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Quand le Canard Enchainé diffame bassement un élu communiste !

Publie le vendredi 29 février 2008 par Open-Publishing
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Les bassesses condamnables de certains candidats de “Gauche”
Publié le 28 février 2008 dans Municipale 2008

Déjà il y a quelques jours, Jacques Salvator m’accusait de bénéficier des faveurs d’un marchand de sommeil, au travers d’une publicité dans l’une de mes publications. J’ai prouvé qu’il n’en était rien et depuis un Vice président du Conseil Général, un socialiste honnête Gérard Ségura m’a apporté sa solidarité sur le fait que je ne pouvais être responsable d’une telle publicité si elle avait existé.

Dans ma réponse j’annonçais que les attaques pourraient aller encore plus loin. Mais je n’imaginais pas qu’ils aient recours à de tels procédés.
Il est vrai que l’un d’entre eux a déjà envoyé une lettre de dénonciation au Préfet contre la CNL (comme au temps de la collaboration) .

Maintenant, c’est un article calomnieux d’un journaliste peu scrupuleux du Canard enchaîné, sur la base de mensonges venant de candidats d’Aubervilliers.

J’ai fait prévenir immédiatement Jacques Salvator que cet article était une contre vérité et que j’entamais une procédure avec mon avocat. Mais dés le lendemain des photocopie de l’article calomnieux étaient distribuées dans les boites aux lettres par des mains socialistes.

Ce journaliste, alors qu’il m’a interrogé et a reçu un certain nombre d’informations de ma part, à aucun moment, en a tenu compte dans la rédaction de son article. Le but était de me salir en accréditant l’idée que je touchais 5000 euros par mois et qu’en plus, j’étais indemnisé par les Assedic en 2001. La vérité, encore une fois, est toute autre :

Salarié du PCF, j’ai, à la suite de divergences politiques manifestées en particulier lors des élections de 2001, été licencié. Mes indemnités d’élu jusqu’à 2001 étaient totalement versées au PCF. A la suite de ce licenciement, et de ma mise à l’écart de ma responsabilité de maire adjoint, je me suis retrouvé sans couverture sociale ni possibilité de cotiser à la caisse de retraite. Inscrit à l’ANPE, les ASSEDIC m’ont indemnisé à la hauteur de 1112 euros en toute légalité. Au bout d’un certain temps, ils m’ont mis en pré retraite.

Aujourd’hui, je suis retraité. Redevenu maire adjoint, j’ai refusé cette indemnité. Information que j’avais donnée au journaliste. Ce chiffre de 5000 euros est donc pure fantaisie. Peut-être est-il celui des rentrées de certains socialistes ?

En 2001 non seulement, je n’étais plus maire adjoint, mon indemnité de Conseiller général était de 2244 euros ( pour mon activité d’élu, tracts, affiches…et non exclusivement pour mes dépenses personnelles). Au sujet de la société d’économie mixte, celle-ci n’a jamais indemnisé aucun président.

Le jour même, j’ai voulu contacter le journaliste qui bizarrement a toujours refusé de me prendre au téléphone. En réalité il n’est que l’instrument d’une manœuvre venant de ceux qui veulent déstabiliser Aubervilliers, pour cela il faut me faire passer pour un malhonnête, un mauvais, ou comme ils disent « Karman incompatible ».

J ‘ai confiance en la population d’Aubervilliers. C’est parce que celle ci s’apprête à placer en tête la liste que j’ai l’honneur de conduire avec le Maire Pascal Beaudet que les calomnies vont redoubler jusqu’au dernier moment.

Je ne m’habitue pas à la saleté de pratiques qu’à aucun moment je m’abaisserai à répéter contre mes adversaires.

Pourquoi sortir aujourd’hui des faits de 2001 ?

A qui profite le crime ?

La leçon que j’en tire c’est que quelqu’un qui est capable de telles bassesses n’est pas digne de conduire notre ville. La seule réponse démocratique c’est la sanction électorale, ensemble votons pour la liste :

« Tous ensemble pour Aubervilliers » conduite par Pascal Beaudet et moi même ».

source :
 http://jeanjacqueskarman.com/site/?p=494

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