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Bashung s’éteint

Publie le samedi 14 mars 2009 par Open-Publishing
19 commentaires

"Je voudrais vous remercier, vous m’avez beaucoup aidé, vous m’avez envoyé tellement d’amour !"
Victoires de la musique, février 2009

L’auteur, compositeur et interprète français Alain Bashung est mort samedi à Paris, a annoncé son agence de tournée, Garance Productions.

Le chanteur et musicien de 61 ans est décédé entouré des siens à l’hôpital Saint-Joseph, dans la capitale française.

Alain Bashung avait récemment remporté trois trophées lors de la cérémonie des Victoires de la musique, le 28 février dernier, à laquelle il avait participé malgré la maladie.

 Radio-Canada.ca avec Associated Press

Messages

  • Sniff !!!

    gros chagrin !!!

    Il me manque déjà.

    Il rejoint les Piaf, Brassens, Brel et ferré au paradis des très grands !!!

    Merci l’artiste !!

    Boris XX°

  • Je serais toujours cet étranger au regard sombre un rebelle dans vos villes de contraste, Ye n’en pe plus yé n’en pe plus.....!!!! repose en chansons et en paix

  • bonne route Bashumg tu vas nous beaucoup nous manquer.

    elle

  • Oh là, dur !...On l’a vu y à peine trois semaines. Putain de crabe !

    Enfin, il nous a donné de la belle et bonne chanson française, singulière, sans jamais se vautrer dans le star system. Respect et hommage.

    Soleil Sombre

  • Fucking crabe !
    Nous lui dirons des mots tus...
    Bashung...

  • " C’est comment qu’on freine ??? j’voudrais descendre de la....." !

    Surtout en ce moment !

    On est champion de la production d’abrutis de la pire espèce en France ! VAL BHL FINKIELKRAUT ADLER FOUREST GLUCKSMANN ETC....

    la mort de certains artistes ne compense plus le poids des idiots qu’il nous faut supporter...!

  • Bonne et belle grande nuit Bashung

    "Je me tue à te dire qu’on ne va pas mourir..."

    Alain Bashung (mes bras)

  • triste,
    une voix proche et amicale

  • Il est parti rejoindre les étoiles trop tot. Aujourd’hui, à quelques exceptions pret, il nous reste les brels de la télé poubelle et kleenex. Il avait ce coté à part et ce charisme modeste qui est l’empreinte des grands. Toujours là discrettement chaque sortie d’album était une bombe dans l’empire impérialiste du disque qui casse du chanteur quand il n’est plus rentable comme il pisse le matin. Tant de musiques, tant de paroles, tant d’images nous reviennent y compris c’est images oubliés de la fin des années 60 que nous découvront maintenant nous les plus jeunes qui n’avions pu les voir. Monsieur Bashung s’en est allé mais son héritage est là. Tchiao l’artiste, tu nous manques, reste à remettre en boucle ta petit entreprise qui n’est pas prete de connaitre la crise, quant à nous, grace toi et ta musique, pendant quelques instants, on arrive à l’occulter. ton courage était exemplaire, On t’aime. je t’aime

  • Salut Alain, c’est nous qui devons te remercier de nous avoir donné tant d’amour.

    Varenne

  • Salut l’Artiste et merci pour tout !... Je venais tout juste de te "redécouvrir" avec cet ultime cadeau en écrin bleu pétrole... Tu as "osé" Manset et quelle rencontre au sommet !!! Enfin quelle attitude digne, leçon de plus pour Sarko à qui tu as attribué (je te cite) "l’attitude d’un petit voyou sans envergure qui manque de classe et de dignité"...

  • Quelle tristesse d’apprendre la mort de Bashung même si elle était "annoncée", hélas, depuis quelques temps.

    "Gaby" est une chanson génialissime avec des paroles d’anthologie - "Tu veux qu’jte chante la mer le long le long des golfes, pas très clairs"...

    Des textes magnifiques et très poétiques, quel que soit le sujet abordé, une voix reconnaissable entre toutes, un vrai rocker "à l’ancienne"... et donc intemporel.

    "C’ est comment qu’on freine" ??? Malheureusement, pour "ça" on peut pas freiner indéfiniment et je trouve que sa façon de vivre sa maladie est une leçon de vie - c’est inévitable , oui, mais pas suffisant pour s’arrêter de vivre avant que la mort nous emporte...si on peut, il faut aller jusqu’au bout de soi, de sa vie, tant que nos yeux ne sont pas fermés.

    Où que tu ailles, je te souhaite une belle route, Bashung.

    La Louve (triste)

  • ma contribution pour quelqu’un que j’aimais beaucoup :

    Sculpteur de sémantique.

    Prolétaire des royautés et saltimbanque des brasées humaine.

    Tu as su prendre aux pièges nos cœurs.!

    Sentiments cacher, hypotypose matelassée !.

    Créateur d’espace ou le verbe c’est remplie.

    Homme de solitude, tu as figer l’ennuie des hommes sous la pluies.

    Tes poumons ont lâchés, vulgaire cendre consumée.

    La vie ?... méandre psychologique ?.

    Habituer aux abimes de tendres refrains ! .

    Étant si discret , qu’aujourd’hui toussent « il se plaint ? » !.

    Enfant d’une terre qui à vue trois guerres, t’ont verbe à suivi l’éphémère.

    Réduisant les heures à de longs chemins ! .

    Nous te serrons la main.

    à godot l’artiste et "le" soleils sans fin ...

  • Quelle classe, quel hauteur,depuis longtemps tu volais très haut au dessus de la médiocrité ambiante, tu redonnais foi en l’homme ce qu’il a de grand, ce qu’il a de bon, rêveur qui nous faisait décoller de notre condition de simple être humain.
    Tu pars pour un autre voyage nous laissant orphelin
    Salut l’artiste, ce n’est pas de l’amour mais plus puissant tu nous extrayais de notre monde pour un monde de rêve