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80% des Français(IFOP) pour la réforme des institutions ; c’était quoi les questions ?
Publie le mercredi 6 août 2008 par Open-Publishing7 commentaires
– La possibilité pour le Président de la République de prendre la parole devant les sénateurs et les députés réunis en Congrès. Depuis 1875, ce n’était pas le cas.
Bien sûr pas de vote après son blabla !
– L’obligation pour le gouvernement d’obtenir l’accord du Parlement pour prolonger une opération militaire au delà de six mois.
– La limitation du nombre de mandats présidentiels à deux
bof !
– La suppression du droit de grâce présidentiel (l’amnistie)
– La possibilité accordée à chaque citoyen de saisir le Conseil Constitutionnel pour vérifier la conformité d’une loi aux libertés et aux droits fondamentaux /
FAUX : http://www.maire-info.com/article.a...
"Désormais, après cette nouvelle modification, la procédure de saisine pourra être déclenchée par un simple citoyen, français ou étranger, ou une personne morale. Ces derniers pourront contester, devant un juge, la conformité d’une loi déjà promulguée par rapport aux droits fondamentaux garantis par la Constitution. Les juridictions ordinaires ne pourront pas saisir les Sages directement mais par l’intermédiaire des juridictions les plus élevées, Conseil d’Etat et Cour de cassation.
Les députés ont par ailleurs prévu que le Parlement puisse donner un avis sur les nominations au Conseil constitutionnel. "
Délai ?? mettons 4 ans ou plus !
– La possibilité de demander l’organisation d’un référendum si un cinquième des députés et sénateurs et un dixième des électeurs français le demandent : ce qui fait 185 députés et plus de 4 Millions d’electeurs
– La possibilité pour le Parlement de s’opposer aux propositions de nominations à la tête des institutions les plus importantes
A mourir de rire ; quelle est la majorité au parlement ?
– La limitation de l’utilisation par le gouvernement de l’article 49.3.
bof !
http://vincentluaces.unblog.fr/ pour virer Sarkozy
jusqu’a quand la farce ?
au fait qui dirige l’IFOP ??
Messages
1. 80% des Français(IFOP) pour la réforme des institutions ; c’était quoi les questions ?, 6 août 2008, 15:53, par momo11
Et depuis que le bolloré possede le CSA le naboléon remonte dans les sondages.Qu’ils arretent de nous prendre pour des cons.momo11
2. 80% des Français(IFOP) pour la réforme des institutions ; c’était quoi les questions ?, 6 août 2008, 16:20
80% des Français(IFOP) pour la réforme des institutions ; c’était quoi les questions ?
En tout cas, ça, c’est une bonne question
3. 80% des Français(IFOP) pour la réforme des institutions ; c’était quoi les questions ?, 6 août 2008, 21:02
STP, tu peux mettre le lien pour le sondage IFOP ?...
1. 80% des Français(IFOP) pour la réforme des institutions ; c’était quoi les questions ?, 7 août 2008, 10:45
attention ! danger à critiquer les sondages quand il ne nous plaisent pas !
2. 80% des Français(IFOP) pour la réforme des institutions ; c’était quoi les questions ?, 7 août 2008, 13:12
http://www.ifop.com/europe/sondages/opinionf/reformedetat.asp
le lien demandé est là !
vincent
4. 80% des Français(IFOP) pour la réforme des institutions ; c’était quoi les questions ?, 8 août 2008, 12:41, par oeil de bison
86**128 *** tu crois dur comme fer ,sondages , élucubrations de Napo 1er
et encore quoi ? la réforme de la justice sauce "rachida " ça te suffit ?
et la SÉPARATION DES POUVOIRS , ça t’interpelle pas ? NON
t’est a l’ UMPS TOI ? ALORS CASSE TOI PAUV CON .
Elle en fait quoi de la séparation des pouvoirs Mme DATI ? elle se torche
avec
il suffit de modifier 3articles de la constitution de 1958 c’est tout
réellement tout art 34 art 13 faire disparaître l’art 26 et l’art 67
Vous êtes en démocraties ,mais vous êtes que des moutons ,et cela
plaît a Mme DATI , car elle peut se vouée a son penchant la MODE ,
LES COUTURIERS ,UN MANNEQUIN ,C’EST BON POUR LES CHOMEURS
LES RETRAITÉS , , les sans logis , les sans papiers ,
les sans ,les sans les sans ,les sans RIEN
1. Exécutif et législatif : deux pouvoirs distincts !, 23 août 2008, 01:43, par webduweb
En effet !
En démocratie, le peuple est à la fois souverain et sujet. Situation ambiguë qu’exploite la classe bourgeoise dirigeante... Jean-Jacques Rousseau nous l’explique dans son œuvre devenue un classique :
« Il n’a jamais existé de véritable démocratie où le peuple serait souverain, et il n’en existera jamais. On ne peux imaginer, en effet, tout le peuple convoqué sans cesse en assemblée pour régler les affaires communes. La démocratie est un régime en proie aux guerres ou agitations intestines, et exige donc plus de vigilence et de courage que tout autre. D’ailleurs, il y a tant de conditions difficiles à réunir pour qu’il y ait un gouvernement, - à commencer qu’il faudrait que la vertu règne dans la République pour qu’elle soit démocratique -, que le citoyen doit s’armer de force et de constance et se dire que, pour conserver ses libertés, il est sans cesse contraint à des soucis permanents. En démocratie, ce sont donc les députés du peuple qui débattent à l’Assemblée pour légiférer sur tout. C’est le pouvoir législatif. Le gouvernement est là pour administer et faire appliquer les lois et l’Administration est le pouvoir exécutif. Il n’est pas bon que les deux pouvoirs soient entre les mêmes mains, ni que le corps du peuple détourne son attention des choses générales. Rien n’est plus dangereux que l’influence des intérêts privés dans les affaires publiques, et l’abus des lois par le gouvernement est un mal moindre que la corruption du législateur. » (Du Contrat Social)
On imagine mal une assemblée rassemblant tout le peuple pour régler les affaires communes. On a donc promu une démocratie indirecte, où les citoyens sont représentés par les députés, élus par le peuple, qui doivent débattre pour légiférer dans une assemblée : c’est le pouvoir législatif. Ensuite, il y a l’administration qui doit exécuter les décisions et faire appliquer les lois. Séparation des pouvoir oblige !
Mais la Constitution de 1958 prend le contre-pied des précédentes Constitutions françaises en donnant plus de pouvoirs au gouvernement jusqu’à la possibilité pour lui de faire la loi. Auparavant, les élus avaient leur mot à dire sur tous les aspects de la vie des citoyens. Ce n’est plus le cas.