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libération d’Emmanuel "ce ne sont pas les chefs des FARC qui ont menti, mais leur base"

Publie le samedi 5 janvier 2008 par Open-Publishing
7 commentaires

Colombie : révélations sur la libération d’Emmanuel, le fils de Clara Rojas

Pourquoi les FARC ont menti ? Qu’est-il vraiment arrivé à Emmanuel ? Comment, fin décembre, les FARC ont paniqué pour tenter de le récupérer Serge Raffy, du Nouvel Observateur, raconte, à partir de trois questions clefs, les coulisses de l’opération.

 1-Pourquoi les FARC ont menti à propos d’Emmanuel ? Quand la direction du mouvement terroriste a annoncé, fin décembre, la prochaine libération de Clara Rojas, l’amie d’Ingrid Betancourt, et de son fils, Emmanuel, né en captivité le 20 juin 2004, elle n’avait pas été mise au courant du placement de ce dernier dans une famille de paysans de la région du Guaviare.
 En fait, ce manque de coordination incroyable révèle la perte de contrôle du secrétariat, l’organe central des FARC, sur l’organisation. "Aujourd’hui, à cause de la pression militaire de l’armée gouvernementale, les groupes locaux ont acquis une forme d’autonomie, explique un fonctionnaire colombien.
 Ils peuvent très bien tenir secrète des informations durant de longs mois sans prévenir leur hiérarchie. Ils peuvent aussi négocier la libération de leurs propres otages avec le secrétariat. Cette autonomie complique terriblement les choses. Elle multiplie les obstacles et surtout les malentendus.
 Le cas du petit Emmanuel est instructif.

 Il prouve que ce ne sont pas les chefs des FARC qui ont menti, mais leur base." Conséquence : il y a de grandes chances que la direction des FARC organise des représailles dans les semaines à venir, pour reprendre en main une organisation de plus en plus éclatée. "Il y a aussi un débat qui va s’intensifier au sein même de l’organisation, précise un observateur français chargé du dossier.
Entre les tenants de la ligne dure comme Marulanda ou Mono Jojoy, et ceux d’une ligne politique prête à envisager la fin de la lutte armée, représentée par Alfonso Cano et Yvan Marquès, le ton va se durcir de plus en plus."

 2-Qu’est-il vraiment arrivé à Emmanuel ?Emmanuel est l’enfant de Clara Rojas et d’un de ses gardiens, qui a été très vite éloigné du camp des otages.
Certaines sources colombiennes prétendent qu’il a été fusillé, comme il est de règle dans l’organisation : tout guérillero qui a des relations sexuelles avec une otage est considéré comme un criminel et est jugé par ses pairs et condamné.
Officiellement, la direction du mouvement a évoqué un "départ loin de la ligne de front". Pour de nombreux spécialistes de la guérilla, il faut traduire cette formule par le mot "exécution". Au bout de quelques mois en captivité, le nourrisson est atteint de malaria, de gastro-entérite et a perdu l’usage d’un bras dans des conditions encore mystérieuses.
 John Franck Pinchao, l’otage qui s’est enfui et qui a vécu de longs mois avec Ingrid et Clara, a évoqué le bras cassé du petit garçon.
 Devant l’état alarmant du bébé, les responsables du camp des FARC décident de confier l’enfant à une famille de paysans, les Gomez Tapiero et de le séparer de sa mère.

 Sans prévenir leur direction, espérant sans doute le récupérer au bout de quelques semaines. Mais,, au bout de quelques mois, en juin 2005, le nouveau parrain d’Emmanuel, Juan Christosanto Gomez Tapiero conduit le petit garçon, qui s’appelle désormais Juan David Gomez Tapiero à l’hôpital de San José del Guaviare, une bourgade située au cœur de la zone de production de cocaïne au sud-est du pays.
 Les médecins l’examinent et très vite remarquent des signes de maltraitance sur l’enfant. Il y a d’abord ce bras cassé et aussi des marques de coups et de brûlures. Les services de protection de l’enfance, alertés aussitôt, prennent alors la décision de retirer de la famille Gomez Tapiero.
Cas banal en Colombie, qui enregistre 30.000 cas de maltraitance sur enfant chaque année. Emmanuel, alias Juan David, est conduit alors, en juillet 2005, dans un organisme pour enfants abandonnés à Bogota, un ICBF, Institut Colombien de Bien Etre Familial.
Sur place les responsables du camp ont gardé le secret et n’ont pas prévenu leur hiérarchie de ce faux-pas. Clara Rojas, en fait, n’a pratiquement pas élevé son fils et n’a plus vu son père depuis sa naissance qui, pour beaucoup, aurait été exécuté.

 3-Comment, fin décembre, les FARC ont paniqué pour retrouver Emmanuel ?

 Quand la direction des FARC a annoncé la libération des trois otages dont le petit Emmanuel, le group local chargé de la garde de Clara Rojas et de son fils, sans doute implanté dans le secteur du Guaviare, a tenté de récupérer l’enfant à tout prix. Un des chefs, le commandant Jéronimo, est chargé de reprendre contact avec Gomez Tapiero qui lui apprend qu’Emmanuel, sous le nom de Juan David, a été placé à Bogota.
 Menacé de mort, Gomez Tapiero est envoyé en express à Bogota pour récupérer l’enfant. Le 28 décembre, le "parrain" du fils de Clara Rojas, qui se fait passer pour son père, débarque à l’Institut et réclame son fils.
Il est accueilli par les policiers colombiens qui l’interrogent. Gomez Tapiero ne savait pas que le gouvernement colombien cherchait lui aussi depuis trois mois à localiser l’enfant.
 En septembre, par des interceptions de communications par satellite entre des membres des FARC, l’entourage du président Uribe avait acquis la conviction qu’Emmanuel n’était plus entre les mains des FARC mais quelque part, sous une autre identité, dans un organisme infantile colombien.
 Quand la direction des FARC a annoncé la libération du petit garçon, les services de renseignement se sont alors activé pour le retrouver avant leurs ennemis.
Ils avaient fini par le retrouver et attendaient tranquillement que les "parents" viennent le récupérer.
 Ils ont laissé le président Chavez se laisser ridiculiser par les FARC en sachant que l’enfant était en lieu sûr. Le gouvernement de Bogota a d’abord prévenu les services de la Croix-Rouge et les présidents brésiliens et argentins, tous assommés par la nouvelle et par la "barbarie" des FARC. Au cours de son interrogatoire, Gomez Tapiero a prétendu que les mauvais traitements supportés par l’enfant avaient été commis durant sa période de captivité dans la jungle et qu’ils auraient été administré par la mère du nourrisson.

 Cette thèse épouvantable est démentie par plusieurs sources proches du dossier pour qui Gomez Tapiero cherche simplement à se blanchir en chargeant une malheureuse otage. Paradoxe ; cette situation tragique laisse quelques lueurs d’espoir.

 Premier aspect positif : Emmanuel est sain et sauf et va pouvoir retrouver dans quelques jours sa famille maternelle, en particulier la mère de Clara Rojas. D’autre part, les FARC, totalement déconsidérés après ce mensonge épouvantable, ont tout intérêt à libérer rapidement Clara Rojas et Consuelo Gonzales. "Si Chavez reste calme, après avoir été ridiculisé, dit un des négociateurs européens pour l’accord humanitaire, il peut encore se sauver la mise en récupérant ces deux otages. Les FARC y ont intérêt. Et très vite. Dans les situations ubuesques, il y a parfois d’heureuses surprises". Serge Raffy

- http://tempsreel.nouvelobs.com/actu...

Messages

  • "par des interceptions de communications par satellite entre des membres des FARC,"

    Voilà bien le problème :

     URIBE ne pense qu’à massacrer les FARC avec l’aide des autres narco-trfiquants étasuniens, elurs armes et leur fric.

     Les FARC ne peuvent plus communiquer entre eux, ni avec la caravane humanitaire sans être massacrés illico.

     Les narco-trafiquants leur mettront sans problème et sans état d’âme superflu (pour eux) ces impossibilités de communication sur le dos. De manière à pouvoir massacrer les FARC avec la bénédiction de la Très Sainte Communauté Internationnale (qui c’est ?) et augmenter leur business : trafic d’armes et de cocaïne.

  • à traduire :)

    FARC-EP : URIBE HA SEQUESTRATO EMMANUEL

    1. Esperto in cortine fumogene, il governo narco-paramilitare di Uribe Vélez, previa consultazione col suo padrone a Washington, ha deciso di sequestrare a Bogotá il bambino Emmanuel con l’infelice proposito di sabotare la sua consegna, quella di sua madre Clara Rojas e quella di Consuelo Gonzáles de Perdomo, al Presidente della Repubblica Bolivariana del Venezuela Hugo Chávez.

    2. Con questo nuovo fatto, che si aggiunge all’intensificazione degli operativi bellici nell’area, Uribe mira a disattivare il trascendentale lavoro umanitario del Presidente Chávez, seminando la sfiducia tra i delegati internazionali e contrapponendo nuovi ostacoli e campagne mediatiche ad una decisione unilaterale che esprime la volontà politica delle FARC di portare avanti lo scambio di prigionieri. Lo ribadiamo in questa occasione : Uribe non è programmato dai gringos né per lo scambio umanitario, né per la pace.

    3. L’opinione pubblica nazionale ed internazionale comprende molto bene che Emmanuel non poteva stare nel mezzo delle operazioni belliche del Plan Patriota, dei bombardamenti e combattimenti, degli spostamenti permanenti e delle contingenze della selva. Per tali ragioni questo bambino, il cui padre è un guerrigliero, era stato sistemato a Bogotá ed accudito da persone per bene in attesa che venisse firmato l’accordo umanitario. Uribe, che ha già sequestrato nella capitale le prove di sopravvivenza dirette al Presidente Chávez, ora sequestra Emmanuel. Così come ha catturato ed arrestato i messaggeri umanitari, ora si appresta a procedere allo stesso modo contro le persone incaricate di accudire il bambino. Emmanuel sarebbe stato consegnato, insieme a sua madre, al Presidente del Venezuela Chávez.

    4. Con il governo Uribe, che ostinatamente si è rifiutato di smilitarizzare Pradera e Florida per parlare di accordo umanitario, non ci siamo presi impegno alcuno che gli permetta di andare a dire in giro che non stiamo mantenendo la parola. Per principio, morale ed etica rivoluzionaria le FARC non usano come metodo la tortura, e ancor meno se si tratta di un bambino. I veri torturatori stanno nell’esercito, nelle forze di polizia e tra gli agenti del governo narco-paramilitare che ha occupato il Palazzo di Nariño.

    5. Il processo di liberazione di Clara Rojas e Consuelo Gonzáles de Perdomo andrà avanti, così come abbiamo offerto al governo della Repubblica Bolivariana del Venezuela. Questa è la decisione delle FARC. A tal fine non stiamo chiedendo al signor Uribe alcun corridoio di sicurezza ; ciò che abbiamo reiterato, e che ratifichiamo, è la necessità della smilitarizzazione di Pradera e Florida, per procedere subito alla verifica ed alla realizzazione del primo incontro, allo scopo di convenire lo scambio umanitario, che ad ogni modo deve darsi con l’accompagnamento della comunità internazionale.

    6. Aldilà di queste vicissitudini, chiediamo al Presidente Chávez di mantenere viva la speranza nello scambio attraverso il suo coerente impegno umanitario, che consideriamo un passo necessario verso la ricerca di una soluzione politica e diplomatica del conflitto sociale ed armato che vive la Colombia.

    Segretariato dello Stato Maggiore Centrale delle FARC-EP

    Montagne della Colombia, 2 gennaio 2008

    • 82 26,

      Votre article et bien plus crédible je pense que celui de Serge Raffy, de qui on connait les reportages, je pense qu’il explique mieux les faits et le rôle néfaste de Uribe ,malheureusement je ne sais pas le traduire ,je vais tenter de me le faire traduire et si c’est le cas je le remettrais sur le site ;Amicalement. A L de TOULOUSE.

    • Proposition de traduction. Uribe a séquestré Emmanuel.

      1) Expert en rideaux de fumée le gouvernement narco-paramilitaire d’Uribe Velez ,après avoir consulté son patron à Washington, a décidé de séquestrer l’enfant Emmanuel à Bogota dans l’intention de saboter sa libération ainsi que celle de sa mère Clara Rojas et celle de Consuelo Gonzales de perdomo et leur remise au président de la rép. boliv. Hugo Chavez.

      2) Avec ce fait nouveau qui s’ajoute à l’intensification des opérations militaires dans la région, Uribe vise à désactiver le travail humanitaire impartial de Chavez, semant la défiance entre les délégués internationaux, opposant de nouveaux obstacles et campagnes médiatiques à la volonté politique des FARC de réaliser l’échange de prisonniers.Nous le confirmons à cette occasion : Uribe n’est programmé par les gringos ni pour l’échange humanitaire ni pour la paix.

      3) L’opinion publique nationale et internationale comprend très bien qu’Emmanuel ne pouvait rester au milieu des opérations militaires du plan patriote, des bombardements et des combats, des déplacements permanents et des contraintes de la vie dans la forêt. Pour de telles raisons cet enfant, dont le père est un guerrillero, avait été placé à Bogota pour sa sécurité en attendant que soit signé l’accord humanitaire. Uribe, qui a déjà séquestré dans la capitale les messagers porteurs de preuves de vie d’otages qui étaient adressées au président Chavez, séquestre aujourd’hui Emmanuel. De même qu’il a capturé et emprisonné les messagers humanitaires, il s’apprête aujourd’hui à utiliser les mêmes procédés contre les personnes chargées d’accueillir l’enfant. Emmanuel aurait du être remis en même temps que sa mère à Hugo Chavez.

      4) Avec le gouvernement Uribe, qui s’est obstinément refusé à démilitariser Pradera et Florida le temps des négociations, aucuns engagements n’ont été pris qui l’autorise à répandre le bruit que nous n’avons pas tenu parole.Par principe, morale et éthique révolutionnaire les FARC n’utilisent pas la torture comme méthode et encore moins s’il s’agit d’un enfant. Les vrais tortionnaires se trouvent dans l’armée, dans les forces de police et parmi les agents du gouvernement narco-paramilitaire qui a pris possession du palais de Narino.

      5) Le processus de libération de Clara Rojas et Consuelo Gonzales de Perdomo ira de l’avant comme nous l’avons proposé au gouvernement de la rép. boliv. du Vénézuela. Telle est la décision des FARC. A cette fin nous n’avons demandé à M. Uribe aucun corridor de sécurité, la demande que nous avons réitérée et que nous confirmons, c’est la nécessité de la démilitarisation des Zones de Pradera et de Florida, pour procéder immédiatement aux contrôles pour la tenue de la première rencontre, dans le but de définir l’échange humanitaire qui se produira de toute façon avec l’accompagnement de la communauté internationale.

      6) Malgé ces vicissitudes nous demandons au président Chavez de conserver vivement l’espoir dans l’échange à travers son engagement humanitaire conséquent, que nous considérons comme une démarche nécessaire pour la recherche d’une solution politique et diplomatique du conflit social et armé que vit la Colombie.
      Secrétariat de l’état major central des FARC-EP
      Montagnes de Colombie le 2 janvier 2008

    • http://bellaciao.org/fr/article.php...

      dimanche 6 janvier 2008 (18h36) :
      Uribe a séquestré Emmanuel
      1) Expert en rideaux de fumée le gouvernement narco-paramilitaire d’Uribe Velez ,après avoir consulté son patron à Washington, a décidé de séquestrer l’enfant Emmanuel à Bogota dans l’intention de saboter sa libération ace fait nouveau qui s’ajoute à l’intensification des opérations militaires dans la région, Uribe vise à désactiver le travail humanitaire impartial de Chavez, semant la défiance entre les délégués internationaux, opposant de nouveaux obstacles et campagnes médiatiques à la volonté politique des FARC de réaliser l’échange de prisonniers.Nous le confirmons à cette occasion : Uribe n’est programmé par les gringos ni pour l’échange humanitaire ni pour la paix.

      3) L’opinion publique nationale et internationale comprend très bien qu’Emmanuel ne pouvait rester au milieu des opérations militaires du plan patriote, des bombardements et des combats, des déplacements permanents et des contraintes de la vie dans la forêt. Pour de telles raisons cet enfant, dont le père est un guerrillero, avait été placé à Bogota pour sa sécurité en attendant que soit signé l’accord humanitaire. Uribe, qui a déjà séquestré dans la capitale les messagers porteurs de preuves de vie d’otages qui étaient adressées au président Chavez, séquestre aujourd’hui Emmanuel. De même qu’il a capturé et emprisonné les messagers humanitaires, il s’apprête aujourd’hui à utiliser les mêmes procédés contre les personnes chargées d’accueillir l’enfant. Emmanuel aurait du être remis en même temps que sa mère à Hugo Chavez.

      4) Avec le gouvernement Uribe, qui s’est obstinément refusé à démilitariser Pradera et Florida le temps des négociations, aucuns engagements n’ont été pris qui l’autorise à répandre le bruit que nous n’avons pas tenu parole.Par principe, morale et éthique révolutionnaire les FARC n’utilisent pas la torture comme méthode et encore moins s’il s’agit d’un enfant. Les vrais tortionnaires se trouvent dans l’armée, dans les forces de police et parmi les agents du gouvernement narco-paramilitaire qui a pris possession du palais de Narino.

      5) Le processus de libération de Clara Rojas et Consuelo Gonzales de Perdomo ira de l’avant comme nous l’avons proposé au gouvernement de la rép. boliv. du Vénézuela. Telle est la décision des FARC. A cette fin nous n’avons demandé à M. Uribe aucun corridor de sécurité, la demande que nous avons réitérée et que nous confirmons, c’est la nécessité de la démilitarisation des Zones de Pradera et de Florida, pour procéder immédiatement aux contrôles pour la tenue de la première rencontre, dans le but de définir l’échange humanitaire qui se produira de toute façon avec l’accompagnement de la communauté internationale.

      6) Malgé ces vicissitudes nous demandons au président Chavez de conserver vivement l’espoir dans l’échange à travers son engagement humanitaire conséquent, que nous considérons comme une démarche nécessaire pour la recherche d’une solution politique et diplomatique du conflit social et armé que vit la Colombie.

      Secrétariat de l’état major central des FARC-EP
      Montagnes de Colombie le 2 janvier 2008

      http://bellaciao.org/fr/article.php...insi que celle de sa mère Clara Rojas et celle de Consuelo Gonzales de perdomo et leur remise au président de la rép. boliv. Hugo Chavez.

      2) Avec

      De : FARC-EP
      dimanche 6 janvier 2008

      De : FARC-EP
      dimanche 6 janvier 2008

  • Comme à son habitude Serge Raffy écrit un texte plus a sa convenance qu’à la réalité, ce qui est tout à fait logique quand on connait le journal pour qui il écrit, je viens de lire le texte plus bas écrit en Italien, il n’est pas du tout dans la même logique,et si mon ami me le traduit je le remmetrais sur la toile,cette histoire est assez tragique il n’est nul besoin d’écrire encore des choses sans en connaitre réellement la vérité et en essayant en plus d’en rajouter sur les FARC en les traitants de( Barbares)et même en se contredisant même à l’occasion,il l’a déjà fait en écrivant des articles invraisemblables sur Cuba et un livre sur Fidel Castro, un tissus de mensonges.AL de Toulouse