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Vaccynisme et réalité

par Annee Gourvès pour AIMSIB

Publie le mardi 14 mai 2019 par Annee Gourvès pour AIMSIB - Open-Publishing
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Anne Gourvès tient une place à part au sein de l’équipe des rédacteurs de l’AIMSIB, celle du coeur. Docteur en Biologie spécialisée en génotoxicité, la thématique vaccinale sans vraie science ni absolument aucune conscience lui vaut périodiquement des prises de position d’une très grande précision, toujours parfaitement référencées. Cet article est limpide, érudit et au final, désabusé parce que le moment l’impose. Plus long que d’habitude aussi, mais quand la qualité est là… Bonne lecture.

Résumé

  • Dans un climat d’épidémie de rougeole fantôme, on alarme les Français sur la situation sanitaire catastrophique du pays, espérant ainsi récupérer les 41% de Français qui doutent de l’efficacité et de la sécurité des vaccins. A cours d’argumentaire convainquant, les autorités de santé ont donc imposé 11 vaccins à tous les bébés français depuis janvier 2018. 11 vaccins non testés comme des médicaments, et pour lesquels personne ne connaît l’impact d’un tel cocktail sur un bébé de moins de 18 mois. En Afrique certains vaccins stérilisent les jeunes filles, les garçons, et augmentent la mortalité infantile. Chez nous, des nanoparticules, du glyphosate, du Viagra© et l’absence d’antigène nécessaire à l’efficacité des vaccins. Notre calendrier vaccinal, quant à lui, incite à l’administration conjointe de vaccins alors que les notices indiquent des risques plus importants d’effets secondaire dans ce cas. Déni total de tous ces scandales, déni des augmentations de maladies auto-immunes. Les autorités de santé camouflent les drames les uns après les autres, s’assurant que toute information mettant le doute sur les vaccins sera qualifiée de fake news et censurée sur les réseaux sociaux. Quant aux experts de la vaccination, ils usent d’un double discours, confirmant les scandales en coulissent et niant tout drame vaccinal sur la place publique. En attendant, tout enfant qui n’aura pas ses 11 vaccins sera banni de l’école et les parents seront dénoncés et fichés comme parents irresponsables, mettant en danger la santé de leurs enfants. Et c’est dans ce climat de dictature médicale que les français ont retrouvé la confiance dans les vaccins : comme par magie, la couverture vaccinale augmente depuis l’obligation de janvier 2018…et les labos retrouvent de la croissance.

 

La vaccination est aujourd’hui le sujet le plus censuré du net. Mais c’est pour la bonne cause : il faut redonner confiance en la vaccination. 11 vaccins sont obligatoires depuis le 1er Janvier 2018. Etrange d’imposer un acte médical. Mais c’est pour la bonne cause : il faut redonner confiance en la vaccination. Aucun bébé 2018 ne pourra rentrer à l’école sans ces 11 vaccins. Mais c’est pour la bonne cause : il faut redonner confiance en la vaccination.

Onze vaccins au lieu de trois malgré l’absence d’urgence sanitaire

Depuis le 1er janvier 2018, tous les bébés ont l’obligation de recevoir 11 vaccins. Avant c’était 3. Mais tout le monde sait que la situation sanitaire de la France est devenue tellement catastrophique entre 2017 et 2018 qu’il a fallu vite augmenter le nombre de valences pour passer de 3 à 11…

Surtout à cause de la rougeole : 349 cas confirmés en 2017, l’alerte est lancée et on parle d’épidémie de rougeole en France. Sauf que lorsqu’on se penche sur les données épidémiologiques, il y avait 15 000 cas de rougeole en 2011, et depuis 2012, c’est en fait…le calme plat ! (1)

 

Et donc en 2019… on est loin d’une épidémie. Il y a encore moins de cas cette année que l’an dernier à la même période. Difficile de comprendre ces médias qui s’excitent comme jamais sur la rougeole alors qu’ils étaient silencieux sur ce même sujet en 2011, malgré 15 000 cas.

Et l’urgence apparemment est aussi de vacciner tous les bébés contre l’hépatite B. Une maladie sexuellement transmissible… Je dirais même que je suis choquée par cette obligation car s’il est aussi important de vacciner des bébés contre une maladie sexuellement transmissible, que craint-on vraiment ? Dans ce cas, on se trompe de combat…

Trêve de cynisme, pourquoi la France est-elle le seul pays dans le monde où l’on impose 11 vaccins malgré la méfiance de plus de 40% de la population en matière de vaccination ?

Obliger pour mieux convaincre

Comment a-t-on fait pour ne pas avoir réussi à convaincre 41% des parents français pleins d’amour pour leurs enfants de la nécessité à vacciner leurs progénitures ?

Ce chiffre, record mondial et à la hausse en France serait donc à l’origine de l’obligation vaccinale. Et c’est là que je ne comprends pas : je n’arrive pas à convaincre, donc j’oblige.

C’est un véritable aveu d’échec de la part des autorités de santé ! Comment semer encore plus de doute lorsque toutes les autorités de santé s’avouent impuissantes à trouver des arguments convaincants pour garantir l’efficacité et la sûreté des vaccins ?

On en vient aussi à la censure, en interdisant donc à tout parent de se faire sa propre opinion sur la vaccination, même lorsque cette opinion se base sur des sources scientifiques, puisque ce sont aussi ces sources qui disparaissent de la toile.

On parle de censure de la « désinformation », mais s’il s’agissait de désinformation, une argumentation sérieuse suffirait à démanteler ces soi-disant « fausses informations ».

Insulte également aux médecins incompétents qui n’ont pas su convaincre leurs patients, ceux-là même qui leur confient leur santé depuis des dizaines d’années… Mais cette dictature va t elle redonner confiance en la vaccination ?

Pas de vaccin, pas d’école

Je suis toujours surprise de voir des parents qui ont peur que leurs enfants vaccinés soient contaminés par des enfants non vaccinés en milieu scolaire. Donc, au final, les parents qui vaccinent comme ceux qui ne vaccinent pas ont de sérieux doutes sur l’efficacité de la vaccination ! Certains vaccinent leurs enfants en pensant faire un acte d’altruisme : « mon enfant vacciné aujourd’hui contre la diphtérie, le tétanos et la polio protège aussi les autres ». Même pas ! La vaccination contre ces 3 maladies n’empêche en aucun cas la dissémination des bactéries responsables de la diphtérie, ou du tétanos ni du virus de la polio (vaccin sous forme injectée), sans parler du fait que le tétanos n’est pas une maladie contagieuse (2). Quant à la fameuse vaccination contre la rougeole dont on nous rabat les oreilles, elle est aussi loin de protéger les autres :

« Par conséquent, le virus de la rougeole peut circuler sans être détecté dans une population vaccinée, ce qui augmente faussement l’estimation de l’efficacité de la vaccination (3) ».

Ce qui a d’ailleurs été confirmé aussi par des congressistes scientifiques de la Société Française de Santé Publique en 2017, mais ils s’empressèrent d’ajouter qu’on ne peut tout dire au public, justifiant ainsi le manque de transparence sur la vaccination.

L’exigence altruiste en matière de santé publique n’est donc pas non plus la base de l’obligation vaccinale imposée en collectivité. Finalement sur quelles bases (autres que commerciales) repose aujourd’hui l’obligation de vacciner tous les bébés avec 11 vaccins ? L’obligation vaccinale exigée à l’entrée de l’école s’annonce comme une réelle discrimination. A Otranto, en Italie, une école maternelle a affiché sur la porte d’entrée la liste des enfants non vaccinés. Près de New York, depuis le 26 mars, les enfants non vaccinés contre la rougeole sont exclus de tout lieu public y compris des moyens de transport. (4)

Ira-t-on jusqu’à épingler un insigne discriminatoire sur les vêtements des enfants non vaccinés ?

Ainsi, sans aucune justification sanitaire ou altruiste, pas de vaccin, pas d’école. Et pourtant, selon le bulletin officiel du 25 juin 2015, l’école a l’obligation d’un enseignement moral et civique basé sur les valeurs de la République. « Ces valeurs sont la liberté, l’égalité, la fraternité, la laïcité, la solidarité, l’esprit de justice, le respect et l’absence de toute forme de discrimination  ». (5)

Mais un parent qui ose défier la loi est aujourd’hui harcelé par son médecin, dénoncé, harcelé par la responsable de la crèche, par sa nounou, se retrouve avec les services de la PMI sur le dos suite aux dénonciations, avec un ultimatum à la vaccination de son enfant, et n’aura pas le droit d’inscrire son enfant à l’école. Donc, au bout du compte il vaccine… car il a retrouvé confiance en la vaccination n’est-ce pas ?

Vaccination, une prévention prioritaire pour qui ?

La santé de nos enfants serait donc tellement importante pour nos autorités de santé qu’elles auraient choisi de décider pour nous malgré nos réticences ? On oblige donc à vacciner car c’est la priorité en matière de prévention. Et si nous ne sommes pas d’accord, nos enfants seront privés d’école. Dans ce même cadre de prévention de santé, a-t-on nous aussi le droit de dire à nos dirigeants : « si vous continuez à autoriser la présence de glyphosate dans la nourriture de nos enfants, nous ne paieront plus nos impôts » ? Mais ce n’est pas possible, il semblerait que cette dictature ne puisse aller que dans un seul sens. Et d’ailleurs on trouve aussi des traces de glyphosate dans les vaccins (6).

Comment peut-on, au sein d’un même gouvernement autoriser la présence de poisons dans l’alimentation de nos enfants et imposer la vaccination car soudain on se soucie de leur santé ? Comment peut on laisser des enfants mourir de faim en 2018 alors que la moitié du budget alloué aux campagnes de vaccinations mettrait fin à la faim dans le monde ? Comment garder confiance dans les autorités de santé lorsque les décisions politiques prises en matière de prévention ne sont que celles qui profitent aux industriels ?

Un calendrier vaccinal qui n’inspire aucune confiance

11 vaccins, 10 injections, 6 consultations chez le médecin nous annonce Mme Buzyn. (7) Ce qui suppose donc que les vaccins mentionnés à 2 mois, 4 mois et 11 mois sont injectés lors du même rendez-vous chez le médecin. Et c’est effectivement ce qui se passe : l’Infanrix© Hexa et le Prévenar© 13 sont injectés simultanément. Mais comme je suis une maman consciencieuse, j’ai lu les notices.

« Une augmentation des taux de déclarations de convulsions (accompagnées ou non de fièvre) et d’épisodes d’hypotonie-hyporéactivité (EHH) a été observée lors de l’administration concomitante de Prevenar© 13 et d’Infanrix© Hexa (8)

Comment peut-on recommander un calendrier vaccinal qui optimise des effets secondaires ?

Ce qui suppose aussi que les médecins ne sont pas au courant, et qu’ils n’informent pas non plus leurs patients des risques d’effets secondaires. Dans un souci de bienveillance, L’AIMSIB a mis au point une série de recommandations provisoires nécessaires à toute vaccination (9), mais est-ce à une association de définir ces recommandations ? Pourquoi nos autorités de santé supposent-elles encore que cet acte ne présente absolument aucun risque de santé et ne nécessite aucune précaution particulière ni de mise en garde des patients et des médecins ?

La raison est simple : il faut redonner confiance en la vaccination. Circulez, vaccinez, il n’y a rien à dire, les vaccins sont sûrs et efficaces et toute mention contraire est une fake news.

Une Pharmacovigilance qui n’en inspire pas plus

Daniel Floret, ancien président du Comité Technique des vaccinations à la HCSP, écrivait lui-même dans un dossier de juin 2010 (dossier : « comment faire de la pédagogie autour du vaccin ?  » ADSP n°71, juin 2010) : «  La liste des effets secondaires énumérés dans le résumé des caractéristiques (RCP) des vaccins donne le vertige. Comment communiquer sur l’association vaccination contre l’hépatite B et maladies démyélinisantes dès lors que la sclérose en plaques et le syndrome de Guillain Barré apparaissent en tête de la liste des effets secondaires neurologiques liés au vaccin ?  ». (10) Et pourtant tous les médias grands publics clament que « les vaccins sont absolument sûrs ». Où se trouve réellement la désinformation ?

Pr. Daniel Floret, 2010

Au 7 février 2019, sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (11), pour l’Infanrix© Hexa (indiqué pour la vaccination de 800 000 bébés en France chaque année), en Europe, sont répertoriés 23.379 effets secondaires graves et 584 décès. (Ces chiffres sont en plus sous-estimés : dans un pays comme la France, « Il est généralement admis que 1 à 10 % des effets secondaires graves liés aux médicaments font l’objet d’une déclaration aux centres régionaux de pharmacovigilance. » (10)

Alors bien sûr, on me rétorquera que ces chiffres sont des valeurs absolues, que ce sont des observations faites pour des millions d’enfants vaccinés…oui…sauf que…

Un vaccin serait un médicament ?

On n’injecte pas un vaccin pour traiter un patient malade, on injecte un vaccin chez une personne parfaitement saine, en estimant que cela puisse éventuellement lui éviter de contracter peut-être un jour une maladie…qu’elle n’aurait sans doute jamais eu. Lorsqu’une personne est malade, il est plus logique d’envisager des effets secondaires lorsque le traitement entraîne une nette amélioration de l’état de santé du patient.

La vaccination c’est donc comme une assurance-vie : vous payez sans vraiment connaître le risque. Dans ce sens, les effets secondaires graves et les morts, si « faibles » soient-ils comparés au nombre de personnes vaccinées sont-ils acceptables ?

Personnellement, je ne souhaite pas que l’on m’impose ce type « d’assurance-vie » : c’est à moi seul d’en estimer les risques, d’autant plus qu’aucun des 11 vaccins obligatoires n’a été évalué selon les exigences imputées à un médicament en ce qui concerne l’efficacité clinique.

Les vaccins ne sont pas non plus soumis à des études de pharmacocinétique, de carcinogénèse, mutagénèse ou tératogénèse contrairement aux médicaments. Aucune étude non plus pour évaluer l’impact de l’administration de plusieurs vaccins sur une période aussi courte chez un bébé de moins de moins de 18 mois. Et pourtant aucune application du principe de précaution, la remise en question n’est jamais d’actualité, et toute personne émettant des doutes sur l’efficacité et la toxicité sera demain censurée partout sur la toile.

Mais c’est pour la bonne cause n’est-ce pas : il faut redonner confiance en la vaccination. Et donc l’absence de transparence est de mise

Déni de la contamination chimique et biologique des vaccins

En Italie, la controverse vaccinale bat son plein depuis des mois et des mois. Vincenzo d’Anna, ancien parlementaire et président de l’Ordre national des Biologistes a proposé un partenariat avec l’association CORVELVA afin de lancer un projet d’analyse de la composition des vaccins par un laboratoire indépendant.

Fragments d’ADN humains au-delà de la norme, fragments de virus (singe, souris..), traces de pesticides, médicaments (antibiotiques, sildenafil…), herbicides (glyphosate…) et autres contaminants chimiques jamais notés sur la notice. Le plus étonnant fut de ne retrouver aucun des antigènes nécessaires à l’efficacité de l’Infanrix© Hexa, mais une grosse molécule insoluble à la place. (12)

Ces informations relèvent d’un énorme scandale sanitaire, et même si elles demandent confirmations par d’autres laboratoires elles seraient à prendre au sérieux très rapidement. Est-ce le cas ? NON. Aucun de nos médias ne parlent de cette découverte cruciale sur les vaccins, ni des travaux d’Antonietta Gatti concernant la mise en évidence de nanoparticules en très grand nombre dans les vaccins, malgré sa publication dans la revue Vaccine en janvier 2017 (13).

Aucune déclaration officielle des autorités de santé. Dans le doute, s’abstenir ? Encore NON, aucune levée même temporaire de l’obligation vaccinale. En revanche, Mme Agnès Buzyn a tout de même demandé (poliment) aux fabricants de couches pour bébés d’enlever des substances toxiques histoire de montrer aux français que l’on se préoccupe de la santé des enfants.

Mais surtout ne pas ébruiter ce scandale sanitaire sur la composition des vaccins. Pourquoi ?

Pour garder confiance en la vaccination.

Déni des maladies auto-immunes générées par les vaccins

Pourtant ce joli petit cocktail vaccinal pourrait bien expliquer l’épidémie de maladies auto-immunes que l’on observe aujourd’hui de plus en plus chez des enfants !

Non, nous dit-on, les vaccins ne sont responsables d’aucune maladie auto-immune ! Pourtant dans une lettre de la direction médicale de Pasteur Vaccins de 1992, il est clairement admis qu’une stimulation de l’immunité peut révéler ou provoquer une poussée de maladie auto-immune (cf infra). Une ancienne infirmière a d’ailleurs été indemnisée en France en 2014 à hauteur de plus de 2 millions d’euros pour une sclérose en plaque déclenchée après une vaccination hépatite B. (14)

Institut Pasteur, correspondance

Concernant le Gardasil, Robert F. Kennedy a déroulé un exposé édifiant devant une Cour de Justice Américaine récemment, montrant que selon les données du laboratoire Merck, 2,3 % des filles recevant le vaccin se sont plaintes de symptômes de maladie auto-immune dans les 7 mois. Comme le cancer du col de l’utérus ne tue que 1,5 Américaines sur 100 000, il a fait remarquer : « Les propres données de Merck montrent que les risques de contracter une maladie auto-immune à cause de ce vaccin sont 1000 fois plus élevées que le risque de mourir du cancer du col de l’utérus ». (15)

Malgré cela, certains trouvent que le déclenchement de maladies auto-immunes est un avantage de la vaccination  ! Un très respecté praticien hospitalier, professeur des universités a déclaré sur Twitter en 2018 : « La vaccination contre l’hépatite B ne provoque pas la sclérose en plaques, mais la démasque, ce qui est une bonne chose pour les futurs malades, car cela permet de débuter plus tôt les nouveaux traitements efficaces qui les sauveront. » (16)

La stupidité de tels propos ne va pas non plus restaurer la confiance des patients dans les médecins…Ne serait-ce pas plutôt ce genre de propos cyniques qu’il faudrait censurer ?

Des hormones stérilisantes dans les vaccins antitétaniques

Récemment, un ancien ministre du Kenya a confirmé que les vaccins de la campagne de vaccination contre le tétanos de 2014-2015 contenaient une hormone de stérilisante, dénommée HCG. “Aujourd’hui, nous pouvons confirmer au pays que l’Église catholique avait raison. Des centaines de milliers de filles et de femmes âgées de 14 à 49 ans, issues des populations les plus dynamiques du pays, n’auront pas d’enfants, en raison de la stérilisation parrainée par l’État qui a été vendue au pays comme vaccin contre le tétanos ». (17) Les hommes étaient d’ailleurs écartés de ce programme de vaccination, même ceux qui souhaitaient recevoir cette vaccination. Etonnant d’avoir mené une campagne de vaccination uniquement dédiée aux femmes en âge de procréer alors que le tétanos peut naturellement toucher aussi les hommes et les enfants…

Le Kenya avait déjà été le pays destinataire de vaccins du même type : certains vaccins contre la polio destinés aux enfants de moins de 5 ans contenaient de l’oestradiol, une hormone stérilisante lorsque administrée aux garçons.

Mais ce n’est pas nouveau. Dans les années 90, l’OMS avait lancé une grande campagne de vaccination contre le Tétanos dans de nombreux pays du Tiers-Monde, toujours à destination des femmes en âge de procréer et l’analyse des produits injectés avait aussi montré la présence d’hCG, qui en aucun cas ne peut être considéré comme une contamination fortuite du vaccin. Mais on comprend mieux l’existence de ce type de campagne de vaccination lorsque l’on sait que L’OMS a tenté pendant plus de 20 ans de mettre au point un « vaccin contraceptif » à base d’hCG introduit dans le vaccin anti-tétanique (18). Ces recherches furent soutenues par la Banque Mondiale, la Fondation Rockefeller et de nombreuses universités. Le dossier de l’OMS de 1994 relatif à ce sujet devait être très intéressant, mais malheureusement, la version actuelle ne rend accessible que 31 pages sur les 199 du dossier (19)… Sans doute s’agit il à nouveau d’une censure de « fake news » ?

Ce « vaccin contraceptif » n’a pas obtenu d’AMM, mais continue apparemment d’être utilisé comme vaccin anti-tétanique dans les pays du tiers monde… Et plusieurs vaccins contiennent aussi d’autres substances stérilisantes plus « modernes » : le polysorbate 80 et le borate.

Ainsi en Afrique les drames vaccinaux se poursuivent : en Mars 2019, une campagne de vaccination (contre une maladie non indiquée) menée en Guinée dans des écoles primaires a tourné au vinaigre : plusieurs élèves se sont évanouis systématiquement après la vaccination, suscitant panique et colère dans la population. (20)

Ce sont sans doutes ces informations qui seront aussi bientôt qualifiées de « fake news » et qui seront censurées, afin de maintenir la confiance dans la vaccination.

La vaccination peut augmenter la mortalité infantile

Si dans nos pays il est impossible de réaliser des études comparatives d’enfants vaccinés versus enfants non vaccinés (proportion trop faible de non vaccinés), ces études sont possibles dans les pays en voie de développement et notamment en Afrique. L’équipe du Pr P. Aaby (fervent défenseur des campagnes de vaccination en Afrique) a été commissionnée par l’OMS pour évaluer la mortalité infantile dans des populations vaccinées et non vaccinées, et selon les résultats de plusieurs campagnes depuis 1981 : (13).

Les résultats ont été publiés en mars 2018 et sont sans appel : les campagnes de vaccination Diphtérie, Tétanos, Polio, Coqueluche en Guinée-Bissau ont augmenté en moyenne de 100% la mortalité infantile (multiplié par 4 dans certains sous-groupes) ! Ceci malgré le fait que les enfants vaccinés étaient aussi ceux qui étaient les mieux nourris…

Ces campagnes ont elles été suspendues suite à ces études ? Non. Les médias français ont-ils fait état de ces données scandaleuses ? Encore et toujours non.

Pourquoi ?

Il faut vraiment garder confiance en la vaccination. On vous dira donc, malgré tout ceci que la confiance revient car la couverture vaccinale est en hausse depuis 2018. Mais c’est la confiance ou l’obligation qui a augmenté la couverture vaccinale ? Sous couvert d’épidémie de rougeole fantôme, dans un climat volontaire de peur, on justifie une obligation vaccinale qui ne repose sur aucun critère sanitaire ou scientifique.

A court d’arguments pour convaincre ceux qui doutent de l’efficacité et de l’innocuité des vaccins, les autorités de santé étouffent les scandales, utilisent les médias pour imposer une pensée unique en matière de vaccins et mettent en place un système de censure sur internet.

Quant aux experts scientifiques institutionnels, ils jouent un double jeu, admettant les scandales sanitaires en coulisse, et clamant l’innocuité des vaccins sur la place publique… Car il faut redonner confiance dans les vaccins… pour améliorer l’état de santé… celle des labos bien sûr, car grâce à la vaccination, Merck est redevenu un labo « rentable », dégageant en 2018 1,82 milliards de dollars de bénéfice net. (22)

Gardons donc confiance dans les vaccins, car la santé financière des grands laboratoires pharmaceutiques dépend… de nos comportements de moutons parfaitement dociles.

Anne Gourvès, Mai 2019

 

Sources :
(1) http://invs.santepubliquefrance.fr
(2) « Introduction générale à la médecine des vaccins », M. de Lorgeril, Ed. Chariot d’Or, nov. 2018
(3) Orenstein WA, Bernier RH, Hinman AR. Epidemiol Rev. 1988 ;10:212-41. Review. / https://www.yumpu.com/fr/document/view/38634696/souches-africaines-du-virus-de-la-rougeole-etude-
(4) https://www.sciencesetavenir.fr/sante/new-york-les-enfants-non-vaccines-bannis-des-lieux-publics_132462
(5) https://www.education.gouv.fr/pid285/bulletin_officiel.html?cid_bo=90158
(6) « Analyse scientifique de la toxicité des vaccins », M. de Lorgeril, Ed. Chariot d’Or, fév. 2019
(7)https://www.vidal.fr/actualites/22542/obligation_vaccinale_des_nourrissons_en_pratique_10_injections_6_consultations_14_vaccins_disponibles/
(8) https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/123-prevenar-13
(9) https://aimsib.org/2019/03/31/les-six-precautions-preconisees-par-laimsib-pour-la-vaccination-des-nourrissons-mars-2019/
(10) https://www.hcsp.fr/explore.cgi/Adsp?clef=111
(11) http://www.adrreports.eu/fr/search.html
(12) http://www.corvelva.it/it/speciali-corvelva/analisi/vaccingate-initial-results-on-infanrix-hexa-chemical-composition.html
(13) A. Gatti and S. Montanari, New Quality-Control Investigations on Vaccines : Micro- and Nanocontamination, International Journal of Vaccines and Vaccination, vol. 4, issue 1, january2017). https://static1.squarespace.com/static/56d36e9d86db43f4f77637c1/t/59f6629e24a694055a6fa602/1509319356231/Quality+Control+-+Vaccines+study.pdf
(14) http://www.doctissimo.fr/medicaments/news/indemnisation-record-pour-une-sclerose-en-plaques-apres-un-vaccin-contre-l-hepatite-b
(15) https://www.collective-evolution.com/2019/01/30/athlete-confined-to-wheelchair-after-her-third-gardasil-vaccine-takes-merck-to-court/?fbclid=IwAR2LxNNpu3qz1Wz6wBlMnsG4N0aI4_oE1QPfj9bHSEnNGD70zS_2j83PtWQ
(16) http://docteurdu16.blogspot.com/2019/01/la-phrase-la-plus-comment-dire-la-plus.html)
(17) http://www.wikistrike.com/2018/03/kenya-un-ancien-ministre-presente-le-vaccin-contre-le-tetanos-comme-un-programme-cible-de-sterilisation-de-masse.html
(18) Françoise Joet, « Tétanos, le mirage de la vaccination »
(19) https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/39653/924156170X.pdf?sequence=1&isAllowed=y
(20) http://www.ledjely.com/sanoyah-des-eleves-sevanouissent-apres-leur-vaccination/
(21) « Evidence of Increase in Mortality After the Introduction of Diphtheria-Tetanus-Pertussis Vaccine to Children Aged 6-35 Months in Guinea-Bissau : A Time for Reflection ? », P. Aaby et coll, Front Public Health, 2018 Mar 19 ;6 :79 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29616207
(22) http://www.lefigaro.fr/flash-eco/merck-repasse-dans-le-vert-grace-aux-vaccins-et-anti-cancereux-20190201

https://aimsib.org/2019/05/12/vaccynisme-et-realite/

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