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aulnay sous bois fichage géneralisé de la population

Publie le dimanche 15 octobre 2006 par Open-Publishing

fichage des populations et banalisation du racisme institutionel ca continue

A Aulnay-sous-Bois, la " délinquance " fichée en réseau

Et une fois de plus le flicage des populations se généralise la encore se sont des populations peu aisée qu’on stigmatise et qu’on jette en pâture a la vindicte pour servir les intérêts électoralistes bassement d’extrême droite de Sarkozy

La police et la flicaille ne leur suffit plus " bienvenue " a Aulnay sous Vichy

A la demande de la ville d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), pompiers, gardiens d’immeubles, agents d’espaces verts et policiers alimentent en fiches de renseignements un outil de prévention de la délinquance.

Les gens fichés comme des cibles et désignés comme potentiellement facteurs de " troubles a l’ordre public " ça ne vous rappelle rien si les régimes fascistes et totalitaires des ex pays de l’est

Le logiciel de cartographie développé par l’Observatoire de la tranquillité ( Sic ) publique d’Aulnay-sous-Bois (80.700 habitants) a été présenté mercredi aux Assises nationales de la sécurité urbaine qui se tenaient à Aulnay, souvent désignée comme un laboratoire des politiques de la ville.

Le totalitarisme sarkozyste et la manière insidieuses qu’il a de se mettre en place

En un clic, il permet par exemple de visualiser les 381 rassemblements de halls d’immeubles répertoriés en janvier 2006, et leur concentration.

Sarkozysme ou Soces dems les deux faces hideuses d’une même politique sécuritaire

Largement utilisé depuis deux ans dans le cadre du Contrat local de sécurité (CLS) ( qui avaient étés crées sous Chevènement et Vaillant , Corto, c’est son nom, recense "les atteintes à la tranquillité publique" les plus diverses, des vols avec violences aux injures.

La cnil une fois de plus complice

Depuis deux mois, cet outil déclaré à la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) connaît un nouvel essor puisqu’il intègre désormais les statistiques de délinquance sur la voie publique transmises chaque semaine par la police nationale.

Ces données sont "juxtaposées" (l’agrégation des données est interdite) aux chiffres fournis par la police municipale, les pompiers, les gardiens d’immeubles des bailleurs sociaux (OPHLM et privés remplissent une "main-courante"), les transporteurs (RATP, TRA, SNCF, CIF), l’Education nationale (chiffres SIGMA) et les agents municipaux (fiches d’incidents).

Une " gauche " faussement inquiète mais qui n’en pense pas moins

Gérard Segura, conseiller municipal PS et chef de file de l’opposition au maire UMP Gérard Gaudron, est peu inquiet : "ce dispositif est moins efficace et contraignant qu’il voudrait l’être", estime-t-il. L’élu est toutefois persuadé que la municipalité "veut aller vers un fichier nominatif", encouragée par le projet de loi Sarkozy sur la délinquance.

Pour Serge Colombié, responsable de l’Observatoire, seul habilité à manier le logiciel, il ne s’agit pas d’encourager la délation. "On ne travaille pas sur des noms ( ben voyons ) mais sur des lieux d’infractions", rappelle-t-il, assurant que la charte de déontologie et le cryptage de certaines informations transmises "a rassuré les partenaires".

Lesquel-les ca bien sur Colombié ne nous le dira bien sur pas silence on vous surveille " pour votre bien et votre sécurité " tel et le mépris et la morgue toujours plus croissante des nervis sécuritaires du totalitarisme Sarkozyste

Et ça continue dans l’horreur.

Les visualisations des infractions ou incivilités, leurs fréquences et horaires permettent "d’adapter plus efficacement les moyens d’action",explique-t-il.

L’outil induit aussi des modifications d’urbanisme ( ou comment rendre l’arrivée des forces de répressions plus pratique on n’en doute pas une seconde ). Dans le quartier de la Brise, des travaux avaient facilité les livraisons de drogues.

Opac Ophlm Bailleurs " sociaux " Collabos

L’aménagement a été "corrigé" par le bailleur, le Logement français, très engagé dans ce type de signalements.

La ville a l’ambition d’aller plus loin, en demandant aux centres sociaux de participer. Les 12 agents de médiation et de prévention de la ville transmettent déjà des fiches "d’ambiance" où ils donnent régulièrement leur sentiment sur le climat d’un quartier.

Malgré les doutes de nombres d’acteurs sociaux et associatifs de la ville le maire de Aulnay sous vichy persiste et ne démort pas de son fichier informatique

"Certains travailleurs sociaux nous ont fait savoir déjà qu’ils n’y participeraient pas", indique Gérard Segura, l’élu d’opposition.

Des travailleurs-ses sociales-aux qui se taisent ou parlent sous l’anomymat sous peines de représailles

Un travailleur social souhaitant taire son nom explique que "ces remontées de fiches finiront par se savoir dans les quartiers et risquent d’exposer dangereusement les médiateurs et les éducateurs, déjà suspectés d’être des collaborateurs et des auxiliaires de police

Si on lui demande, il refusera. "Quand un gosse fracasse une vitre d’arrêt de bus, c’est ce qu’on va faire de lui qui m’intéresse. Pas d’amasser des fiches", dit-il.

NON AU FICHAGE ET AU CADRILLAGES MILITARISES DES POPULATIONS

NON AU TOTALITARISMES DES " ELUS " ET AUX DELIRES SECURITAIRES FASCISTES DE SARKOZY