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BEZIERS : CONGRÉS DU PCF : DEBATTONS LE 30/04/08
Publie le dimanche 27 avril 2008 par Open-Publishing5 commentaires
La section du PCF de Béziers organise
MERCREDI 30 AVRIL à 18 h 30, 2 rue Voltaire à Béziers
RENCONTRE DÉBAT :
" COMMUNISTES AUJOURD’HUI, QUEL PARTI COMMUNISTE ? QUELLES LUTTES ? QUEL RASSEMBLEMENT ? "
avec André GERIN, député-maire de Vénissieux et Charles HOAREAU, syndicaliste et animateur des luttes des chomeurs sur Marseille, membre de Rouge Vif.
Messages
1. BEZIERS : CONGRÉS DU PCF : DEBATTONS LE 30/04/08, 27 avril 2008, 16:23, par Pedro
Est-ce que le camarade ministre liquidateur biterrois est invité aux agapes ? Le sort du Parti serait vite réglé !
Pedro
2. BEZIERS : CONGRÉS DU PCF : DEBATTONS LE 30/04/08, 27 avril 2008, 17:59, par karkjooris
j’ose espérer que notre ancien ministre des transports Gayssot partisan d’une solution à l’italienne (on a vu la déliquescence)sera absent ,une nouvelle balle dans le pied ..allons dont
3. BEZIERS : CONGRÉS DU PCF : DEBATTONS LE 30/04/08, 27 avril 2008, 19:23, par Guméry
avec des réactions comme les 2 précédentes, j’ai peur que les discutions dans le parti soient vite réglées.
Mais bon, puisque vous avez LA vérité.
Là où nous en sommes, je crois que nous avons besoins de l’avis de Tous, sans censure.
Guméry
1. BEZIERS : CONGRÉS DU PCF : DEBATTONS LE 30/04/08, 27 avril 2008, 19:52, par poil à gratter
On ne peut pas être dans une maison que l’on veut détruire pour ne plus y être.
Ce n’est pas raisonnable.
La porte est très grande ouverte pour le camarade bitter Gayssot.
Incroyable qu’il n’arrive pas à enfoncer cette porte ouverte, lui le roi des enfonceurs de portes ouvertes.
mais peut être se dit-il : Si elle si grande ouverte, c’est qu’il y a un problème.
Y a peut être encore quelqu’chose à gratter.
poil à gratter
2. BEZIERS : CONGRÉS DU PCF : DEBATTONS LE 30/04/08, 27 avril 2008, 22:53, par Pedro
Mon cher camarade Guméry, il y a 35 ans, rentrant d’URSS, je déclarais à mes camarades villefranchois (31) que si j’étais russe, je serais probablement, - ou NOUS serions probablement, eux et moi,-ou au maquis, ou au goulag.
Rien n’a changé, ou si peu, mais pas en bien : l’abandon des signes forts n’empêche pas trop de stals ou de professionnels véreux de la politique d’occuper le terrain. Et je me réserve encore le droit, jusqu’à la mort, de dénoncer les faux cocos, et j’en aime d’autant plus les vrais. Mais, par pitié, ne te trompe pas de responsables.
Pedro