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11 Septembre : La réponse des Architectes et Ingénieurs au Rapport du NIST
Publie le samedi 4 octobre 2008 par Open-Publishing1 commentaire
– Association ReOpen911
– ReOpen911 News
L’association ae911Truth des Architectes et Ingénieurs pour la vérité sur le 11 Septembre a récemment publié sa réponse au Rapport du National Institute of Standards and Technology (NIST) paru le 21 août dernier, et qui était censé expliquer de manière scientifique et définitive l’effondrement du troisième immeuble (le WTC7) le 11 septembre 2001. C’est Richard Gage, architecte et fondateur de cette association ae911truth qui signe la lettre coécrite avec une quinzaine d’autres scientifiques (voir liste complète en fin de document), et adressée à Stephen Cauffman, chef de projet au NIST, spécialiste des structures, et rapporteur du document officiel.
Cher M Cauffman,
Je vous écris de la part d’un groupe de scientifiques, de spécialistes, d’ingénieurs et de professionnels de la construction qui se sont consacrés à des recherches scientifiques à propos de la destruction des trois grands bâtiments (WTC 1, 2 et 7) le 11 septembre 2001. Nous avons examiné les rapports préliminaires communiqués par le NIST, prétendant expliquer la fin du bâtiment 7 du WTC (mentionnés ici collectivement comme "le Rapport"). Nous avons trouvé beaucoup de points qui devraient être revus et réexaminés par le personnel du NIST avant la sortie d’un rapport final sur ce sujet. En accord avec les directives édictées par le NIST pour la soumission de commentaires nous avons fourni nos noms à la fin de ce document, ainsi que les organisations auxquelles nous sommes affiliés.
Tout d’abord nous aimerions attirer votre attention sur le fait que nous sollicitons une extension raisonnable du délai alloué au public pour soumettre ses commentaires. Etant donné le nombre de déclarations incorrectes ou contradictoires découvert dans le rapport, nous aurions vraisemblablement trouvé bien d’autres points à réexaminer par le NIST pour son rapport final. Comme souligné dans notre correspondance qui vous demandait une prolongation, le délai initial de trois semaines n’était absolument pas réaliste. Premièrement il a fallu au NIST plus de trois ans pour compiler ce Rapport de plus de 1000 pages. Pourquoi alors n’avoir alloué que trois semaines au public pour formuler ses commentaires ? Qui plus est, le NIST énumère dix auteurs et du personnel par douzaines, employés ou sous-traitants, ce qui au long des trois années de l’enquête nous donne quelque chose comme 200.000 heures-personne de travail. Comment le NIST pouvait-il prétendre que le public ait la capacité en trois semaines de rivaliser avec cette quantité de travail, ou même de s’en approcher ? Cette première raison à elle seule était suffisante pour justifier une extension considérable du délai pour les commentaires du public.
Deuxièmement, dans sa page des "Questions et Réponses" le NIST a essayé de réfuter beaucoup des points que les membres de notre groupe ainsi que d’autres ont soulevés concernant la destruction du WTC 7. Cependant le NIST n’a fourni aucune référence aux sections du rapport qui argumentent sur ces prétendues réfutations. Comment donc le lecteur peut-il vérifier la réfutation du NIST sans avoir terminé la lecture du Rapport de 1000 pages ? Nos commentaires concernent de nombreux éléments mentionnés dans la page des "Questions et Réponses". Or étant donné que le Rapport ne les cite pas, nous avons dû consacrer beaucoup d’efforts et de temps afin de vérifier si nos critiques de la théorie proposée par le NIST sur l’effondrement avaient été convenablement prises en compte ou pas. C’est d’autant plus vrai que ce nouveau rapport préliminaire fournit la troisième théorie différente élaborée par le NIST.
Votre réponse à notre demande fut dédaigneuse, basée essentiellement sur votre conviction qu’une période de six semaines constituait un délai raisonnable pour les commentaires sur les 10.000 pages du rapport produit par le NIST sur les Tours Jumelles. L’omission de toute référence aux 1000 pages du Rapport que le NIST aurait dû placer dans sa page des "Questions et Réponses" ne vous a pas non plus posé de problème : il vous a semblé suffisant que le NIST use de l’argument d’autorité, ce qui constitue une erreur de logique. Telles que les choses se présentent actuellement, votre position sur cette affaire est perçue comme rien moins qu’une tentative de contrecarrer la capacité du public de revoir et commenter le travail du NIST concernant ce domaine de recherche extrêmement important.
Malgré tout, nous avons été en mesure de consacrer du temps à la lecture et l’analyse du Rapport, et avons déjà trouvé de nombreux problèmes qui remettent sérieusement en cause son exactitude et son utilité. Nos commentaires sur le Rapport sont exposés ci-dessous. Vous noterez que nous déclinons l’invitation du NIST à ne commenter que sur le rapport résumé, NCSTAR 1A. Nos commentaires concernent tout le document NCSTAR 1-9, beaucoup plus détaillé. Evidemment, une fois que NCSTAR 1-9 sera revu pour tenir compte de ces commentaires, le rapport résumé devra aussi être révisé.
Sur la base de nos observations ci-dessous il est évident que l’explication du NIST ne repose que sur des modèles informatiques extrêmement douteux. De plus, chaque fois que le NIST a eu l’occasion de saisir des données dans ses modèles successifs, il a choisi d’utiliser les données produisant les plus hautes températures et les dommages structurels les plus importants. Par conséquent, les auteurs de ces commentaires demandent au NIST de rendre accessibles au public ses modèles et les données de modélisation afin que les membres de la communauté scientifique puissent tester si d’autres hypothèses, plus raisonnables, produiraient aussi un effondrement total de la structure. Après tout, une hypothèse scientifique ne peut être largement acceptée que si elle est reproductible par d’autres.
==== FIN DE LA PREMIERE PARTIE ===
Traduit pour ReOpenNews par Perry
Messages
1. 11 Septembre : La réponse des Architectes et Ingénieurs au Rapport du NIST, 4 octobre 2008, 09:50
La vérité finira par éclater mais le mal sera fait. Le temps qui passe joue en faveur des assassins. Rappelons nous de ce qui s’est passé à Timisoara.