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Assises du Communisme vite pour Un "manifeste du communisme du 21ème siècle "

Publie le lundi 14 janvier 2008 par Open-Publishing
17 commentaires

Alain BRACHET , sur ce site, analyse l’assemblée extraordinaire du mois de décembre dernier et reprend l’idée que plusieurs d’entre nous ont porté au cours des assemblées de section d’Assises du Communisme pour élaborer "un manifeste " à l’image de celui de notre cher Karl Marx en 1848 .

Je propose que tous les camarades, encartés ou non de ce site si intéressant, se retrouvent autour d’Alain BRACHET,s’il est d’accord,pour que nous lancions médiatiquement cette idée sans attendre la décision de la direction du PCF.

Engluée dans la préparation des élections municipales à géomètrie variable,notre direction actuelle ne contrôle plus rien et c’est ,dans une certaine mesure ,mieux car cela prépare une prise de pouvoir permanente par les militants à la base.Pour leur permettre de s’appuyer sur une base idéologique fiable pour lutter contre le capitalisme et ses valets nous devons "construire" idéologiquement ce MANIFESTE et le proposer à tous les révolutionnaires de ce pays qui le porteront partout où le peuple crie son désespoir.

La rupture avec la social-démocratie est la condition sine qua non avec une critique acerbe de la socièté de marché que nous combattons pour la remplacer par la socièté communiste du marché des besoins matériels et culturels du peuple .Un APPEL à rassembler les militants et sympathisants du PCF,LCR,LO,PT,Altermondialistes,syndicalistes,Verts et socialistes de vrai gauche,citoyens associatifs devrait être vite organisé et popularisé dans l’opinion publique.Le temps n’est plus à la contestation sur les marges du capitalisme,il est à sa suppression le plus vite possible avant qu’il ne réduise notre pays au sous-développement industriel pour en faire simplement une colonie de vacances pour riches européens.Il est donc urgent de poser un autre avenir que le Sarkozisme aux Français en redonnant tout le pouvoir au peuple en transformant "la délégation de pouvoir" en "autogestion" dans les entreprises et les collectivités territoriales.La socièté communiste doit être remise à l’ordre du jour,construite et contrôlée en permanence par le citoyen pour éviter toute réapparition de "nomenklaturas" .L’Europe de Maastricht doit être portée au "cimetière" politique de l’histoire pour retrouver notre indépendance et notre autonomie économique,sociale et culturelle.Instaurer le pouvoir du citoyen en inventant une République digne de ce nom où vraiment le tryptique "Liberté-Egalité-Fraternité" ne sera pas une coquille vide .

Vite concertons-nous pour que nos idées deviennent majoritaires enfin dans cette socièté pour la transformer pour le bien de tous .

Bernard SARTON,section d’Aubagne

Messages

  • Salut Bernard
    la première chose à faire est que tout les militants du PCF et d’ailleurs opposés à sa dissolution et désireux de le voir reprendre so n envol se regroupent quel que soit leur courant :

    Gauche communiste, Rennaissanc Communist., Rouges Vifs, Riposte, CAC, Réveil Communiste, PCF PAris 15 et que sais je encore dans une seule et unique structure qu’on pourrait par exemple appeler " "Pour la rénovation du Parti Communiste", en demandant formellement à leurs représentants respectifs, avant toute chose, de ne pas placer les questions de personnes et d’appareil en 1ère position mais en travaillant sur le fond et très vite à 3 choses fondamentales :
    1. un projet de statuts du PCF rénové qui serait ensuite soumis par référendum à tous les militants
    2. un manifeste du parti communiste du 21ème siècle en effet

    Pour le projet de statuts j’ai commencé à y travailler sérieusement depuis plusieurs mois, je veux bien donner mes textes (y compris les non publiés) comme base.

    bises à toi
    La Louve

  • A-Le Parti Communiste Français est le parti de la classe ouvrière française qui créera les conditions du bonheur de la prospérité, de la sécurité, de la liberté pour tous.
    B-Le Parti Comuniste Français s’inspire dans sa lutte au premier chef de l’expérience de la Commune de Paris, première expérience du pouvoir ouvrier dirigé contre la bourgeoisie pour l’abolition du capitalisme.
    C-Le Parti Communiste Français fonde son action sur le matérialisme dialectique, qui est une conception scientifique du monde, une méthode d’analyse de la réalité, et un guide pour l’action.
    D-Le Parti Communiste Français a pour but fondamental la transformation de la propriété par une minorité des grands moyens de production et d’échange en propriété de la nation dans un premier temps, et de toute la société humaine dans un second temps. Cet appareil de production privé a pour vocation d’obtenir un taux maximum de profit pour ses propriétaires, et non pas obligatoirement de satisfaire les besoins du plus grand nombre d’hommes. Il aura pour vocation obligatoirement de satisfaire lesdits besoins, sans considération de leur interet financier. Cette socialisation de l’appareil de production, de la banque et de l’assurance mettra fin à la contradiction de plus en plus aigue entre le caractère privé de la propriété de l’appareil de production, et le caractère social du travail productif.
    E-Dans un premier temps, la suppression du profit prélevé par les propriétaires privés ( les capitalistes ) permettra de mettre en vigueur le principe " de chacun selon ses capacités, à chacun selon son travail ". Ce premier temps est appelé " socialisme ". Le socialisme n’est pas un mode de production en lui-meme : le capitalisme ne disparait pas, mais il n’est plus le mode de production dominant. Le socialisme n’est pas non plus le premier stade du communisme : les prémices en sont trop faibles pour constituer un mode de production. Pendant cette période de transition, les deux modes de production, capitaliste et communiste, et les deux classes, bourgeoisie et prolétariat sont à relative égalité de forces et ne peuvent s’éliminer. Cette lutte voit, à un moment ou un autre une des deux classes prendre le dessus sur l’autre : ou bien la crise se résout réactionnairement, et c’est le retour en arrière, la réaction et la restauration du capitalisme. Ou bien la crise se résout révolutionnairement, et c’est le communisme, c’est-à-dire, la liquidation du capitalisme en tant que mode de productionet son remplacement par le communisme. Mais les hommes sont différents, et ont donc des besoins différents et aussi des capacités différentes. La science, la technique, l’augmentation de la productivité qui en résultera permettra de passer progressivement au principe " de chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins ". C’est cette redistribution de la richesse crée, en fonction du besoin et non de la productivité qui caractérise le mode de production communiste. D’autre part, l’abondance des biens matériels par rapport aux besoins permettra également de remplacer le " gouvernement des gommes " par " l’administration des choses ".
    F-Pour réaliser ces transformations, la classe ouvrière, ne peut pas faire autrement que réaliser la propriété sociale de l’appareil productif, qui n’appartient donc plus à quelqu’un en particulier mais à " tout le monde en général ". Il n’y a donc plus de classe dominante : en se libérant, la classe ouvrière libère toute la société.
    Voici quelques idées, non pas pour un " manifeste " mais plus simplement pour des propositions de statuts d’un Parti Communiste. Je pense en toute modestie, ( c’est une vertu dont je suis plus qu’abondamment pourvu ) que ce petit pensun va bien intérresser quelques habitués du site. A plus. Vieux stal borné.

  • Assises du communisme
    des communistes s’adressent aux communistes
    Il faut se rendre à l’évidence : les forces
    qui se réclament du communisme
    apparaissent éclatées, désillusionnées,
    découragées, traumatisées… Certains se
    prononcent même pour leur disparition.
    Or, plus que jamais, il est indispensable
    d’offrir une perspective à l’espoir
    que l’on sent poindre dans les multiples
    échanges qu’entretiennent les militants
    communistes avec la population dans
    leurs villes et leurs villages, avec les salariés
    sur leurs lieux de travail.
    Ils sont en effet de plus en plus nombreux
    ceux qui considèrent le capitalisme
    comme néfaste. Les récents résultats
    électoraux n’effacent pas cette donnée
    primordiale confirmée par la victoire
    au référendum de 2005, les mouvements
    sociaux dont celui du CPE, les
    différentes enquêtes d’opinion…
    Dans son évolution financière, le capitalisme
    est de plus en plus exploiteur,
    parasitaire, prédateur, de plus en
    plus porteur d’aliénations et de dominations.
    Des masses énormes d’argent
    s’accumulent entre les mains d’un
    nombre toujours plus réduit de personnes,
    tandis que s’accroissent les
    inégalités et que d’immenses besoins
    restent insatisfaits.
    A l’échelle de l’humanité, l’essentiel
    des richesses continuent à être concentrées
    dans quelques pays et les inégalités
    de développement augmentent sans
    cesse. Des moyens énormes sont stérilisés
    dans une spéculation financière à
    grande échelle.
    Dans ces conditions, la démocratie affichée
    est de plus en plus surfaite et
    l’idéologie libérale traverse désormais
    toutes les sphères de notre société au
    point que la quasi-totalité des médias
    en sont aujourd’hui les véhicules. Les
    assemblées élues ont de moins en moins
    de pouvoirs, lesquels se concentrent
    entre les mains des détenteurs des
    moyens de production et d’échange, des
    acteurs des marchés financiers.
    Pour autant, tout nous conduit à considérer
    que le système capitaliste a fait
    son temps et qu’il doit laisser la place à
    une autre société. Des expériences malheureuses,
    parfois tragiques, ont eu lieu
    au nom du communisme. Elles ont pris
    fin par hypertrophie étatique, confiscation
    des souverainetés et négation de la
    démocratie qu’elles prétendaient pourtant
    vouloir établir.
    C’est pourquoi nous souhaitons que
    soit reposée la question de l’actualité du
    communisme, d’un communisme qui
    soit de notre temps.
    Pour cela, les grandes lignes d’un projet
    de société doivent être redéfinies ou
    réaffirmées :
    1) Si le pouvoir capitaliste réside dans
    l’appropriation privée, à l’inverse le
    pouvoir du peuple, celui de la société
    dans son ensemble, ne doit-il pas consister
    avant tout en l’appropriation sociale
    des grands moyens de production
    et d’échange, des établissements bancaires
    et financiers, dans des formes qui
    sont à réinventer ?
    2) Le pouvoir des citoyens ne devraitil
    pas être renforcé dans les institutions
    politiques, afin de dessiner les contours
    d’une véritable nouvelle république au
    sein de laquelle le triptyque « liberté
    égalité fraternité » pourra prendre tout
    son sens, mais aussi sur les lieux de travail,
    sans quoi la démocratie demeurerait
    bancale, amputée ?
    3) Cette même démocratie ne peutelle
    pas mettre fin à un capitalisme
    grand pollueur et grand gaspilleur des
    ressources naturelles ? L’appropriation
    sociale apparaît en effet comme la condition
    de véritables politiques de développement
    durable, en pleine connaissance
    des apports que la science et les
    technologies doivent mettre à la disposition
    de tous.
    4) Le travail ne doit-il pas être débarrassé
    de l’aliénation qui lui est attaché
    et ne peut-on imaginer une nouvelle
    forme de travail assurant un revenu social
    à tous, motivant et responsable, un
    travail n’ayant plus rien de commun
    avec le salariat et l’exploitation qu’il implique
     ?
    5) Tous les peuples ne doivent-ils pas
    être souverains pour déterminer leur
    avenir et quelle articulation doit-il y
    avoir entre eux et l’Europe, l’échelon
    mondial ? Par quel moyen parvenir à
    des rapports de paix, d’égalité de tous
    les Etats, à des coopérations élargies et
    profitables à tous, notamment par l’intermédiaire
    d’une ONU réformée et démocratisée
     ?
    Toutes ces données nous interpellent
    et doivent être débattues sur le sens que
    nous devons donner à la place de l’Europe,
    de la nation, des collectivités et
    des citoyens dans notre projet de société.
    C’est cette voie vers un communisme
    renouvelé que nous devons coélaborer,
    construire avec l’ensemble du
    peuple.
    C’est pourquoi nous proposons la tenue
    d’Assises du communisme en 2008.
    Ces journées de réflexion auraient
    pour vocation de reposer les questions
    essentielles de l’évolution de la société
    dans laquelle nous vivons et de jeter les
    bases d’un projet de changement de
    société pour le 21e siècle.
    Nous suggérons que ces rencontres
    rassemblent, dans une libre confrontation
    et sans exclusive, un maximum de
    militants et de citoyens de diverses sensibilités,
    aux côtés d’intellectuels, de
    scientifiques, d’élus et de représentants
    du mouvement social et associatif.
    Tous ceux qui se réclament ou non du
    communisme y seraient les bienvenus
    car la diversité des approches est autant
    de possibilités d’enrichissement, aucun
    tabou ne devant constituer un préalable
    à ce vaste échange.
    La société évolue. Le capitalisme se
    transforme. Sans être pour autant une
    « avant-garde éclairée », les communistes
    ne peuvent demeurer à la traîne de
    cette gigantesque mutation. Nous espérons
    donc que notre proposition soit
    examinée et discutée par tous les communistes
    afin que les enjeux fondamentaux
    auxquels nous sommes confrontés
    ne soient pas écartés au nom de considérations
    plus immédiates.
    Marianne Aguado, PCF, conseillère municipale, (76360 Barentin) ; Henri Alleg, au Par ti depuis 1941, ancien directeur d’"Alger
    républicain" ; Jean Arrayet ; Jean-François Autier, cheminot retraité, conseiller municipal de Bassens (1971-1995), ancien
    permanent PCF 33, jean-francois.autier@wanadoo.fr ; Christian Baillet, retraité du Por t autonome de Bordeaux ; « ... dès
    maintenant (...) travailler au contenu d’une démarche politique alternative à proposer au peuple de France et qui de mon
    point de vue, pourrait s’inspirer de la Résistance, du CNR et de son programme progressiste, républicain et patriotique... »,
    Claude Beaulieu, adhésion au PCF en 1960, quitté en 2000, Président du Comité Valmy, claude.beaulieu@noos.fr ; Bruno
    Becerro, 35 ans, chômeur, adhérent depuis mai 2007 ; Bernard Blandin, cadre SNCF à la retraite, président fondateur de la
    Mutuelle des Cheminots de la région SNCF de Bordeaux, président fondateur de la Mutuelle Atlantique de Prévoyance ;
    Armand Boileau, Armand.Boileau@wanadoo.fr, retraité de l’Éducation nationale, membre de Parti Communiste depuis 1954,
    tél. 0556384377 ; Lisette Boutet, retraitée banque ; Marc Céfallo, militant communiste marxiste-léniniste ; Alain Chancogne,
    retraité banque, alainchancogne@aol.com, tél. 0675130479 ; Noël Collet, 7 avenue d’Albigny 74000 Annecy, retraité, adhésion
    au pcf : 1958 ; Jean-Jacques Crespo ; Jean Cucurull, attaché territorial, ancien rédacteur en chef des Nouvelles de Bordeaux
    et du Sud Ouest, ancien secrétaire à l’organisation de la Fédération de la Gironde du PCF, jean.cucurull@wanadoo.fr ; Claude
    Deloume, retraité SNCF, ex-adhérent du PCF ; Gérard Euzenot, responsable syndicaliste CGT, membre de la section cannoise du
    PCF ; Jo Garcia, retraité du Gaz de Bordeaux, adhésion au PCF : 1963, ancien des JC, jogarcia@free.fr ; Alain Larue ; René Le
    Bris, PCF Hérouville-Caen, Calvados ; Jean-Louis Lemoigne (adhérent depuis 1969) ; Jean Lévy ; Christian Mayerau, retraité ;
    Michel Peyret, membre du PCF de 1953 à 2006, retraité, député de la Gironde (1986-1988), m.peyret@cegetel.net ; Pierre
    Pujo, adjoint au maire ; Christian Reinkingen, retraité cheminot, membre du PCF de 1967 à 1991, reinkingen-c@orange.fr
    Bordeaux, tél. 0875409196 ; Jean-Louis Remande, 50 ans, cheminot, permanent syndical interpro, adhésion pcf 1980
    (courant de pensée : gauche communiste), ex-candidat cantonales et municipales de 1983 à 2002, 76360 Barantin ; Gilberte
    Salem, au Par ti depuis 1945, militante anticolonialiste, ex-enseignante ; Anne Soler, psychologue (à la retraite), membre du
    PCF depuis 1973 ; Alain Theux, PCF (Jalles-Médoc), retraité du journal Sud-Ouest, ancien secrétaire de la cellule de Sud-Ouest,
    ancien délégué du syndicat du Livre CGT ; Jean Pierre Tricaud, cadre de la banque, militant syndical, ex-membre du PCF (1980/
    2002) ; Danielle Tronche, salariée administrative et technique de la Fédération de la Gironde du PCF (1976-2001) ; Raymond
    Debord, François Ferrette, Vincent Présumey (Collectif de rédaction de Militant) ; « ... avec de sérieuses réserves sur la
    manière totalement négative dont vous présentez le bilan des expériences issues de la Révolution d’Octobre... », Georges
    Hage, pour le secrétariat de la Confédération d’action communiste.
    POUR VOUS JOINDRE A CETTE LISTE DE SIGNATAIRES, CONTACTEZ L’UN D’EUX.

  • Ca fait un moment que je furète sur un site qui publie des classiques révolutionnaires (ce site est fait par des trotskystes) et il y a des petites pépites très anciennes et très intéressantes (et Léon n’y est pour rien)...

    Voilà donc 3 liens traitant de la question de la bureaucratisation, la place malsaine et affaiblissante de la discipline hiérarchique dans un parti, la question de l’attitude à avoir dans un parlement ...

    Que de l’interessant...

    Pour verser un élément à la question de l’excès de parlementarisme ce texte de 1902 (!), tout y est :

    http://www.marxists.org/francais/inter_soc/spd/parvus_19020907.htm

    On n’ appelait pas alors cela "pendre ses responsabilités" ou "ne pas être dans une posture protestataire", non on appelait cela "travail positif"

    Autre élément sur la puissance de la Social-démocratie allemande , bien regarder ce qui est dit sur "le staline de la social-démocratie" (la partie sur La bureaucratie du parti ) où comment s’effectue le virage vers une organisation à discipline hiérarchique, en même temps que se bureaucratisant à grande vitesse quelques années avant 1914 ; Une organisation à qui il fallut très peu de temps (comme en France), pour avaler le drapeau de l’internationalisme...

    Surtout ne pas plastronner , à gauche à l’époque il n’y avait que cela (sauf en France et en Espagne où les anars étaient importants), les scissions (communistes, etc) étaient en aval . Donc :

    http://www.marxistsfr.cjb.net/francais/broue/works/1971/00/broue_all_02.htm

    Plein de choses à méditer donc sur un formidable parti très gauche dans le discours et qui s’affaiblit sur le fond en se structurant bureaucratiquement. .

    Enfin autre élément que je verse à la réflexion ce texte de 1908 de Paul Marius André sur la démocratie dans les syndicats (vu la place du syndicalisme en France à l’époque c’est une question pouvant intéresser un parti ) :

    http://www.marxists.org/francais/cgt/works/1908/09/andre_19080915.htm