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Aliot Marie voit des terroristes partout : Zephir 67 ans en garde à vue

Publie le dimanche 1er février 2009 par Open-Publishing
2 commentaires

C’est Gilles Devers, avocat, qui nous relate cette chasse aux terroristes

Jeudi 22 janvier à 6H 30 du matin trois policiers de la brigade criminelle
de la police judiciaire de paris débarquent au domicile de Zephir Brassart à Louvroil dans le Nord . "Ouvrez ou nous enfonçons la porte"
Après fouille du domicile et examen de l’ordinateur, direction commissariat de Maubeuge .

Arrivé au commissariat tout est pret pour recevoir l’interpellé prise d’
empreinte, prise d’adn, interrogatoire, sept heures de garde à vue
puis finalement relaché . Après cette interpellation musclée, le
traumatisme laisse des traces .

Sept de garde à vue pour ce sexagénaire, sous l’inculpation d’envoi de menace de mort au président et sa femme carla .

Dans cette France sarkoziste, avec ses lois liberticides et sa dictature menaçante, plus personne n’est à l’abri d’une interpellation musclée sous de fallacieux prétextes .

France réveille toi, il faut arreter ces dérives fascisates .

http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/archive/2009/01/30/
la-police-deniche-un-terroriste-de-67-ans.html

Messages

  • Vive le démocrate naboléon and sbires.Comme auait dit obelix:Ils sont fous ces umps.momo11

  • Ce mode de gouvernement CULPABILISE tant de ses méfaits qu’il n’a pas conçu que la malveillance allait à l’encontre de notre sexagénaire et NON PAS à son encontre.

    Vous comprenez ?

    Ce gouvernement n’imagine pas, du fait qu’il s’attend à tout instand à la réprimande (avec force raison !), qu’on puisse utiliser SA paranoïa pour nuire à un quidam !

    Pourquoi ? Parce qu’il est si content de trouver un quidam, de l’identifier, de le cerner, dans le confus de toute cette contestation qui gronde, de se le saisir, lui donner un nom, un corps, pour en faire une image. "Mais son coup a manqué…"

    La malveillance initiale va à l’encontre du sexagénaire, par DÉLATION INDIRECTE et notre gouvernement n’a PAS protégé son administré, par simple vérification du pédigree de cet "agresseur", contre CETTE malveillance initiale. Dans tous les cas de figures, le papy passe à la trappe.

    C’est pour cela qu’il ne recevra pas d’excuse, car notre papy, puisqu’il a été délationné ainsi, DOIT avoir quelque chose à se reprocher. Vous comprenez ? C’est cela le mode de monde qui m’effraie