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BEZIERS : CESSEZ-LE-FEU IMMÉDIAT, UNE PAIX DURABLE AU PROCHE ORIENT
Publie le mercredi 14 janvier 2009 par Open-Publishingcommuniqué faisant suite à réunion au 2 rue Voltaire à Béziers en vue des rassemblement/manifestation des : 17 et 19 janvier à Béziers
La réunion programmée pour le 13 janvier au 2 de la rue Voltaire s’est tenue comme prévu. La participation a été importante, au moins égale à celle du 7 janvier. Elle a été l’occasion d’un échange libre, ouvert, concernant les initiatives prises à Béziers et leur déroulement ainsi que sur ce qui est en cause dans le déclenchement de l’horreur dans la bande de Gaza. A son issue les participants renouvellent leur appel à l’arrêt des violences dont les populations civiles sont les victimes.
Dans l’immédiat ils demandent le repli de l’armée israélienne hors des frontières de la bande de Gaza, la fin des bombardements, la levée du blocus.
Ils soulignent que la paix ne peut se faire sans justice. Israël doit appliquer les résolutions de l’ONU, notamment celle de 1967 qui se traduit par un retour aux frontières à cette date, la création d’un Etat palestinien viable, avec Jérusalem Est comme capitale, le retrait des colonies juives de son territoire.
Ils confirment la vision qui est la leur : ce qui se passe au Proche Orient n’est pas un conflit de religion ou de civilisation, il est le résultat d’un refus des droits du peuple palestinien et d’un désir de domination économique et politique des grandes puissances dans cette région du monde. Afin de poursuivre l’action déjà engagée, ils appellent à une chaîne de la paix qui se mettra en place :
SAMEDI 17 JANVIER 15 h 30 devant la Mairie de Béziers
et à un rassemblement
LUNDI 19 JANVIER 17 H 30 sur le parvis du théâtre de Béziers, afin de se rendre au Palais des Congrès où Mme RAMA YADE, secrétaire d’Etat aux affaires étrangères et aux Droits de l’Homme, sera présente ce jour-là à 18 heures.
Les manifestants exprimeront leur volonté que la France ne se rende pas, par son silence, complice des crimes contre l’Humanité et de la négation des Droits de l’Homme.