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nous y sommes

Publie le vendredi 18 janvier 2008 par Open-Publishing
2 commentaires

oui , on peut le dire cette fois , nous y sommes !
l article qui suit est clair , on ne peut plus clair .
le derapage fascisant n est plus un derapage ... c est une glissade !
maintenant il ne suffit plus de commettre un acte .
la participation a une conference de presse peut valoir la prison !
et la suite ?
assister a un meeting ?
surfer sur un site ou un blog de contestation ?
ecrire comme je le fais des informations pour les camarades ?
ce n est pas la boite de Pandore qui est ouverte ,c est celle des pandorres.
la repression est en marche et comme toujours elle sera aveugle et violente.
preparez vous camarades ,voici les signes ...

soutient affiche de fillon a une candidature clairement homophobe aux municipales
sur-flicage de la societe avec camera et pourcentage de plus en plus elevé de flics par habitant
prise de controle des medias classiques et ce n est pas fini
repression accentuée de l opinion
reconduites, forcées ,objectivées et médiatisées aux frontières
asservissement programmée des masses ouvrières.
un premier parti d opposition dont la seule reponse consiste a agiter son index en disant " c est pas bien "

ajoutons
un patronnat "aristocratique" qui tire les ficelles du pantin sarko
tout comme le grand patronnat tirait jadis celles du pantin Hitler.....
j éxagère ?
franchement je préfèrerai..
je préfèrerai me reveiller la nuit pour rien..
mais...

article info region wanadoo :

clandestin du FLNC
Le 16/01/2008 à 14:51

Le tribunal correctionnel de Paris a condamné mercredi à trois ans de prison deux Corses soupçonnés d’avoir participé à une conférence de presse clandestine du Front de libération nationale de la Corse (FLNC) dit "du 22 octobre", dans la nuit du 18 au 19 mai 2003 à Muracciole (Haute-Corse).

La 10e chambre du tribunal a condamné Fabrice Leccia à trois ans de prison, dont 26 mois avec sursis, assortis d’une mise à l’épreuve durant deux ans, et Didier Martinetti à trois années d’emprisonnement, dont deux ans avec sursis, assortis d’une mise à l’épreuve durant deux ans.

Le troisième prévenu, Pierre Confaix, a lui été relaxé.

Lors de l’audience, le 17 décembre, la procureure de la République, Vanessa Perréee, avait requis trois ans contre les trois hommes, poursuivis pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste".

Dissident du FLNC Union des combattants (FLNC-UC), le FLNC dit du "22 octobre" est l’un des deux principaux mouvements indépendantistes clandestins corses. Il s’est signalé la première fois le 22 octobre 2002 par un communiqué revendiquant plusieurs attentats.

Contrairement au FLNC-UC, il n’avait pas décrété de trêve des attentats à l’automne 2003.

La nuit du 18 au 19 mai 2003, une cinquantaine de membres du FLNC du 22 octobre encagoulés et armés avaient tenu une conférence de presse durant laquelle 31 actions terroristes avaient été revendiquées.

Si l’on participe à un tel événement, "c’est parce que l’on "adhère totalement aux idées" qui y sont développées, avait déclaré la procureure. Il ne s’agit pas d’un "acte mineur", avait-elle estimé, mais bien d’"une consécration", car sans cette conférence de presse, "le groupe terroriste n’a pas d’existence publique".

Estimant que l’association de malfaiteurs était "constituée" et qu’une telle entente pour être condamnée n’avait "pas à être rattachée à un acte terroriste particulier", elle avait demandé au tribunal de condamner les trois hommes.

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... la glissade est amorcée ...
et je crains que pour nous elle ne se termine contre un mur .
alors ,mur pour mur ,
si je dois finir contre ,je choisis le mur des fédérés .

a bientot camarades
Makhno

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