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81% des militants communistes ont confirmé la désignation de leur secrétaire nationale

Publie le jeudi 21 décembre 2006 par Open-Publishing
38 commentaires

Sans aucune ambiguïté, les militants communistes ont confirmé la candidature de leur secrétaire nationale Marie-George Buffet pour la présidentielle de 2007. 81% des militants communistes ont approuvé cette candidature, selon les résultats communiqués jeudi 21 décembre, après un premier vote, en novembre, qui l’avait plébiscitée à 96%.

Ce résultat ouvre la voix à l’annonce officielle de la candidature de Marie-George Buffet, qui doit s’exprimer vendredi soir sur TF1, mais risque de marquer la fin du rassemblement antilibéral.

55% des collectifs

Pour les communistes, la légitimité de la candidature la députée de Seine-Saint-Denis se trouve confirmée. Marie-George-Buffet a déjà obtenu le vote de 55% des quelque 800 collectifs locaux issus du non à la constitution européenne de 2005.

Mais toutes les sensibilités non-communistes du front antilibéral avaient rejeté cette candidature, considérant que le leader d’un parti ne pouvait représenter la diversité du mouvement.

"Cette décision marque une rupture avec la perspective d’un candidat commun à la gauche antilibérale", a déclaré à l’Associated Press Claude Debons, porte-parole des collectifs.
Le collectif national devait se réunir ce jeudi soir à Paris pour tirer les enseignements de la décision unilatérale du PCF. "Cette unité de la gauche antilibérale va continuer sous d’autres formes, peut-être pas avec la majorité du Parti communiste, mais avec les autres forces", a assuré Claude Debons. "Il y a beaucoup de colère chez les militants. La colère peut être transformée en énergie positive pour continuer, sans le diviseur".

Le porte-parole des collectifs s’est dit opposé à une candidature concurrente issue des collectifs. "Je ne pense pas qu’il faille rajouter un candidat supplémentaire à la dispersion déjà existante", a-t-il dit.

Risques d’explosion

"La vie ne s’arrête pas en 2007", a de son côté commenté Clémentine Autain, qui était candidate pour porter les couleurs antilibérales et entend désormais "mettre toute (son) énergie (...) pour faire en sorte que naisse une gauche de transformation sociale". "Cette perspective reste d’actualité", a-t-elle assuré sur France-Inter.

La décision du PCF risque cependant de faire exploser de nombreux collectifs. Les militants communistes forment en effet l’ossature des quelque 800 collectifs locaux constitués depuis le "non" au référendum de 2005. Les autres militants sont des altermondialistes, alternatifs, féministes et des minoritaires du PS, des Verts, de la LCR ou du PCF.

L’échec de cette démarche était attendu. Lors d’une réunion nationale les 9 et 10 décembre dernier, les collectifs n’étaient pas parvenus à s’entendre sur une candidature consensuelle entre les trois noms soumis au débat : Marie-George Buffet, Clémentine Autain, adjointe à la mairie de Paris apparentée PCF, et Yves Salesse, président de la Fondation Copernic.

Dispersion

La stratégie à adopter face au Parti socialiste avait été au centre des débats. Le PCF, allié traditionnel du PS avec lequel il pratique la règle du "désistement républicain" entre les deux tours, a un besoin vital de son soutien pour sauver son groupe à l’Assemblée nationale en juin prochain.

La gauche de la gauche se présentera donc dispersée à l’élection présidentielle des 22 avril et 6 mai. Marie-George Buffet sera concurrencée par le porte-parole de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) Olivier Besancenot et par l’inoxydable Arlette Laguiller (Lutte ouvrière). Au risque de répéter le score calamiteux de son prédécesseur Robert Hue en 2002 : 3,37% des voix. (avec AP)

http://tempsreel.nouvelobs.com/actu...

Messages

  • Il est ahurissant de constater le nombre de militants communistes qui sur ce site se déclarent prêts à courrir au casse-pipe avec allégresse à l’annonce de la candidature de MGB !
    Il semblerait que beaucoup n’aient même pas conscience que le PC a vu son électorat divisé par 7 ou 8 (au moins) en 3 ou 4 décennies. Pas plus qu’ils n’ont constaté qu’aucun parti communiste ne bénéficie d’une quelquonque influence dans presque toute l’Europe alors qu’en Allemagne ou en Hollande des mouvements unitaires, nouveaux, anti-capitalistes arrivent à faire des scores électoraux significatifs.
    Par contre il semble que les mêmes soient prêts à attribuer la plus grande partie du succès du NON au référendum sur le TCE au seul PCF. Ce qui n’est tout simplement pas sérieux.

    Dans quelques mois le réveil sera dur.

    valère

  • Marie-George Buffet ne fait pas consensus au sein de son propre parti

    La première réflexion qui me vient à l’esprit en découvrant le résultat du vote au sein du PCF est que Marie-George Buffet ne fait pas consensus au sein de son propre parti : 18,90% des militants qui se sont exprimés considérant qu’il faut rechercher une autre solution.

    Une analyse plus fine confirme et accentue ce premier sentiment.

    56,4 % de militants seulement ont voté. Je dis bien de militants et pas de simples électeurs comme dans une élection à l’échelle d’un pays. A cette échelle, ce serait déjà peu. C’est pire au niveau d’un parti, et ça traduit une grave désaffection. C’est 10% de moins que lors de la précédente consultation interne (66,2%) qui avait plébiscité MGB à 96,4%.

    A ces 52 302 votants, il faut encore retirer 2,02% de blancs ou nuls, ce qui réduit le total des exprimés à 51 216.

    On constate donc qu’avec 41 533 votes exprimés en sa faveur, Marie-George Buffet n’obtient même pas la moitié des suffrages des 92 734 membres constituant le corps électoral interne au PCF. Cela représente à peine 44,78% des communistes encartés au PCF.

    Alors comment prétendre réaliser le consensus au sein des Collectifs antilibéraux quand on ne le réalise même pas au sein de son propre parti ?

    Robert

  • Le gros problème du PCF réside dans ses dirigeants.
    Ceux ci ont accepté que le PCF passe de 17/18% des voix à 3.3 % sans sourciller. J’ai passé 20ans au PCF et je sais que l’important pour eux était de ne pas retourner au travail.
    Ils arrivent à se persuader que l’érosion continue du nombre de voix qu’ils recueillent est dû aux autres mais finalement jamais à eux. Je ne voterai plus jamais ni communiste ni LCR car ces deux partis ont tout fait pour briser l’espoir. La LCR pour dépasser le PCF et le PCF pour s’approprier le mouvement antilibéral.
    A aucun moment le PCF n’a tenu compte du fait que le mouvement antilibéral sous la candidature de Bové, Salesse, Autain, Braouezec aurait pu réunir 10 ou 12 % minimum.
    Le PCF fait 3.3% la différence de 7 ou 9% ne lui appartient pas. L’importance du PCF n’était pas niée. Elle était reconnue. Mais l’espoir sinon la promesse que le PS lui laisserai un nonosse avec quelques députés a été le plus fort. Il ne faut pas changer sous peine de retourner au travail. Alors on ne change pas une équipe qui perd.
    Ah, les malheureux militants communistes qui se sont fait berner par leur direction. Que de bonheur de ne plus en être.
    Mais ne laissons pas tomber et continuons. Je souhaite qu’un parti se constitue et que nous présentions des candidats aux législatives et aux municipales.

    Un déçu de la candidature.

    • La LCR n’était pas membre de l’AU, elle en a largement exprimées ses raisons et plus précisemment en pointant les divergences qu’elle avait avec le PCF, c’était évident depuis des mois que le PCF imposerait sa candidate et que jamais le PCF ne romprait ses liens avec le PS. La LCR a eu au moins le mérite de ne pas être dans l’AU pour magouiller comme l’a fait le PCF. Dont’acte.

    • Qu’auraient dit les communistes si à la place de MGB ça aurait été Besancenot, le leader de la LCR, majoritaire au sein du mouvement et pressenti comme candidat ?

    • Besancenot ce soit disant révolutionnaire va en campagne
      auprès des élus PS pour obtenir ses 500 parrainages ce qui
      est le plus important pour lui c’est son omniprésence dans
      les médias..Il ne veut pas prendre ses responsabilités car
      uni dans notre rassemblement la lcr aurait eu des députés
      Les français qui souffrent veulent des députés qui votent
      contre ces lois scélérates, alors qu’attend-t’il pavoiser dans
      les médias lui suffit. Il va perdre son électorat..

      Michel Kerbruno 22

    • Bonne question. La réponse est que si Besancenot était venu c’est qu’il aurat bchané de stratégie. Pour l’instant il décide de s’opposer, ce qui est bien, mais n’est pas suffisant pour changer les choses concrètement. Encore faut-il être majoritaire dans une démocratie. ’est-à-dire, rassemblerla gauche, toute la gauche et peut-être au-delà. Besancenot ne veut pas des socialistes. Ni sa direction, ce que je peux comprendre, ni les militants. Mais que dire à ceux des socialistes qui ont voté NON au TC, que dire à ceux qui miitent où sont favorables un vrai changement avec des mesures anti-capitalistes. Donc, ta question est illégitme eu égard à la politique, aux déclaration et aux actes de la LCR. Ne sont-ils pas parti en campagne depuis 2 mois ? ne voit-on pas des affiches d candidat, sans ucne référence à l’union à gauche ? Allons arrête de te gratter, regarde les choses en face, sans fard. Bien souvent c’est la déception qui prévaut dans l’aventure qui vient de connaître un arrêt, une parenthèsepeut-être. Mais si certains collectifs qui se déclarent OK sur le programme recherche plus que la promotion du programme à refonder "ne gauche" sur les ruines du PCF (c’était l’essentiel de la discussion du collectif de CERGY, de savoir quant, comment, poursiuvre en fondant une association capable peut-être de présente des candidats au municipales, à la députation etc) Qu’ils soient déçus de n’être pas parvenus à leur fin, ces camarades déçus de leur passage à la LCR, au PS ou ailleurs, renient en quelque sorte leur engagement de départ. Le progrmme est tout, le candidat est second. On à bien l’impression que c’’est l’inverse. POur eux le candidat est tout, le programme est second. Nous vérifierons dans un avenir proche. Qui sera le meilleur, le plus mobilisé pour promouvoir un programme anti-libéral. Réponse dans les semanes qui viennent.

      Bruno

    • éternelle ritournelle de la flagornerie pour les militants que l’on oppose aux dirigeants. De la même manière on se félicite de la clairvoyance de la minorité communiste pour mieuxattaquer sa majorité. La ficelle est grosse. Elle est connue. Tu n’as rien inventé. C’est affligeant !!

      Bien à toi

      Bruno

  • Moyen moyen d’aller chercher une brève du nouvel obs pour commenter tendancieusement cette consultation.

    Jean-Michel (PCF)

    • L’important, pour la secrétaire nationale du PCF, c’est de trouver « une solution pour que la gauche gagne et réussisse » et de « rendre possible le très large rassemblement politique qui peut changer la donne à gauche, battre la droite et ouvrir en 2007 pour notre peuple une nouvelle période de progrès social et démocratique ». On peut même penser que, dans un « très large rassemblement populaire », il doit y avoir la place pour quelques dirigeants de l���UDF...

      Le décor est donc planté. On dirait même que, dans une stratégie globale de captation de militants et d’électeurs, les démarches de Marie-George Buffet, Ségolène Royal et Dominique Voynet ressemblent étrangement à un partage de tâches et de rôles en vue d’une opération politique ultérieure. Peu importent les divergences politiques affichées, ou les hypothétiques rivalités personnelles. En l’occurrence, on peut raisonnablement penser à une alliance d’intérêt jugée incontournable par la coupole du PCF.

      Des procès d’intention, des phrases extrapolées ? Honnêtement, je ne le crois pas.

      Dans un entretien publié par L’Humanité le 23 novembre, la dirigeante du Parti communiste revient à la charge : « Si je disais à l’une ou l’un de ces salariés rencontrés dimanche, si je disais aux familles en attente d’un logement que notre rassemblement n’aspire qu’à témoigner du bien-fondé de nos propositions ou à faire émerger une union de la gauche de la gauche, elles diraient : " Dans quel monde vit-elle ? Ne voit-elle pas l’urgence de battre la droite ? " Notre rassemblement doit clairement viser une majorité populaire pour constituer un gouvernement. Ne mettons donc aucune frontière ! ». Notamment, à « des hommes et des femmes de gauche » [qui] « ne se retrouvent pas dans le terme "antilibéral" ». Le seul objectif sensé est donc de « battre la droite » et de « ne pas laisser les clés de la République à Nicolas Sarkozy ». On ne peut pas être plus clair.

      Evidemment, une telle politique d’alliances ne peut pas ne pas générer de laissés-pour-compte. Les silences « au bon moment » en témoignent déjà. L’axe Royal-Buffet-Voynet, qu’on semble bien nous préparer, augure, malgré toute la phraséologie pré-électorale, une « gauche musclée » avec une politique sociale « dure ». De 1997 à 2002, Lionel Jospin n’a guère respecté ses promesses électorales et a sorti de son chapeau de nombreuses mauvaises suprises. Ce sont les mêmes à présent, et il faut s’attendre aux mêmes pratiques. Excluant donc, dans la réalité, un certain nombre de compromis et d’ouvertures. José Bové ne s’y est pas trompé lorsque, le 23 novembre, il a adressé aux collectifs « pour des candidatures unitaires de la gauche antilibérale » une lettre retirant sa proposition de candidature présidentielle. Un communiqué aussitôt qualifié de « signal d’alarme » par des membres de ces collectifs.

      Mais pouvait-on sérieusement espérer, par exemple, qu’un milieu politique ayant gouverné en 1997-2002 aide José Bové à accéder à des responsabilités d’une certaine importance ? Ce serait oublier un peu vite que le gouvernement Jospin était très favorable aux OGM. Qu’en 2001, des poursuites engagées par le Parquet et par un organisme de recherche public, le CIRAD, ont abouti à la condamnation de l’alors dirigeant de la Confédération paysanne, ainsi que d’autres militants, à de lourdes peines d’emprisonnement. Ni le monde politique ni les institutions n’aiment se déjuger sur des questions aussi graves.

      En réalité, des organisations comme le PCF ou les Verts, voire la « gauche socialiste », s’étaient rapprochées d’une certaine « extrême gauche » après la débâcle électorale de 2002. Suite logique d’un processus amorcé dès 1998-1989, lorsque la politique du gouvernement de « gauche plurielle » a commencé à susciter un mécontentement croissant, et qu’il est devenu impératif de « ne pas perdre de vue » les militants qui prenaient leurs distances. La volonté de récupération avait toujours été évidente. Mais avec la mise en orbite supermédiatisée de Ségolène Royal, les intérêts de carrière des appareils de ces partis pointent à nouveau vers une alliance sans fissure avec la direction du Parti socialiste afin de pouvoir accéder à ministères et administrations, de bénéficier de cette alliance lors des élections législatives et par la suite... Ce qu’un article d’Indymédia a appelé le buffet royal. Il ne pouvait pas en être autrement. Les tondus seront, comme d’habitude, les citoyens confrontés au « choix » entre une énième alternance, dont au fond ils n’attendent plus rien, et la continuité d’une majorité, dont la politique les a également laminés.

      Enfin, à l’égard des empêcheurs de tourner en rond dans cette démocratie-fiction, le bunker des cinq cents signatures risque de s’avérer un excellent cordon sanitaire. Les élections ne sont tout de même pas faites pour que les citoyens puissent exprimer ce qu’ils pensent vraiment...

      MILLAU

    • Quand je lis certaines réflexions, je me demande comment les gens qui les font peuvent se dire de Gauche, tellement déborde le mépris voire plus, à l’égard des Communistes.Je me demande même s’ils savent ce que c’est que de militer au service des autres. Le vocabulaire employé est commun à toutes les rédactions de la presse bourgeoise depuis 1917.
      La Peur des nantis, des rentiers, des actionnaires et des boursicoteurs, la revanche des collabos de 40-45, Walt Disney et Sélection du Reader digest ont développé une sous-culture largement répandue en particulier dans les couches moyennes du salariat sur les Communistes qu’on nous ressort sur ce site jusqu’à saturation. J’ai acheté ce soir "Tintin chez les soviets" du facho (ultra conservateur en politiquement correct) Hergé pour remonter à la source de ce torrent. Sûr qu’ils ont lu tous les Tintins et voulu ressembler un jour à ce con de Mickey. Je n’apprécie que moyennement ces révolutionnaires capricieux et pronostiqueurs de comptoir branchés sur le néant de leur egocentrisme, des brasseurs d’air arrogants et stériles : de vrais petits bourgeois. JdesP

  • Quand je lis tous ces commentaires, sur ce billet et sur tant d’autres, je me dis que maintenant le gros problème du PCF officiel ne va pas être de battre la droite, mais d’éviter la dégelée que va lui infliger la vraie gauche, meurtrie après cette pauvre tentative de passage en force.

    Le Yéti (sidéré par tant de bêtise)

  • Dans ces reactions, beaucoup d’anti communisme primaire.
    Ce que vous ne voyez pas c’est que dans les collectifs beaucoup sont venu avec leur tripes. beaucoup et même ne vous en déplaise des membres du PCF veulent continuer.
    Anto communisme primaire digne de partisants de la droite.
    Et oui pour une fois que le score de MGB n’est pas de 99%. C’est pas si mal.
    Pour une fois ou au PCF des militants sont venu a la rencontre des aspirations de tous.
    C’est une victoire parceque pour une fois les forces de gauche ont accepté de parler ensemble. Et apres ? Ce ne peut pas etre une reussite du premier coup. Mais ce n’est pas non plus une defaite.
    De tous les partis, ou d’ailleurs, l’envie de gagner etait presente.
    Alors continuons les collectifs pour les legislatives et puis apres. Veut on gagner contre le liberalisme ? Ce n’est pas en un jour qu’on se reparlera et qu’on reussira.
    Pour les adeptes de candidatures multiples a gauche, pensez bien, mais bien, a Sarko, au FN plus qu’aux liberaux. Pensez au fascisme. Les candidatures multiples c’est la porte ouverte au fascisme au populisme. Portons les collectifs plus loins et demain, peut etre on gagnera. Mais surtout coupons la route au fascisme.
    Pas de faux proces au PCF. La aussi on a cru a la candidature anti liberale.
    Marc

  • Je crois quand même qu’il faut arrêté de ne taper que sur le PCF.

    Je suis le premier à dire que ce coup tordu des partisans de MGbuffet, c’est dégueu !
    Je suis le premier à croire que depuis longtemps la direction du PCF ne croyait pas au rassemblement unitaire mais plutot a un bel accord avec le PS de ségolène. (C’est mieux des circonscriptions offertes par le Ps que des voix pour le PC, apparemment)

    par contre la LCR et Olivier Besancenot qui joue aujourd’hui les chevaliers blancs ne sont les pas les derniers à avoir leur torts. proclamation de candidature dès juin 2006, ils ont aussi cherché des poux dans la tête des collectifs pour ne pas à avoir à les rejoindre. ( On veut çà, on veut ci)
    avec eux ce coup du pcf aurait été impossible, il ya aurait eu un véritable rapport de force qui n’existe pas avec la poussière d’assos et d’organisations qui participent au collectifs au côté du gros PCF.

    Enfin l’idole, le césar des écolos j’ai nommé J Bové a lui aussi sa part d’ombre dans l’histoire.
    Il croyait être nommé, supplié pour être candidat sans ce bouger (m^me pas allé à la fête de l’huma pour faire sa maison BIo) résultat son envie d’etre candidat n’etait pas si crédible que çà.
    Au final, il va bouder quand il voit que sa candidature ne fera pas l’unanimité.

    Enfin que penser de C Autain apprenté PCf qui tire des coup de couteau dans le dos des gens qui l’on fait élire à coup de déclaration et de pétitions.

    Bon ben j’y croyait dur à tout çà mais les petites ambitions comme d’habitude on tout fiché par terre.
    Mais bon on va pas se laissé abattre et on dira la prochaine sera la bonne !

  • Chaque fois, au-delà des partis, ils s’agit de personnes.
    Ainsi, j’ai été frappé de constater que dans le collectif où je me suis investi, de nombreux adhérents du Parti Communiste ont cherché le sens du mot "consensus" sur le dictionnaire.
    Ce qui montre bien que ça ne fait pas parti de leur boîte à outil mentale.
    Maintenant, ça y est, c’est déjà ça de gagné.
    Dommage, c’est à travers le contre exemple : Comment ne pas arriver au consensus.

    Stratégie et tragédie.
    Par le simple pouvoir de quelques lettres je retarde la Vie.
    Je suis né pour te nommer : "Débilité".

    léo