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fausse bonne nouvelle : Julien & Yldune reste en prison

Publie le mardi 2 décembre 2008 par Open-Publishing
5 commentaires

éh ouais les gros fils de journalistes se sont jeter sur l’info sans la vérifier :

Seuls sont libérés les 3 autres... ils gardent "le chef présumé" de "l’organisation" qui ne veut ni chef ni organisation.

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Sabotages de lignes TGV, trois suspects remis en liberté

La cour d’appel de Paris a ordonné la remise en liberté de trois des suspects écroués depuis le 15 novembre dernier dans l’enquête sur un sabotage des lignes de TGV de la SNCF, ont annoncé leurs avocats.

En revanche, la chambre de l’instruction a refusé la libération des deux autres suspects écroués, le supposé leader du groupe Julien Coupat et sa compagne.

Le parquet général avait requis vendredi dernier le maintien en détention des cinq suspects.

Au total, cinq femmes et quatre hommes, âgés de 22 à 34 ans, soupçonnés d’appartenir à un groupuscule d’activistes de l’ultra-gauche, sont mis en examen dans l’enquête qui porte sur le sabotage de caténaires de plusieurs lignes TGV avec des fers à béton, le 7 novembre.

Quatre d’entre eux ont été laissés libres sous contrôle judiciaire dès le 15 novembre. Leur but aurait été selon la police de créer un désordre dans le pays pour favoriser l’émergence des mouvements sociaux.

Une trentaine d’intellectuels, des personnalités de gauche et d’extrême-gauche et les habitants du village corrézien de Tarnac, où résidaient la plupart des suspects, ont lancé une campagne de soutien. Ils protestent contre les méthodes utilisées et réfutent l’utilisation de la qualification terroriste contre les suspects.

L’accusation dit disposer de nombreux indices, notamment des écrits et la présence de cinq suspects près de lignes sabotées au moment des faits, mais reconnaît n’avoir aucune preuve formelle.

Thierry Lévêque, édité par Yves Clarisse
 http://www.liberation.fr/depeches/0...

Messages

    • Le "Passe-Muraille" est un film de Jean Boyer, adapté du roman de Marcel Aymé. Les deux personnages principaux sont Susan et M. Léon alias Garou-garou capable de traverser les murs et donc de défier devant l’admiration de Susan, l’ensemble des forces policières.

      Suzy et Mon gros Loup, les deux noms attribués par le premier Groupe AZF des voies ferrées sembleraient être inspirés de cette fiction qui recèle d’autres mots clés.

      Du "Passe-Muraille" au "Comité invisible", la trouvaille de ceux qui ont volontairement piègé Julien Coupat et ses amis en le pistant et en réalisant les forfaits très techniques paralysant la SNCF début Novembre 2008, a permis de préparer un terrain propice à la clôture forcée d’une enquête datant de 2004 aussi menée par la DNAT et également infructueuse.

      Mais "Passe-Muraille" serait bien lié à autre chose qu’un simple don très pratique et parlerait bien des ondes électromagnétiques de très forte intensité capables d’exploit depuis des sous-sols toulousains !

      Cette première affaire du Groupe AZF des voies ferrées, dont quelques hypothèses sont détaillées dans le chapitre Groupe-AZF du site http://www.azf-10h18.com, n’a jamais été résolue et a toujours été une des rares bêtes noires du Ministre de l’Intérieur de l’époque qui se cachait politiquement derrière son chef de Cabinet Claude Guéant, pour ne pas ternir son image et surtout pour ne pas dire qui était derrière ce Groupe AZF.

      Jamais découvert, jamais identifié, ce Groupe AZF a disparu sous le prétexte d’une dernière lettre complètement ridicule (mais médiatisée) pour un Groupe AZF aussi dérangeant... Mais si officiellement, il n’y a jamais eu remise de rançon, à l’instar de ce que M. Sarkozy sait faire en Lybie ou ailleurs, on peut se demander si cette remise de rançon n’a tout de même pas eu lieu et peut-être au delà de ce que réclamait le vrai premier Groupe AZF... 8 millions d’euros réclamés en Mars 2004, 4 millions en Février 2004. Juste après la fin miraculeuse de cette affaire le lendemain de la découverte de la seconde bombe à Montiéramey près du bois du Grand Orient, le 24 Mars 2004, on découvre un échange ministériel dès plus surprenants entre M. De Villepin et M. Sarkozy et la montée en puissance à l’UMP de ce dernier avant son ascension finale à l’Elysée. 2 ans plus tard, jour pour jour, heure pour heure, le 24 Mars 2006, on assiste à une explosion à l’Ecole de Chimie de Mulhouse, ville de Jean-Marie Bockel faisant un mort. L’enquête n’a jamais conclu de manière certaine sur l’origine accidentelle. Mais quelques mois plus tard, devant des députés UMP Alsaciens médusés dont le maire de Saint-Louis (ville de l’institut militaire franco-allemand ISL spécialisé en électromagnétisme) Jean Ueberschlag, M. Sarkozy rallie à sa cause ce cher socialiste d’ouverture Jean-Marie Bockel.

      L’affaire du Groupe AZF des voies ferrées de 2004 est une ENORME EPINE dans le pied de l’ancien Ministre de l’Intérieur. Le récent réveil technologique et attentatoire sur les voies ferrées déclenche une panique du pouvoir au point de se ridiculer et surtout au point de mettre en avant de ce ridicule Mme Alliot-Marie, Ministre de l’Intérieur et ancienne Ministre de la Défense en 2004.
      Mais la DNAT est là pour les deux affaires...!

      Le Groupe AZF a-t-il vraiment disparu ? Ceux qui ont peut-être négocié avec lui, sont-ils aussi serein en 2008 ? Et au final... le mot AZF, la position de la première bombe du 18 Février 2004, à l’intersection de la voie ferrée allant vers le stockage d’uranium de Bessines, ne sont-ils pas des messages très ciblés et à connotations militaires qui pourraient beaucoup déranger à quelques semaines du début du procès d’AZF-Toulouse !

      Un conseil... pour les deux derniers détenus : demander des explications sur cette affaire du premier Groupe AZF des voies ferrées de 2004, affaire non résolue par la DNAT et vous verrez que du côté de Sarkozyland on préfèrera neutraliser Mme Alliot-Marie (avec un remplacement par le ministre de l’Immigration) et enfin libérer ces deux lampistes lâchement linchés par nombre de média en premières "loges". Ce serait un juste retour des choses après la neutralisation ivoirienne du Général Henri Poncet (aujourd’hui aux renseignements militaires) en 2005 par cette ancienne ministre de la Défense...! Il ne faut oublier que le Commandement des Opérations Spéciales du Général avait en 2001 quelques racines à Toulouse et dans la base aérienne 921 de Taverny !

      Nucléaire quand tu nous tiens !

  • Sûr sûr ? tu tiens ça du palais du justice ? Il était déjà question que le sort d’Y se discute après les autres, cette après-midi...