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A QUOI SE DOPENT LES POLITIQUES ? Coke ? Chocolat ? Alcool ? Cigarettes ? Café ? Vitamine C ?

Publie le vendredi 9 novembre 2007 par Open-Publishing
8 commentaires

A QUOI SE DOPENT LES POLITIQUES ? Coke ? Chocolat ? Alcool ? Cigarettes ? Café ? Vitamine C ? Ou bien pire encore...

Il descend de l’avion de retour du Tchad en Espagne pour y déposer les hôtesses espagnoles, avant de repartir pour une brève escale dans le Finistère juste avant de s’embarquer pour les Etats-Unis.
Son divorce à peine digéré, il provoque un pêcheur en duel histoire de partir zen à Washington, en attendant le mouvement social de la semaine prochaine.

Les sportifs sont soupçonnés de dopage pour moins que ça.

A quoi se dopent les politiques ? Jérémy Sahel est allé poser la question au palais Bourbon.

Jérémy Sahel au Palais Bourbon.
 http://streetreporter.net/views/443...

Messages

  • A la connerie surtout ! Mais possible qu’il se shoutte. Vous trouvez pas qu’il a maigri ? Adios ses poignées d’amour ! Et son 10 m matinal devant les caméras au coin de la rue, c’est fini ? Fait trop froid sans doute !

  • Elle est pas mal celle là ! Cochet l’écolo, lui fait venir d’Afrique du Sud ses amphés ou son speed c’est comme vous voulez, une boisson pas mal du tout, nous dit ce sacré fou va !

    Ce monde est fou ! fou !fou !fou ! Mais que ce monde est fou !fou !fou !

    Skapad

  • J’avais déjà écrit un article lors sur le dopage des prétendants à l’Elysée, en voici un extrait concernant le fac-similé de Napoléon.

    Sarkozy, cet homme est fatigué ! Les cernes sous les yeux, le creusement des rides, des propos indécents et des rictus incontrôlés sont les témoins de la mauvaise santé du personnage. On a longtemps pensé à un abus de Céciliate. Mais ce médicament sous forme de pilule douce amère est trop inconstant pour être totalement incriminé. Non, le regard parfois terne, suivie de période où l’on constate que c’est celui d’un halluciné, laissent à croire qu’il prendrait plutôt des drogues plus fortes et de façon plus régulière que la Céciliate, qui en fait ne fut qu’un engouement passager. Nous n’irons pas jusqu’à prétendre qu’il s’approvisionne en produits auprès du cartel de Medellin, se serait probablement exagéré. Quoique, dans le monde qui est le sien, la séparation avec des milieux peu recommandables, mais aux chiffres d’affaire non négligeables, n’est pas toujours très bien définie. Nous ne citerons que les banques, dans lesquelles circulent de l’argent blanchi, mais pas propre pour autant.

    Ayant plus ou moins écarté cette hypothèse, c’est en feuilletant un dictionnaire des champignons que nous est venu la réponse sur les causes de l’état déliquescent du personnage.
    Cela vient d’une pratique peu commune utilisée par ses lointains ancêtres pour s’envoyer en l’air. Dans des temps reculés, les peuplades d’Europe centrale faisaient sécher un champignon bien déterminé, puis une fois le séchage terminé ils en mâchaient des petits fragments qui les transportaient dans un monde hallucinatoire. Nous avons omis volontairement de précisé le nom de ce champignon hallucinogène de peur que des inconscients, des faibles d’esprits, accros des paroles, des façons de faire démagogiques du fac-similé de Napoléon veuillent sans discernement suivre son exemple. Nous rajouterons, pour les dissuader totalement, que ce champignon dans un premier temps donne mal à la tète, puis rend à moitié fou, et si on a le malheur de l’avaler c’est l’issue fatale en perspective.

    Non content de faire des rêves d’hallucinés par des moyens qui peuvent paraître à certains naturels, il se shoote définitivement en complétant avec un machin conseillé par son frère : de la médef., pure et dure de surcroît. On connaît bien les propriétés de ce produit, allant de paire avec la méthode utilisé précédemment il favorise la folie des grandeurs, exacerbe le goût du gain, tout cela en supprimant radicalement chez l’individu un quelconque respect du bien-être social. Moralité, y-a vraiment pas de quoi être rassuré !!

    Michel Merngneau

  • Claude Olievenstein, psychiatre, spécialiste des addictions :

    "Bien sûr ! La cocaïne a un effet excitant et défatigant. Lorsque l’intoxication n’est pas dans sa phase avancée, elle donne des réflexes mieux ajustés.

    Elle procure une euphorie qui se double d’un sentiment de toute-puissance et d’invulnérabilité.

    Elle augmente la clairvoyance.

    En cela, ses effets sont assez comparables à ceux des amphétamines.

    J’ai été, en tennis, surpris plus d’une fois par les dilatations des pupilles.. C’était visible à la télévision !" [L’Equipe, 29.08.1980]

    lolita

  • LIRE CE QUI SUIT :

    Marie Dubas
    Le tango stupéfiant

    Paroles et Musique : R.Carcel, H.Cor, P.Olive
    autres interprètes : Les Charlots


    Après trois semaines entières
    De bonheur que rien n’altérait
    Mon amant dont j’étais si fière
    Un triste matin me plaquait
    Pour calmer mon âme chagrine
    Je résolus en un sursaut
    De me piquer à la morphine
    Ou de priser de la coco
    Mais ça coûte cher tous ces machins
    Alors pour fuir mon noir destin

    Refrain :
    J’ai fumé de l’eucalyptus
    Et je m’en vais à la dérive
    Fumant comme une locomotive
    Avec aux lèvres un rictus
    J’ai fumé de l’eucalyptus

    Dès lors mon âme torturée
    Ne connut plus que d’affreux jours
    La rue du désir fut barrée
    Par les gravats de notre amour
    J’aurais pu d’une main câline
    Couper le traître en petits morceaux
    Le recoller à la sécotine
    Pour le redécouper aussitôt
    Mais je l’aimais tant l’animal
    Alors pour pas lui faire de mal

    Refrain :
    J’ai prisé d’la naphtaline
    Les cheveux hagards, l’œil hérissé
    Je me suis mise à me fourrer
    Des boules entières dans les narines
    J’ai prisé d’la naphtaline

    Qu’ai-je fait là, Jésus Marie
    C’est stupéfiant comme résultat
    Au lieu de m’alléger la vie
    Je me suis alourdie l’estomac
    J’ai dû prendre du charbon Belloc
    Ça m’a fait la langue toute noire
    Que faire alors pauvre loque,
    Essayer d’un autre exutoire ?
    Car le pire c’est que j’ai pris le pli
    Et c’est tant pis quand le pli est pris

    Refrain :
    Je me pique à l’eau de Javel
    Pour oublier celui que j’aime
    Je prends ma seringue
    Et j’en bois même
    Alors il me pousse des ailes
    Je me pique à l’eau de Javel
    Gnak gnak gnak gnak
    J’ai du chagrin...