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Signez cette pétition : Communistes, nous soutenons Jean-Luc Mélenchon pour 2017

par Francis PARNY

Publie le jeudi 30 juin 2016 par Francis PARNY - Open-Publishing
31 commentaires

Oui, rassemblons-nous, rassemblons-nous autour de la seule candidature d’alternative a ce que les peuples d’Europe rejettent de plus en plus Les propos de Pierre Laurent au Sénat après le Brexit et les propositions qu’il fait sont semblables aux propos de Jean-Luc Mélenchon : retirer immédiatement la loi travail Defense des services publics stop à la dérégulation de notre société Fonds européen .., Oui Jean luc Mélenchon est le candidat déclaré qui porte nos idées N’attendons pas la fin de l’année Prenons position maintenant en invitant les communistes à faire ce choix pour une grande Fete de l’humanité de l’unité et la diversité des insoumis

Signez cette pétition : https://www.change.org/p/communistes-nous-soutenons-jean-luc-m%C3%A9lenchon-pour-2017

Pour 2017 les communistes doivent sans attendre s’engager pour gagner, avec la seule candidature d’alternative déclarée celle de Jean-Luc Mélenchon.

Les présidentielles c’est maintenant qu’elles se jouent. La bataille est engagée. Nous ne pouvons plus tergiverser.

Comme des millions de personnes nous souhaitons que notre vote aux prochaines élections présidentielles soit un vote positif qui permette de véritables et nouvelles avancées démocratiques, culturelles et sociales pour nous toutes et nous tous.

Cela suppose de rompre avec les combinaisons politiciennes, avec le bipartisme qui pérennise une alternance destructrice entre le PS et la droite à la tête de l’Etat.

Comme ailleurs en Europe nous voulons que s’ouvre une autre voie, seule à même de rompre avec la gestion libérale de notre société et d’empêcher ainsi, la montée de l’extrême droite dans notre pays.

Aujourd’hui, la candidature de Jean -Luc Mélenchon est la seule à porter cette alternative.

Elle restera la seule candidature de ce type jusqu’au mois de mai 2017.

C’est pourquoi sans tarder davantage nous avons décidé de la soutenir.

Nous souhaitons que le PCF quitte le processus des primaires qui constitue une impasse.

Nous demandons à la direction du PCF de proposer aux communistes de soutenir la candidature de Jean-Luc Mélenchon.

Nous lui demandons de discuter au plus vite avec lui, avec l’ensemble des forces du front de gauche, partis et société civile, pour qu’un large rassemblement populaire et citoyen accompagne cette candidature.

A partir d’aujourd’hui, tous les actes militants doivent converger dans la construction de ce rassemblement pour le faire gagner.

Signez cette pétition : https://www.change.org/p/communistes-nous-soutenons-jean-luc-m%C3%A9lenchon-pour-2017

Messages

  • Pourquoi pas ?
    Certes JLM ne renversera pas la table ("ne fera pas la révolution vers le communisme") mais au moins, nous allons changer déjà les couverts et les convives en même temps qu’une bonne partie du menu.
    Après ce sera aux forces réellement communistes de terminer le travail.
    Les prolétaires en ont ras le bol du paysage politique actuel, ils sont pris au piège entre le FN, LR et le PS (avec ou sans frondeurs).
    Bien sûr que le PCF doit se décider au plus vite et abandonner son rêve de primaires (avec ou sans PS) et arrêter de penser au coup d’après ; les législatives où il espèrent sans doute avoir des élus grâce au PS. De sa part ce serait une nouvelle trahison annoncée et un pas de plus vers sa disparition.
    Nous ne sommes pas là pour sauver le soldat PS : qu’il crève (y compris les frondeurs).
    A côté de cela, JLM serait bien inspiré, pour ne pas la jouer perso, de présenter une sorte de cabinet fantôme avec les principaux ministrables du futur gouvernement, qu’ils l’accompagneraient durant la campagne. Cela aurait de la gueule et innoverait par rapport aux autres politicards.

    Vive le communisme !

  • de toutes façons , jusqu’à ce jour , je ne vois pas mieux pour une autre république du peuple , et contre les oligarques friqués ! et il lui faudra bien dialoguer avec ceux qui le conforte nt , pour qu’un gouvernement gouverne enfin , pour un bien commun à tous et humain d’abord -
    se référer à son passé est ridicule , le présent seul compte-

  • Je ne sais pas vous, mais moi qui n’ai plus vingts ans, je n’ai plus le temps de passer mon temps à blablater. Donc, je prends un risque (infime) en me bougeant le cul pour JLM2017, parce qu’après, ce ne sera plus moi. Mais qui d’autre pour manifester, tracter, convaincre, coller, etc. Allez la jeunesse merde, c’est pour vous, pas pour nous. Nous on est presque cuit, trop vieux alors, allez, Bon courage !

    • Et nos amis NPA ou autres, préfèrent ils 12 candidats à 1% ou 1 candidat à 12%, telle est la question ?

    • Pour le NPA, dont je ne suis pas, l’intérêt d’avoir un candidat est de participer aux débats pré-électoraux et médiatiser leur ligne politique.
      Ce n’est ni Mélenchon ni un bout de papier dans une boite qui changera quoi que se soit.
      Mélenchon avait dit en 2012 que, lui au pouvoir, il rassemblerai une assemblée constituante afin de créer la 6me république et qu’ensuite il se barrerait. Je ne l’ai jamais plus entendu parler de cette promesse.
      Je crois à la grève générale, je crois au soulèvement populaire, pas à la résurrection du messie en 2017.

    • De deux choses l’une, vous êtes de mauvaise foi ou bien vous ne connaissez pas son blog " l’Ère du Peuple.fr " où il le dis et l’écris régulièrement.
      Maintenant que vous êtes un être sachant, je suis suis sûr que vous allez diffuser cette nouvelle à tous vos cercles d’amis.

    • « Mélenchon avait dit en 2012 que, lui au pouvoir, il rassemblerai une assemblée constituante afin de créer la 6me république et qu’ensuite il se barrerait. »

      Il l’a confirmé lors de la présentation de sa candidature.

      « Je crois à la grève générale, je crois au soulèvement populaire »

      Ben c’était le moment de la grève générale et du soulèvement populaire, sauf que nous n’étions pas des millions à nous soulever, et dans ta boite c’était comment ?

      Mais j’accepte que le NPA et d’autres préfèrent 12 candidats à 1% qu’un candidat à 12%, c’est un choix d’immobilisme, mais c’est un choix.

    • 12 candidats à 1% ou 1 candidat à 12% ?!

      On n’est pas dans le réel, avec des raccourcis pareils, juste dans des jeux d’esprit.

      S’il y a un candidat du NPA (moi je pense qu’ils ont tort de participer à ces élections, mais bon c’est leur problème), alors je voterai pour lui, ou pour celui de LO.

      S’il n’y a pas de candidat du NPA ou de LO, je m’abstiendrai.

      Je ne rentre donc pas dans les cases 12/1 ou 1/12, ce n’est pas si simple.

      D’autre part, cette drôle d’idée (12/1 ou 1/12) repose sur le présupposé : ils sont peu ou prou sur une ligne politique suffisamment proche pour que les plus petits s’effacent, par souci d’efficacité.
      Je ne suis pas de cet avis, les idées et la stratégie portées par Mélenchon ne me conviennent pas du tout, je ne vois pas pourquoi les idées de révolution communiste devraient s’effacer devant les idées de révolution citoyenne.

      La division, le sectarisme, c’est quand on joue la concurrence malgré des idées très proches. Quand il y a de réelles et profondes différences, ce serait grave que ces différences ne puissent s’exprimer et alimenter débat et réflexion : danger de fossilisation déjà testé dans le passé, suivez mon regard...

    • Finalement ta solution se résume dans "attendons le grand soir" .

      Tu sais qu’ainsi tu risques bien attendre toute ta vie, qu’en penseront tes enfants et petits enfants, de n’avoir rien tenté dans la perspective d’aller plus loin.

      Parce que les grandes théories de la grève générale, de l’insurrection du peuple, c’est bien dans la théorie, derrière son clavier, mais dans la vraie vie il en est tout autrement.

      Sais-tu ce que c’est que de militer toute une vie à l’entreprise et dans la ville, au mépris de ton évolution professionnelle, au mépris de ta vie de famille, mais au nom des idées ?

      Alors quand tu as vécu ça, et qu’une candidature se profile, même si elle n’est pas vraiment ce en quoi tu crois, mais qu’elle apporte autre chose, qui peut aller plus loin, alors tu ne laisses pas passer, tu ne craches pas dans ce que tu peux avoir.

      Ta position d’attente se rapproche plus de la résignation que du combat politique, mais c’est ton choix, c’est comme ça.

    • La question n’est pas de savoir le % car de toutes façons cela ne change rien au résultat final. Les idées révolutionnaires, communistes ne passent pas par les urnes mais toujours par des soulèvements populaires, par des grèves dures, générales.
      Et il y en a marre de parler de ces élections
      Gisèle

    • « Les idées révolutionnaires, communistes ne passent pas par les urnes mais toujours par des soulèvements populaires, par des grèves dures, générales.
      Et il y en a marre de parler de ces élections »

      Et tu nous proposes d’attendre que ça se passe ? Il faut être réaliste, la mobilisation contre la loi travail, n’a pas eu pour effet d’amener à un soulèvement populaire ........... nous n’étions pas des millions dans la rue, et les entreprises dans l’action n’étaient pas légions.

      Quant à la grève dure, générale, n’oublions jamais que ce sont les travailleurs qui le décident, pas "un penseur révolutionnaire" derrière son écran.

      « Et il y en a marre de parler de ces élections »

      Et après, quand tu as écris cela, on fait quoi ? On laisse le capital continuer sa destruction sociale, ou on essaye de résister par les urnes, car penser en 2016, de prendre le pouvoir autrement, relève du déni de responsabilité.

      Au fait, ces derniers mois, c’était comment dans ta boite ? Grève générale ???

      Parce que vouloir faire la leçon, derrière son écran c’est fastoche, parler de son militantisme, c’est une autre affaire, pour cela il faut militer dans l’entreprise et convaincre les travailleurs que tes idées sont les meilleures.

      Dire que le pourcentage ne compte pas, est une aberration, et si je comprend bien, toi aussi, tu ne votes pas.

      C’est une fuite en avant, une forme de résignation, ce n’est pas un acte révolutionnaire.

    • Au fait dans ta vie c etait comment les elections avec victoire a gauche et ministres communistes ?
      Immobilisme parecqu on ne croit plus au primat des elections ?
      Pas du tout au contraire ,c est meme l’inverse:les elections sont bien une voie de garage quand les luttes se developpent, certain politique appele au referendum.
      Alors,immobilisme ’regarde ailleurs que chez lo,npa et anars .

    • Ces derniers mois je n’étais pas derrière un ordinateur mais dans la rue, dans les manifestations et je soutien de toutes mes forces de retaitée, tous ceux qui se battent dans la rue, dans les entreprises, contre la loi travail, pour la défense des hôpitaux publics, pour ceux qui sont pour la liberté d’expression, pour la liberté de manifester, contre la répression syndicale . . . .

    • « Au fait dans ta vie c etait comment les elections avec victoire a gauche et ministres communistes ? »

      Pourquoi tu balances camarade ? Je n’ai jamais voté social-démocrate, et des communistes au gouvernement, c’était la grande erreur politique du pcf, qui a perdu son électorat.

      Mais oui, tes positions sont des positions de renoncement, dans l’attente d’un grand soir qui ne viendra pas. Mais je remarque, que tu évites de répondre sur ton militantisme en entreprise, et si tu as convaincu tes collègues de travail de faire la grève générale illimitée, car c’est de cela qu’il s’agit, et là mutisme de ta part. Faut commencer par l’entreprise pour parler du reste.

      Pour moi, la voie de garage c’est cet immobilisme de renoncement, qui n’est pas révolutionnaire et que l’on peut retrouver à lo,npa et anars .

      Pour moi, l’important c’est ce que l’on peut faire maintenant, et pas dans cent ans, je n’y serais plus, toi non plus. Faut penser à ce que nous pouvons faire évoluer pour nos enfants et petits enfants, ce dont tu ne parles pas non plus.

      Je le redis, j’ai 72 ans, j’ai passé ma vie à militer dans l’entreprise, dans la ville, sacrifiant mon avenir professionnel, et en grande partie ma vie de famille. Alors je sais de quoi je parle, le grand soir, c’est une grande fable, c’est de l’attrape couillon pour ceux qui ne veulent qu’être révolutionnaire que derrière un écran.

      Bellacio nous offre la possibilité d’échanger des points de vue, qui ne s’opposent pas mais qui devrait se compléter.

      Pourquoi les sensibilités lo, npa, anarchistes, etc, refusent par tous les moyens, toute volonté de rassemblement, pour faire cavalier seul, par esprit de chapelle ?

      Faut aussi l’expliquer, ça ne tient pas debout, ce n’est pas révolutionnaire.

      En 2012, le npa, entre autres, refusait la candidature Mélenchon, au prétexte qu’il ne se démarquait pas assez du ps. Et maintenant ?????

      Bien sur, je n’engage que moi, n’étant plus adhérent du Pcf depuis pas mal de temps, mais justement le temps passe, et il serait justement révolutionnaire, de se regrouper face au capital et face à la social-démocratie toujours avides de revanches à l’encontre des travailleurs et de leurs organisations syndicales.

      Alors on peut débattre de stratégies, durant des siècles, pendant que le peuple sera réduit en esclavage moderne, parce que des forces qui se disent plus révolutionnaires que d’autres refusent toute autre alternative que la leur.

      C’est le chemin du renoncement planifié, parce que le communisme si non rien, pour l’instant c’est rien, et refuser les autres n’amènera pas le communisme, mais in fine le fascisme.

    • J’ai répondu à ton précédent message, sans réponse de ta part. Moi aussi j’étais dans les manifs et dans les luttes, je l’ai fais toute ma vie.

      Mais, bis répétita,

      « Les idées révolutionnaires, communistes ne passent pas par les urnes mais toujours par des soulèvements populaires, par des grèves dures, générales.
      Et il y en a marre de parler de ces élections »

      Et tu nous proposes d’attendre que ça se passe ? Il faut être réaliste, la mobilisation contre la loi travail, n’a pas eu pour effet d’amener à un soulèvement populaire ........... nous n’étions pas des millions dans la rue, et les entreprises dans l’action n’étaient pas légions.

      Quant à la grève dure, générale, n’oublions jamais que ce sont les travailleurs qui le décident, pas "un penseur révolutionnaire" derrière son écran.

      « Et il y en a marre de parler de ces élections »

      Et après, quand tu as écris cela, on fait quoi ? On laisse le capital continuer sa destruction sociale, ou on essaye de résister par les urnes, car penser en 2016, de prendre le pouvoir autrement, relève du déni de responsabilité.

      Au fait, ces derniers mois, c’était comment dans ta boite ? Grève générale ???

      Parce que vouloir faire la leçon, derrière son écran c’est fastoche, parler de son militantisme, c’est une autre affaire, pour cela il faut militer dans l’entreprise et convaincre les travailleurs que tes idées sont les meilleures.

      Dire que le pourcentage ne compte pas, est une aberration, et si je comprend bien, toi aussi, tu ne votes pas.

      C’est une fuite en avant, une forme de résignation, ce n’est pas un acte révolutionnaire.

    • T inquiete je milite et dans lrs entreprises crtes c est p1s encore la greve generale mais c est pas non plus vivement les elections car les prolos ont deja donne a gauche avec mel3nchon enplus.
      Oui l immobilisme c est encore et toujours rechercher l homme providentiel.
      Tu dis faute de mieux. Mais justement c est une erreur car melenchon est a l oppose de ce que je crois etre une politique communiste’qui pour moi est la seule qui convienne.
      Assez de replartrage soc dem ou kenesien.
      Oui melenchon n etait pas assez anticapitaliste ,le npa a eu raison’alors et maintenant demandes tu ?
      He bien’j ai aucune confiancr’aucune en mel3nchon,alors il n y a pas un prolo ’non elu’non ex ps pendant 30 ans’pas ex ministre au parti de gauche ?
      Deja ce serait nettement mieux.
      Ha oui il ferait pas 10 ou 12 %.
      Je ne choisis jamais’une ligne politique en fonction de sa popularite jamais.la verite ne sera jamais le nombre.

    • En fait difference vraie.
      Le pourcentage ne compte pas est une aberration dis tu.
      Ca depend a quoi il sert et ce qu il mesure.
      Si c est pour "gagner" sans mobilisatiln sociale ,tu dois etre d accord’ce seraa inutile.
      Si il y a mobilisation sociale comme en 36’on peut p3nser que ce sera utile.
      Comme mesure de l etat de notre camp je prefere le nombre de greves.
      Alors le pourcentage est sans le rejeter un element parmi d autre ,mais certainement pas le plusimportant.
      Poser toujours la question des luttes en rapport direct et oblige avec les elections comme sortie du mouvement social est totalement a marxiste,c est ne pas bien comprendre "proletaires unissez vous"
      Unir pour lutter pas pour voter.
      J aimerai bien croire que c est plus simple’plus rapide’,plus solide d arriver par une election a faire surgir enfin notre classe en position de pouvoir......je l ai pense longtemps,trop .
      Des gouvernements de gauche ,avec des communistes’avec melenchon.... j ai appris dans la douleur.
      J ai ete privatise’des politiques decidees sous ces gouvernements da gauche ont detruit des hommes ( des dizaines de suicides a france telecom) alors’non decidement non,plus de ceux la,jamais

    • « la verite ne sera jamais le nombre. »

      Ah bon, pourtant ce sont les masses qui font l’histoire, et il est bien question de nombre. Mais tu préfères le débat révolutionnaire de salon que de te fritter à la réalité du terrain de la lutte de classe à l’entreprise. Tu fais quoi dans la vie, tu as quel âge pour prétendre donner des leçons.

      Ta vérité c’est le renoncement, dans l’attente du grand soir. Bon appétit.

    • « Unir pour lutter pas pour voter. »

      Ben voyons, avec ce genre de position le kapital ne risque rien, au contraire il ne peut qu’encourager ce refus de vote, pour être le seul à en bénéficier.

      Donc laissons la place au kapital, les prolos n’auront qu’à se résigner, puisqu’on veut leur confisquer le vote, ils attendront le grand soir ?

      Tu as des enfants, des petits enfants, tu penses à leur avenir, ou tu ne penses qu’à ta chapelle qui prêche dans le vide ?

    • D’ordinaire je ne réponds pas au mépris de celui qui s’imagine qu’il est le seul à être un "vrai", que ceux qui ne pensent pas comme lui sont des attentistes militants de salon et autres joyeusetés. Je fais une brève exception.

      Sais-tu ce que c’est que de militer toute une vie à l’entreprise et dans la ville, au mépris de ton évolution professionnelle, au mépris de ta vie de famille, mais au nom des idées ?

      Oui, et a priori autant que toi.

      Alors quand tu as vécu ça, et qu’une candidature se profile, même si elle n’est pas vraiment ce en quoi tu crois, mais qu’elle apporte autre chose, qui peut aller plus loin, alors tu ne laisses pas passer,

      J’ai vécu ça, et la candidature dont tu parles, je ne l’analyse pas de la même façon (oui, je sais, je me trompe et tu as tout compris :-))). Elle ne me semble pas porteuse du moindre espoir. Elle me semble une impasse.

      Tu légitime la justesse de ta position actuelle en invoquant ta vie militante. Ben oui, mais plein de gens à la vie militante bien remplie (dont moi) ne sont pas sur la même position. Bizarre, non ? Le lien que tu établis n’est peut-être pas si évident que ça...

      Je pense que tu as dû nourrir des espoirs au moment de l’élection de Tsipras. Pas moi.

    • « la verite ne sera jamais le nombre. »

      Ah bon, pourtant ce sont les masses qui font l’histoire,

      Tu mélanges tout...

      Les masses sont le moteur, la force qui peut faire bouger les choses.

      De là à conclure que celui qui fait 12% a raison par rapport à celui qui fait 2%...

    • Donc laissons la place au kapital, les prolos n’auront qu’à se résigner, puisqu’on veut leur confisquer le vote, ils attendront le grand soir ?

      Parce que tu crois que le capital a peur des élections ? Au pire ça l’agace, comme avec Allende ou Tsipras, il sait comment gérer la situation. (Seules les masses... Et encore, car ils sont si puissants)

      Tu as des enfants, des petits enfants, tu penses à leur avenir, ou tu ne penses qu’à ta chapelle qui prêche dans le vide ?

      C’est agacant, tu refais le coup comme plus haut : "j’ai milité donc j’ai raison".
      Ben j’ai des enfants, et pour leur avenir j’ai lutté avec mon syndicat la CGT contre la loi travail, et pour leur avenir je n’ai aucune envie de voter Mélenchon. J’ai peut-être tort, peut-être raison, mais... toi aussi, essaie de l’intégrer.

    • Arrete avec tes sous entendus assez meprisant.
      Non je discute pas en salon,sans contact avec le reel
      Pas plus que toi.
      Et tu melanges deux notions,le fait que bien evidemment la justesse d une position ne depend absolument pas du nombre’et d autre part le nombre necessaire pour vaincre.
      Mais ça desole,la logique ça sapprend alors reflechis.
      Ha et le coup puant ,oui,insultant des enfants dont tu te sers pour justifier ta cause’comme si c etait une preuve.
      Desole mais des enfants qui ne supportent plus un arriviste ’y en a des milliers dans le camp des non melenchon.
      Ce qui soit dit en passant ’ne prouve rien en ce qui concerne la justesse de leur position (moi je connais la logique)
      Alors essaie de comprendre :
      Je milite je suis communiste,j ’ai des enfants’ou pas,je ne suis pas attentiste,ni adepte de l immobilisme,ni du grand soir ou rien.
      Ok ?
      Tu piges ?

      Je suis contre tout homme providentiel,tout arriviste, tout adepte du replatrage keynesien.

    • Sauf que celui qui ne fait que 2% reste toujours à 2% et ne mobilise pas plus aujourd’hui qu’hier, faut se poser la question du pourquoi, autrement c’est une affirmation gratuite. Mon propos n’est pas forcément de légitimer Mélenchon, en 2012 il était porteur des idées du Front de Gauche, qui rassemblait un certain nombre (un nombre certain de communistes).

      Aujourd’hui sa candidature est porteuse de la parole des insoumis, on peut discuter sur le personnage, sa façon de dire qu’il est candidat, oui, on peut tout dire, mais après que fait-on.

      Les sempiternels refrains du refus de vote, n’impliquent que ceux qui pensent que c’est la seule solution pour changer les choses, sauf que cela ne change rien du tout.

      Alors qu’on nous dise qu’en refusant le vote, on veut le remplacer par autre chose pour accéder au pouvoir.

      Moi j’aimerai bien savoir par quoi.

      Quoi qu’il en soit, je voterais Mélenchon, refusant la solution de la fuite des élections dont certains ont donné leur vie pour qu’elles existent.

      « Les masses sont le moteur, la force qui peut faire bouger les choses »

      Justement les masses ne feront rien bouger du tout si on leur répète en boucle, de ne pas voter que ça sert à rien. Ne pas voter, c’est aussi refuser de prendre position, refuser de dire non au système, refuser d’agir, c’est une forme de renoncement, et le renoncement n’a jamais été révolutionnaire.

    • Il y a deux questions, à ne pas mélanger :

      1) Voter ou non : ça se discute, je pense que ça dépend du contexte, que ce n’est pas une question de principe mais d’opportunisme, qu’on ne peut raisonnablement avoir une position définitive quelles que soient les circonstances.

      2) Voter pour qui : si je ne veux pas voter Mélenchon, c’est pas pour boycotter les élections, c’est que je ne crois en aucun cas que cela peut faire avancer dans le bon sens, au contraire ça fait perdurer les illusions. Mais je peux me tromper et je ne jetterai pas la pierre à ceux qui pensent que voter Mélenchon ça peut aller dans le bon sens.

    • Parce que tu crois que le capital a peur des élections ? Au pire ça l’agace, comme avec Allende ou Tsipras, il sait comment gérer la situation.

      Bien sur bien sur, mais en dehors des élections quelle est ta solution ?

      C’est agacant, tu refais le coup comme plus haut : "j’ai milité donc (...)

      Je ne fais aucun coup, mais quand je lis certaines réponses donnant des leçons, appelant à la grève générale insurrectionnelle, ou émettant l’idée d’une prise autrement que par les urnes, je me dis que ces personnes là, sont certainement jeunes, n’ont pas connues la lutte des classes dans l’entreprise, avec toute la violence patronale qu’il faut combattre.

      Parce que la grève générale insurrectionnelle, faut m’expliquer en quoi ça consiste.

      Quant à prendre le pouvoir autrement que par les urnes, ceux qui avance ça, ne répondent jamais comment ils compte le faire.

      Alors oui, heureusement je ne suis pas le seul à avoir payé le prix fort de la lutte de classe, mais qu’on ne vienne pas raconter n’importe quoi, au nom de chapelle qui se réclament du communisme, mais qu’on ne voit jamais. A l’entreprise, j’ai vu durant ma vie militante, des camarades de la CGT, du Pcf, au "combat de classe", mais personne d’autre.

      Donc les leçons à d’autres mais pas à moi. Si j’agace d’écrire cette réponse, faut savoir que si l’on veut faire de la politique, faut s’acheter une susceptibilité en tergal, pour ne pas se froisser.

    • j’ai 74 ans et passé ma vie dans la lutte en tant que délégué du personnel CGT
      Je ne peux pas ètre contre le capitalisme puisque une coopérative ouvrière est une
      entreprise dans laquelle les travailleurs détiennent les actions. Par contre ce qui ne
      semble pas acceptable c’est les dividendes distribuées a des actionnaires financiers.
      Quant au NPA il fait l’erreur de se mettre à dos les petits commerçants les artisents
      et les PME qui ne distribuent pas de dividendes
      C’est mon humble avis
      HLG

    • Le Capitalisme ? Nous vivons dedans depuis des siècles : nous n’avons aucune expérience d’un socialisme réel, massif et durable en France, à part l’espoir vite éteint du programme du CNR liquidé par les gouvernements successifs PS et Droite( mais il nous reste cependant encore des restes de Sécu, à reconquérir, puisqu’ils n’ont pas réussi à la faire disparaître totalement.)
      Ils ont cassé de nombreux services publics, il en reste encore malgré tout, attaqués et pervertis sans relâche.
      Pendant des décennies on a glosé à "Gauche", sur un Communisme en échec, pourtant inexistant, plaqué sur l’URSS, on a surfé sur les peurs des riches largement diffusées par nos maîtres, pour affadir nos idéologies progressistes, les travestir, et les trahir enfin. Ceci est bon pour tous les courants de Gauche qui ont traversé la Classe ouvrière, qui ont été désarmés et endormis, pendant que la misère et les inégalités font rage dans un univers fractionné où plusieurs mondes se superposent en s’ignorant où le mépris, le racisme et la haine sont dirigés sciemment par des fascistes déguisés (voir à Béziers et en PACA) contre les plus exploités, profitant d’attentats dont l’origine se situe hors de notre pays qui mène de nouvelles guerres coloniales au service des marchands de canon et des grandes fortunes.
      Nous nous sommes ajoutés un carcan européen qui nous enserre encore plus fort et nous précipite plus fort dans la crise, empêchant toute solidarité internationale (les Peuples européens sont jugés à l’aune de leur soumission aux privations qu’ils subissent .
      Cette élection présidentielle, comme les autres n’est pas fondamentale, au sens d’un quelconque changement de société. Nous sommes arrivés au bout de la logique de ce système constitutionnel dont les mécanismes se démontent sous nos yeux chaque jour dévoilant sa réalité : la, de plus en plus brutale domination d’une infime partie du Peuple élargie aux autres profiteurs européens et mondialisés sur la masse des exploités et des écartés de France ( et d’ailleurs)
      Nous devons nous servir de la candidature Mélenchon et construire des alliances pour les législatives, pour casser une partie de ce mécanisme et penser à reconstruire dans notre pays qui a si souvent servi d’exemple aux autres nations, avec un nouveau programme du CNR.