Curieux, les médias officiels changent de ton. Ils se sont aperçu que même leurs fidèles lecteurs ne les croyaient plus

Ce virus invisible et indétectable est très dangereux ! En quelques mois il a tué 80% de nos droits et de nos libertés ! Quant au bon sens et à la lucidité, mieux vaut ne pas en parler.
2 articles sur le changement de ton des médias officiels.

lanouvellerepublique.fr : Indre : les chiffres alarmants des hospitalisations liées au Covid sont erronés
https://www.lanouvellerepublique.fr/chateauroux/indre-les-chiffres-alarmants-des-hospitalisation-covid-sont-errones
Le nombre de patients Covid hospitalisés dans l’Indre n’a pas été réactualisé. Les chiffres, largement supérieurs à ceux des départements voisins, sont faux.

Actuellement, il y a peu d’hospitalisations Covid dans le département. Philippe Vansyngel, ‎le responsable du pôle santé publique et environnementale de l’Indre pour l’Agence régionale de santé, en convient : les chiffres relatifs à l’hospitalisation des patients Covid-19 extraits de la base de données nationale Géodes et publiés par Santé publique France sont erronés. Le secrétaire général de la préfecture, Stéphane Sinagoga, l’assure : « Un seul patient Covid, sans gravité particulière » est hospitalisé dans le département.


« Les données sont tirées d’un logiciel. Mais en raison des congés d’été, les chiffres ne sont pas à jour », explique Philippe Vansyngel. Ils n’auraient pas été renseignés ces dernières semaines. Voilà qui explique l’écart significatif entre les données de l’Indre et celles des départements voisins.
« Nous travaillons à corriger les données » Le 11 août, Santé publique France indiquait que 41 malades indriens étaient hospitalisés en raison du Covid. Un nombre vertigineux au regard des 19 hospitalisations d’Indre-et-Loire ou des 13 comptabilisées en Loir-et-Cher. Et plus encore en comparaison des données du Cher (6 hospitalisations), de la Creuse (1), de la Haute-Vienne (3) ou de la Vienne (1). « Nous travaillons à corriger les données, explique Philippe Vansygel. Et de promettre : Ce sera mieux avec la prochaine mise à jour. »


Les données corrigées ne doivent pas occulter « un regain épidémique dans le département », comme l’observe l’Agence régionale de santé de Centre-Val de Loire. Le nombre de cas positifs au Covid-19 a grimpé. « Nous en dénombrons une trentaine sur les deux dernières semaines de juillet contre deux ou trois cas lors des quinze premiers jours du mois », analyse Philippe Vansyngel.
« Plus on teste, plus on détecte des cas positifs », concède ‎le responsable du pôle santé publique de l’Indre. Mais le rebond préoccupe. Le taux de positivité départemental s’établissait à 1,6 % entre le 2 et le 8 août. Sur cette période de référence, il s’agit du taux le plus élevé en comparaison avec les départements limitrophes.

capital : Epidémie : la majorité des nouveaux cas ne sont pas graves (capital)
https://www.capital.fr/economie-politique/epidemie-la-majorite-des-nouveaux-cas-ne-sont-pas-graves-1377882

Certes, le nombre de nouveaux cas positifs au Covid-19 augmente. Mais les entrées en réanimation stagnent. La plupart des contaminés ne contractent donc pas de formes sévères de la maladie.

17. C’est le nombre de nouveaux patients admis dans les services de réanimation pour la Covid-19 en moins de 24 heures, au 12 août. C’est peu, comparé aux plusieurs centaines d’admissions recensées au printemps. Dans le même temps, la France totalise 2.524 nouvelles personnes contaminées par le coronavirus, ce qui est plus de deux fois supérieur aux niveaux atteints quotidiennement à la sortie du confinement, début mai. Ces deux tendances, que l’on constate à partir des statistiques épidémiologiques de la plateforme Géodes https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=home , pilotée par Santé publique France, indiquent donc une chose non anodine : la majorité des Français testés positifs au Covid-19 ne contractent pas de formes sévères de la maladie. . . . . . .