à Berne en Juillet. Sous le couvert d’antisionisme, c’est aujourd’hui au grand jour la haine antisémite qui déferle en Suisse. ”

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lire la suite, c’est extrêmement instructif....

Lire aussi, concernant Soha Béchara, cet article reproduit sur le site du Parti Communiste genevois

Soha Béchara en butte à l’extrême droite suisse

introduction

Soha Béchara, 39 ans, est une figure emblématique de la résistance à l’occupation israélienne dans le Liban sud. Cette ex-militante communiste a été emprisonnée durant dix ans, sans jugement, dans la prison de Khiam, après avoir tenté d’assassiner, en novembre 1988, en pleine guerre, le général Antoine Lahad, chef de l’Armée du Liban sud (ALS), supplétive d’Israël.

Mais, en Suisse, certains semblent ignorer la complexité de cet épisode de l’histoire libanaise. Depuis l’automne 2006, Soha Béchara, installée à Genève depuis six ans, est la cible d’une alliance réunissant islamophobes d’extrême droite, politiciens de l’UDC (droite nationaliste helvète) et des personnalités isolées de la communauté juive qui la qualifient de "terroriste" et de "criminelle avérée".

Le 20 mars, Soha Béchara a décidé de déposer une plainte pour calomnie auprès du parquet de Genève, contre le principal instigateur de cette campagne, Alain Jean-Mairet - un traducteur qui, sur son site Internet, réclame, entre autres, l’interdiction de l’islam en Suisse - et contre 26 autres personnes, dont trois députés de l’UDC.

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