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Aquila, Italie : “la révolte des brouettes” (video+photos)

Publie le mardi 2 mars 2010 par Open-Publishing
6 commentaires

de Roberto Ferrario

Le gouvernement de Berlusconi ne fait rien pour nettoyer la ville de l’Aquila donc...

Six mille personnes ont participé à la "révolte des brouettes" et les forces de sécurité n’ont pas pu empêcher l’entrée dans la "zone rouge".

Les citoyens de la capitale des Abruzzes se sont auto-organisés pour protester contre la lenteur à dégager les débris que s’entassent encore dans le centre, qui reste fermé près d’un an après le séisme.

Pour accompagner les brouettes, une foule, entre la Piazza Duomo et Piazza Palazzo :

"Tous les matériaux, comme le métal, sont dégagés, et conduits à travers les rues, comme ils sont en train de le faire, là ... on va faire tous les travaux de terrassement... Nous sommes les seuls à remettre au propre la ville. "

"Ces gravas je les ai récupérés devant la Marie, devant la "Torre Civica"... ce sont les restes d’un palais..."

Selon la protection civile, il existe encore entre 1.5 et 3 millions de mètres cubes de gravats à éliminer.

Entre le centre, la banlieue et les villages, plus de dix mille bâtiments ont été endommagés.

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Messages

  • Bien sûr, je suis d’accord avec l’action des habitants de Aquila.

    Mais, même pour une "cause" légitime, il faut que l’on fasse usage de procédés de propagande :il commence sur des ralentis d’images d’une statut DEBOUT mais camera PENCH2E pour évoquer une catastrophe et la musique vous assène trois ou quatre coups de fouets, au cas où vous vous endormiriez. Il finit sur un air de flute et on entend un populo qui chante. Les prises de vues sont penchées, comme si la réalité n’est pas assez évocatrice. On ne voit rien de ce que font, effectivement, les gens qui sont montrés sous un aspect GRAVE, alors qu’il s’agit de festif. C’est une MISE EN SCÈNE de guerre qui n’en est pas une.

    Avec tel montage des images, un enfant dit exactement de quoi il retourne : "Heuu, dishe que..." et rien d’autre.

    Au lieu de montrer l’effective prise en main des gens, comme ensemble, dans un problème qui les concerne, des images sans queue ni tête montrent des "individus" éparts. Il y a une longue vue sur une chaîne qui passe des seaux mais elle apparait comme incongrue, sans "masse", sans "esprit de masse", d’idée collective : il faut user d’un procédé de montage pour montrer quelque chose qui n’a rien à voir.

    Ce film spectacularise une action des gens. Les prises de vues sont en contre-plongée pour augmenter la dimension de l’acteur, comme si sa décision n’avait pas de poids et qu’il faut lui en rajouter.

    Des habitants d’une ville sont mécontents de la lenteur de leur municipalité à trouver une solution aux restes d’un tremblement de terre. Et que voit-on dans ce film ? Non pas des gens qui se prennent en main, mais des MANIFESTANTS. Et c’est bien là, selon moi, l’objet de ce film : que les gens ne font QUE MANIFESTER, comme des gamins de sorte qu’il leur faille toujours et encore du paternalisme pour résoudre LEURS problèmes.

    • Alors là pour le coup je ne suis pas loi n de partager cet avis...

    • peut etre qu’ils ont les mains dans la m... toute la journée, et que pour la manif ils ont... manifesté ?

    • Des habitants d’une ville sont mécontents de la lenteur de leur municipalité à trouver une solution aux restes d’un tremblement de terre. Et que voit-on dans ce film ? Non pas des gens qui se prennent en main, mais des MANIFESTANTS. Et c’est bien là, selon moi, l’objet de ce film : que les gens ne font QUE MANIFESTER, comme des gamins de sorte qu’il leur faille toujours et encore du paternalisme pour résoudre LEURS problèmes.

      Un commentaire que ressemble bien plus a une "branlette intellectuelle mal réussi" que a une critique ou un commentaire sur "l’action" des habitants d’Aquila... on essaie de dévié le sujet et on se concentrant sur le "plane inclinée de la camera dans la vidéo".... cher ami on ne se signe même pas ? Mais pas avec un pseudo mais avec son nom et prénom pour bien marque que on se défile pas de que on jette une pierre... mais on assume ces propre idée...

      Les habitants ne sont pas seulement "mécontents de la lenteur de leur municipalité" mais en particulier du gouvernement que ne fourni pas les fond financier nécessaire et fatigué de voir les mafiosi que sont entraine encore une fois des bloque tous les négociations pour faire pression a propos des contrats a signe pour commence les travaux...

      Les gens ne se prennent pas en main ??? tu a des tranches de salami Milanaise sur tes yeux ???

      HAAAAAAA quel horreur sont entraine de manifester berk berk berk... que des enfants...

      C’est quoi ton problème si les gent sont entraine de manifeste, en quoi doit être gênant pour leur lutte ????

      Et bien mon cher ami (putain comme je suis hypocrite...) tu donne l’impression que tu ne conne rient de la situation de la ville d’Aquila, ni de son histoire, ni de se que c’est arrivé âpres le tremblement de terre (si tu ne au courant...), ni des diffèrent foutages de gueule de Berlusconi, ni de leur manifestations, ni de leur organisation, ni enfin du sens de leur dernier manifestation de proteste la "Rivolta delle carriole"... bref tu a rient compris, mais c’est pas une problème... moi aussi je ne comprend rient de se que tu veux dire a propos du "paternalisme"...

      Est que tu veux insinue que le gens du sud et du centre de l’Italie sont des sous-homes que encore une fois proteste mais que en réalité cherche encore et encore de demande du fric pour se faire assiste comme des enfant ???

      Il sont entraine des manifeste et de se prendre en main... les deux a la fois... et merde...

      Tu veux nous faire croire que tu pense comme la "Lega Nord" que traite les italien du sud et du centre comme des italien des deuxième catégorie et considère que son bon seulement a "vole" l’argent que le gouvernement "prend" par le taxes a les entreprises du Nord ???

      Mais que bel discours... oui le tien bien sur c’est paternaliste voir pire...

      Oui ils sont entraine de manifeste et sont entraine de hurle au flics (i celerini...) de se casse de la ville, il sont la uniquement pour protégé le diffèrent "intérêts" des clans des mafiosi, les manifestant nous dise que n’ont pas besoin du gouvernement et de leur promesse, mais que sont capable de nettoyé la ville bien plus rapidement et sans aide des tous les entreprise d’état, il nous montre que sont capable de se autogéré et que ne demande rient que de le laisse faire... n’ont plus aucun confiance avec les institution bourgeoise...

      Leur slogans sont ni populiste ni démagogique mais dicte par le bon sens et la solidarité, si ca te gêne que en plus sont capable de cogne les policiers et de défoncé les barriere de protection et en même temps de faire la fête et sourire avec des attitude théâtrale, ca veux dire que tu n’a rient compris aussi de la philosophie de la "commedia dell’arte", et a la pense contradictoire que les italien donne au sens de la vie ...

      Je ne parle même pas des mouvement social et de résistance dans l’histoire italienne je pense que je perde du temps avec vous cher ami...

      Roberto Ferrario

    • Je voulais parler de l’avis général, et pas spécialement du pb de l’aquila ni des développements sur les plans le film etc.

    • Si tu lis bien ce qui est écrit, il est dit que le FILM est si proche de la propagande qu’il dévalorise le fait que des gens se prennent en main par la spectacularisation de leur MANIFESTATION ; et non le contraire comme tu le laisses à penser. Ce n’est pas MOI qui dévalorise, mais le film. Ça va mieux ? C’est le fait de montrer comme une SIMPLE MANIFESTATION le fait que des gens se prennent en main qui dévalorise ce que font ces gens : moi, je suis entièrement d’accord avec eux, mais pas avec le film. Ça va mieux ?

      Ne lis pas comme tu écris, ça laisse plus de champ libre à la compréhension des idées qui te sont étrangères.

      Quand au fait de l’anonymat : aurais-je dis la même chose dans une assemblée, tu en aurais compris la même chose ; l’anonymat n’est une borne que pour celui qui cherche une cible, un pharmakos, sinon, lorsque le contenu est valable, qu’importe la bouteille lorsqu’elle donne l’ivresse !