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QUI ETAIT ROBERT PANDRAUD, CE "REPUBLICAIN" SALUE PAR TOUS, MEME LE PC ? (videos)

Publie le vendredi 19 février 2010 par Open-Publishing
13 commentaires

En résumé : Pandraud état un chef des Pandores. Un patron de flics. Un casseurs de manifestants, qu’ils soient étudiants ou syndicalistes. Et ça mérite une nécro du PC ce genre de saletés ? Des voltigeurs, Buffet, elle a pas du en voir souvent de près....


"Il commence sa carrière administrative dans le corps préfectoral, avant d’être secrétaire général des Hauts-de-Seine (1967-1968).

Il est ensuite successivement directeur central de la sécurité publique, directeur du service actif de la police nationale (1970-1973), directeur du personnel et du matériel de la police (1973).

En 1974, Robert Pandraud devient directeur-adjoint du cabinet du ministre de l’Intérieur, Michel Poniatowski. De 1975 à 1978, il est directeur de la police nationale puis, de 1978 à 1981, directeur général de l’administration au ministère de l’Intérieur. En juillet 1981, il est nommé inspecteur général de l’administration du ministère de l’Intérieur.

En mars 1982, il rejoint le cabinet du maire de Paris Jacques Chirac, en tant que directeur général des services administratifs du département de Paris. il sera ensuite directeur de cabinet du maire (1983-1986).

Lors de la cohabitation entre François Mitterrand et Jacques Chirac, de 1986 à 1988, il est ministre délégué à la Sécurité au côté du ministre de l’Intérieur Charles Pasqua. A ce poste, il doit gérer une vague d’attentats terroristes ainsi que les grandes manifestations lycéennes et étudiantes contre le projet de loi réformant les universités françaises présenté par le ministre Alain Devaquet. Celles-ci sont notamment marquées par la mort de Malik Oussekine pour qui il aura cette phrase :

« Si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais de faire le con la nuit ».

Officier de la Légion d’honneur, médaille d’or de la Police nationale, marié et père de trois enfants, il est député RPR (1988-2002) puis UMP (2002-2007) dans la 8e circonscription de la Seine-Saint-Denis. Il fut aussi membre du comité d’honneur du Mouvement Initiative et Liberté et de l’Union nationale inter-universitaire (UNI).

Il n’est pas candidat à sa réélection aux élections législatives de juin 2007 et est remplacé par Patrice Calméjane, son ancien suppléant, à l’Assemblée nationale."

http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Pandraud

Sur Malik Oussekine, de Pandraud, dans Paris Match :

" (...)Robert Pandraud avait alors prononcé une phrase devenue célèbre tellement elle avait fait polémique à l’époque.

« La mort d’un jeune homme est toujours regrettable, avait-il déclaré dans une interview au monde, mais je suis père de famille, et si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais d’aller faire le con dans les manifestations. » « Malik n’a jamais pu passer son bachot, avait-il ajouté. Il est allé à l’école de tous les ratés de la bourgeoisie. Son frère passe pour un financier international douteux. Ce n’était pas le héros des étudiants français qu’on a dit... »

Robert Pandraud est par ailleurs connu pour être mêlé à l’affaire des HLM de la ville de Paris. Cet ancien président du RPR a en effet été mis en examen à plusieurs reprises, entre 1994 et 2009, pour « détournement de fonds publics », ou encore « recel d’abus de biens sociaux » pour avoir signé cinq contrats fictifs, alors qu’il était directeur de cabinet du maire de Paris Jacques Chirac. Il aurait notamment faussement fait salarier son collaborateur, l’ex-policier Rémy Halbwax à la Cofreth, une filiale de la Lyonnaise des eaux. 43 emplois qualifiés de fictifs sont ciblés au total par l’information judiciaire, qui touche une dizaine d’autres personnes dont Jacques Chirac lui-même, Daniel Naftalski, Michel Roussin ou encore Rémy Chardon. En septembre dernier, le procureur a requis un non-lieu pour l’ancien président et toutes les personnes mises en examen dans ce dossier. Jacques Chirac et ses comparses seront finalement jugés du 8 novembre au 8 décembre prochain par le tribunal correctionnel de Paris. Robert Pandraud sera donc mort avant d’avoir vu l’issue de ce procès fleuve.

http://www.parismatch.com/Actu-Match/Politique/Actu/Robert-Pandraud-est-mort-168900/

Pour finir :

L’article très très drôle de BRAVE PATRIE SUR LA MORT DE PANDRAUD :

"Robert Pandraud voltige vers les étoiles", par Didier Kala

Robert Pandraud est mort ce matin à Suresnes à l’âge de 81 ans. L’ancien ministre de la Sécurité Publique était apprécié pour son caractère entier - on disait volontiers de lui qu’il démarrait au quart de tour. L’annonce du décès de ce membre du bureau politique de l’UMP a eu un effet lacrymogène rue la Boétie, où ses camarades le pleurent à chaudes larmes.

Les feux de la rampe qui s’étaient braqués sur Robert Pandraud lors des désordres civils suivant l’annonce de la réforme Devaquet [1] ne lui rendaient pas justice. Car l’éclairage aveuglant sied mal au grand flic, plus habitué à se trouver de l’autre côté du spot dans la gueule.

Pour ce Ponot rugueux mais pudique, pendant janusien de son exubérant ami et ministre de tutelle Charles Pasqua, la célébrité passait mal. Il préférait de loin s’imprégner dans l’ombre des murmures du non-dit et déceler la poésie des sentiments que révèle en filigrane la rumeur sourde de la ville. Il faut dire que les RG aidaient bien de ce côté-là.

L’incident médical dont avait alors été victime un jeune étudiant avait bouleversé Robert Pandraud. Car Malik Oussekine était ce qu’on appelle aujourd’hui un Auvergnat, tout comme le ministre tant attaché à sa chère terre de volcans.

Marqué dans sa chair par ce triste événement, il redouble d’ardeur à la tâche. Dans le même temps, ébranlé par la fragilité d’une vie humaine, il laisse paraître un aspect de sa personnalité qu’on connaissait moins, la grâce aérienne d’une écuyère debout sur sa motocyclette.

Il se fait tour à tour défenseur d’un amour paternel total («  Je suis père de famille, et si j’avais un fils sous dialyse je l’empêcherais de faire le con dans la nuit » ) et promoteur acharné de l’avancement au mérite et de la justice de la vérité ( « Malik n’a jamais pu passer son bachot. [...] Ce n’était pas le héros des étudiants français qu’on a dit. » ).

En laissant libre cours à ses sentiments, Robert Pandraud a ainsi su rendre à la riche matière qui faisait sa vie, la police, une valeur humaine. On la méprisait auparavant, dorénavant on la craint. Ce qui est vachement plus humain en effet.

L’UMP unanime se presse aujourd’hui pour rendre hommage à Robert Pandraud, et les éloges s’accumulent, en tout cas jusqu’à ce qu’on soit sûr d’avoir retrouvé tous ses dossiers.
Mais nous ne trouvons en définitive rien de plus à dire, en guise de salut, que l’épitaphe que ce cultivateur de jardins secrets s’était choisie : « Si j’étais mort, j’empêcherais ma nécro de faire la conne sur internet. »
Notes

[1] Pour les plus jeunes de nos lecteurs : il s’agissait en termes d’agitation publique d’une espèce de CPE, mais avec des couilles.

http://bravepatrie.com/politique/robert-pandraud-voltige-vers-les,1525

Messages

  • Car Malik Oussekine était ce qu’on appelle aujourd’hui un Auvergnat, tout comme le ministre tant attaché à sa chère terre de volcans.

    AH AH AH !!! Excellentissime ! Là je dis bravo brave patrie !!!

  • L’HUMANITE de ce jour :

    La mort de Robert Pandraud
    Ministre délégué de la Sécurité durant la première cohabitation (1986-1988), marquée par une série d’attentats, Robert Pandraud, mort jeudi à l’âge de 81 ans, laisse le souvenir d’un "grand flic" épris d’ordre, entré en politique auprès de Jacques Chirac et homme-clé du RPR.

    Né le 16 octobre 1928 au Puy (Haute-Loire) de parents instituteurs dans le Cantal, étudiant boursier, Robert Pandraud est affecté, à sa sortie de l’ENA en 1953, au ministère de l’Intérieur. Il y commence une carrière de haut fonctionnaire qui lui permettra de connaître, au fil de ses affectations, les arcanes de la Place Beauvau.

    A partir de 1968, il occupe durant treize ans des postes-clés, avant de devenir directeur général de la Police nationale (1975-1978).

    En 1981, Robert Pandraud est nommé inspecteur général de l’administration du ministère de l’Intérieur, après l’arrivée des socialistes au pouvoir.

    Il se tourne alors vers la politique et rejoint Jacques Chirac à la mairie de Paris en mars 1982. Député (RPR puis UMP) de Seine-Saint-Denis (1986-2007), ancien conseiller régional (RPR) d’Ile-de-France (1992-1998), Robert Pandraud restera un homme-clé du parti.
    Malik Oussekine insulté

    En mars 1987, il lâche à propos de Malik Oussekine, 22 ans, mort après avoir été matraqué par des policiers dans le Quartier Latin lors d’une manifestation le 6 décembre 1986 : "Si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais de faire le con la nuit".

    Commentant en février 1988, la grève de la faim menée par les dirigeants historiques d’Action directe, arrêtés un an plus tôt, il déclare : "Faire la grève de la faim, c’est leur droit. On peut toujours faire des régimes d’amaigrissement".

    Membre du bureau politique de l’UMP depuis 2004, il présidait depuis 2005 la commission d’organisation et de contrôle des opérations électorales du parti présidentiel.

    Mis en examen en 2002 pour "détournement de fonds publics et complicité" dans l’affaire des chargés de missions de la Ville de Paris, il bénéficiera d’un non-lieu, les faits commis en 1992 étant prescrits.
    Les réactions :

    Charles Pasqua a raconté jeudi combien il était "pratiquement inséparable" de Robert Pandraud. "Nous étions complémentaires. J’étais plus politique, il était plus technicien", a-t-il ajouté.

    L’ancien président Jacques Chirac a fait part jeudi de sa "très grande tristesse" à l’annonce du décès de Robert Pandraud, qui fut un de ses collaborateurs et ministre de la Sécurité durant la première cohabitation (1986-1988).

    La députée communiste de Saine-Saint-Denis Marie-George Buffet a salué jeudi la mémoire de l’ancien ministre à la Sécurité Robert Pandraud, élu du même département, dont elle souligne qu’il "aura marqué de son empreinte le paysage politique français".

    "Tout le monde s’accordera pour reconnaître sa fidélité indéfectible à ses idéaux", écrit-elle dans un communiqué.

    Claude Bartolone, député PS de Seine-Saint-Denis, "souhaite saluer le parcours de cet élu de la République respecté de tous" qui fut "député de la Seine-Saint-Denis de 1986 à 2007". "En consacrant vingt années de son existence au service des séquano-dionysiens, Robert Pandraud a témoigné d’une fidélité remarquable et d’une compétence reconnue".

    Le président Nicolas Sarkozy a rendu hommage à l’ancien ministre Robert Pandraud décédé jeudi, saluant en lui "un très grand serviteur de l’Etat" qui sut "rétablir la sécurité" lorsque "la France fut frappée par une terrible vague d’attentats terroristes" en 1986.

  • s’il fallait lui rendre "hommage", comme à tous les ennemis de la classe ouvrière, le mot d’ordre serait

    Allons pisser sur sa tombe !

  • Oui c’était une vraie merde mouillée dans les activités barbouzardes et le SAC/CDR jusqu’au cou.

    Buffet a depuis belle lurette trahi la classe ouvrière et les enfants du peuple. Des communistes comme elle ont tout juste le bon profil pour garder les camps où sont détenus les enfants du peuple.

    C’est une larbin de la bourgeoisie. D’ailleurs qui croit encore que le PCF est de gauche ?

    N’oublions pas Malik Oussékine sur la tombe duquel plus grand monde passe se recueillir au Père Lachaise...N’est-ce pas Messieurs Dray et Désir ?

  • http://bellaciao.org/fr/spip.php?article98679

    Le PCF retire de son site le communique de MGB a propos de Robert Pandraud...

    de Roberto Ferrario

    On peux pense que je suis encore exagéré a parle dans cet façon... Et bien voila un "scoop" de Bellaciao...

    Après que on a publie le communique de MGB a propos de la mort de Robert Pandraud Ministre délégué de la Sécurité durant la première cohabitation (1986-1988) et avoir fait remarque a la direction du PCF que été le même ministre des "policier voltigeur a moto" que on assassine Malik Oussekine le 6 décembre 1986 et que un nombre impressionnant des camarades on proteste indigné par cet prise de position de MGB le site national du PCF retire de son propre site le communique en question... a cet heure 19h45 la page est blanche et dans la page d’accueil plus aucun trace...

    On est entrain de subir dans ces dernier heures une avalange de tentative de pollutions de notre site par des "prétendu" membres de la même direction ou "prétendu" adhèrent au parti, naturellement on se refuse de croire a leur l’identité propose... ;-)

    Manœuvre un peux minable de parte de la direction du PCF parce que en plus juste aujourd’hui un article sur L’Humanite reprendre tel quel le même communique de MGB... sans parle de toute la presse bourgeoise que dans une façon "gourmand" a repris le même texte...

    Dans le code source de la page de cet communique on peux que trouve cet misérable ligne :

    " !— SPIP CORRIGE — !DOCTYPE html PUBLIC ’-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN’ ’http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd’ ; !— HEADER —

    QUAND LE PCF SALUE LA MEMOIRE DE PANDRAUD

    " Décès de Robert Pandraud : réaction de Marie-George Buffet

    Apprenant la disparition de Monsieur Robert Pandraud, ancien député de la Seine Saint-Denis, ancien ministre, je tiens à présenter toutes mes condoléances à sa famille et à ses amis. Tout le monde s’accordera pour reconnaître sa fidélité indéfectible à ses idéaux. Il aura marqué de son empreinte le paysage politique français.

    Marie-George Buffet, Députée de Seine-Saint-Denis

    Paris, le 18 février 2010."

    http://www.pcf.fr/spip.php?article4551

    L’HUMANITE de ce jour :

    La mort de Robert Pandraud Ministre délégué de la Sécurité durant la première cohabitation (1986-1988), marquée par une série d’attentats, Robert Pandraud, mort jeudi à l’âge de 81 ans, laisse le souvenir d’un "grand flic" épris d’ordre, entré en politique auprès de Jacques Chirac et homme-clé du RPR.

    Né le 16 octobre 1928 au Puy (Haute-Loire) de parents instituteurs dans le Cantal, étudiant boursier, Robert Pandraud est affecté, à sa sortie de l’ENA en 1953, au ministère de l’Intérieur. Il y commence une carrière de haut fonctionnaire qui lui permettra de connaître, au fil de ses affectations, les arcanes de la Place Beauvau.

    A partir de 1968, il occupe durant treize ans des postes-clés, avant de devenir directeur général de la Police nationale (1975-1978).

    En 1981, Robert Pandraud est nommé inspecteur général de l’administration du ministère de l’Intérieur, après l’arrivée des socialistes au pouvoir.

    Il se tourne alors vers la politique et rejoint Jacques Chirac à la mairie de Paris en mars 1982. Député (RPR puis UMP) de Seine-Saint-Denis (1986-2007), ancien conseiller régional (RPR) d’Ile-de-France (1992-1998), Robert Pandraud restera un homme-clé du parti. Malik Oussekine insulté

    En mars 1987, il lâche à propos de Malik Oussekine, 22 ans, mort après avoir été matraqué par des policiers dans le Quartier Latin lors d’une manifestation le 6 décembre 1986 : "Si j’avais un fils sous dialyse, je l’empêcherais de faire le con la nuit".

    Commentant en février 1988, la grève de la faim menée par les dirigeants historiques d’Action directe, arrêtés un an plus tôt, il déclare : "Faire la grève de la faim, c’est leur droit. On peut toujours faire des régimes d’amaigrissement".

    Membre du bureau politique de l’UMP depuis 2004, il présidait depuis 2005 la commission d’organisation et de contrôle des opérations électorales du parti présidentiel.

    Mis en examen en 2002 pour "détournement de fonds publics et complicité" dans l’affaire des chargés de missions de la Ville de Paris, il bénéficiera d’un non-lieu, les faits commis en 1992 étant prescrits. Les réactions :

    Charles Pasqua a raconté jeudi combien il était "pratiquement inséparable" de Robert Pandraud. "Nous étions complémentaires. J’étais plus politique, il était plus technicien", a-t-il ajouté.

    L’ancien président Jacques Chirac a fait part jeudi de sa "très grande tristesse" à l’annonce du décès de Robert Pandraud, qui fut un de ses collaborateurs et ministre de la Sécurité durant la première cohabitation (1986-1988).

    La députée communiste de Saine-Saint-Denis Marie-George Buffet a salué jeudi la mémoire de l’ancien ministre à la Sécurité Robert Pandraud, élu du même département, dont elle souligne qu’il "aura marqué de son empreinte le paysage politique français".

    "Tout le monde s’accordera pour reconnaître sa fidélité indéfectible à ses idéaux", écrit-elle dans un communiqué.

    Claude Bartolone, député PS de Seine-Saint-Denis, "souhaite saluer le parcours de cet élu de la République respecté de tous" qui fut "député de la Seine-Saint-Denis de 1986 à 2007". "En consacrant vingt années de son existence au service des séquano-dionysiens, Robert Pandraud a témoigné d’une fidélité remarquable et d’une compétence reconnue".

    Le président Nicolas Sarkozy a rendu hommage à l’ancien ministre Robert Pandraud décédé jeudi, saluant en lui "un très grand serviteur de l’Etat" qui sut "rétablir la sécurité" lorsque "la France fut frappée par une terrible vague d’attentats terroristes" en 1986.

    http://bellaciao.org/fr/spip.php?article98679

  • ce soir là cà été le tour de Malik, mais çà aurait pu être le tour de n’importe quel basané...car à cette époque, la police de Pasqua et Pandraud chassait le jeune, le "gnoule" "pas-français" ...en revanche elle avait pas les coucougnettes contre la CGT...et son SO...autres moeurs, autre époque. Beaucoup de mes camarades parisiens doivent vomir la posture de MGB à ce sujet, pour sûr.

    Pandraud méritait un autre "hommage"...MGB sucre les fraises, pour sur, faut qu’elle dégage...le pire c’est Laurent...çà va être pire mais dans autre registre...

    Ils ont les mains blanches...

  • Pandraud est ce ministre qui refusa de donner à Dulcie September la protection policière qu’elle demandait se sachant suivie peu avant son assassinat de balles de 22 long rifle tirées dans la tête sur le pas même de la porte du local de l’ANC à Paris.

    Pour ceux qui n’étaient pas nés ou qui ne connaissaient pas Dulcie, son combat, seule erreur dans ce chapitre de Wikipedia c’est qu’elle fut assassinée devant l’entrée du local, deux an après les faits on pouvait encore discerner les traces de sang sur la moquette :

    Dulcie Evonne September, plus connue sous le nom de Dulcie September, était une personnalité politique sud-africaine, née le 20 août 1935, assassinée le 29 mars 1988 à Paris.

    Dulcie September représentait l’ANC et a été assassinée, en bas des escaliers dans la courette parisienne desservant les bureaux de l’ANC à Paris entre 6 h 30 et 7 h du matin, de cinq coups de feu d’un calibre 22 avec un silencieux tirés en pleine tête. On ne connaît toujours pas l’assassin, mais les suspects sont Joseph Klue (Sergent Major du SADF), Dirk K. Stoffberg (vendeurs d’armes et agent SA), Heine Hüman ainsi que Jean-Paul Guerrier, proche du mercenaire Bob Denard.

    Il a été suggéré que cet assassin a été engagé par le gouvernement sud-africain. L’association Survie notamment accuse les services secrets français d’avoir collaboré à cet assassinat.

    Avant son assassinat, Dulcie enquêtait sur un trafic d’armes entre la France et l’Afrique du Sud. Il y aurait du trafic de substances nucléaires.

    Le lendemain du meurtre, Alfred Nzo a déclaré : « S’il y avait une cible facile, Dulcie September en était une ».