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C- 3ème Partie : D’un côté, à l’affût des failles, l’arnaque ! - De l’autre, en guerre contre les malignités, des logiciels ?
Publie le mardi 16 janvier 2007 par Open-Publishing1 commentaire
Par N.E. Tatem ARGOHEME
C- 3ème Partie :
D’un côté, à l’affût des failles, l’arnaque ! - De l’autre, en guerre contre les malignités, des logiciels ?
Il est illusoire de croire à ce que toute machinerie préconisée au service de l’homme, et de son chef, soit entièrement infaillible. Il s’agit d’une conception mathématique, conditionnée par des interférences internes qui font sa cohérence générale, c’est à dire soumises aux règles des probabilités. Donc elle est sujette à des complexités que les corrections raffinent. Indépendamment des malintentionnés qui ont depuis la nuit des temps été un pan malfaisant, et inextirpable des activités humaines, l’erreur comme la faiblesse ne sont pas à écarter avec l’extravagance, aux yeux des profanes, des mœurs récents. Une entière sécurité est impossible, et les technologues de l’électronique passent pour les rois du perfectionnisme. Ils s’attèlent à rendre moindres les problématiques malveillances que la vie trace dans le palpable et le virtuel. Avant d’aller au sujet des risques, faisons détour à une courte genèse qui a fait de l’admissibilité parmi les intimités de l’humain, son lieu de travail et son foyer, du plus vivant des meubles : le PC.
L’envahissement des domiciles par la télévision, quelques décennies déjà que ce mobilier sous forme de caisse magique s’est mis à livrer à domicile arts, informations et distractions, a créé l’atmosphère pour que l’ordi. soit accepté sans réticence et même recommandé en tête des pourvoyeurs d’idées lumineuses aux personnes avides de connaissances. Poussant vers la porte son ancêtre mémorable dont les mutations l’ont érigé en roi de l’équipement domestique, il fournit carrément toutes formes de médias. Lesquelles de plus en plus interactifs agissent en obéissant aux centres d’intérêt du récepteur. Malgré que d’autres éléments (play-station et lecteur de supports, cassette ensuite disque compact) apportèrent des prolongements, la télé est absorbée vers un mariage forcé avec le net. Avec AOL, Karl Zero a fait le pas en partant de canal-plus, faisant abdiquer la télé à la toile. La vidéo amateur grouille sur le net, mais qu’un professionnel tente de faire l’enjambée en page principale d’un géant, on s’attend que les demi-dieux, le mot monstre est soit adéquat, du petit écran qui ont pignon sur ondes s’y mettent. Les nouvelles têtes sont nombreuses et restent anonymes, aucune ne dépasse les autres.
Au point de croire à la disparition du facteur distributeur du courrier postal, acculé par l’adresse émail, la société ne subit point d’amalgame, elle arpente allégrement les conquêtes faisant partie de son épopée dans l’univers. Toutes les conditions sont favorables pour que l’adoption de l’ordi., devant la machine de dactylographie d’abord, et ensuite pour que l’échange médiatique à l’échelle universelle, non pas seulement marchand, deviennent la vertu primordiale. Parmi les rares accommodements, il convient de citer le programme peer to peer où quand votre machine, disposant de sa connexion Internet, est en veille, c’est à dire allumée sans être utilisée, peut participer à des calculs mathématiques en rapport avec la recherche médicale.
Les bienfaits, de l’ordinateur favorisé par le Web, sont inouïs et incalculables. Il n’est pas question de faire des louanges, alors que les risques alignent les doutes. Le malheur d’être victime de banditisme sur le Net est battu en brèche, quoi qu’en disent les dubitatifs. Le rejet du contrôle quasi aveugle, la censure, génère une impossibilité de certitude qui, à l’instar de toutes activités humaines, fonctionne tel un projet ouvert et exposé aux manœuvres et interventions exogènes. En 2006 les attaques de virus information ont diminué, le dernier signalé a été rencontré sur la plate-forme « Skype », une plateforme spécialisée dans la diffusion de bandes sonores et qu’on croyait invulnérable pour sa vocation. De cet angle utilisant moins les fichiers textuels où il est simple d’introduire un lien hypertexte et autres marqueurs dangereux ou bien une pièce jointe, « Skype » n’a pas échappé à une atteinte comme un véritable viole.
La cybercriminalité où certainement les redoutables mafias de nos aïeuls, nous sommes au 21ème siècle, trouvent leurs aubaines inespérées auprès des nouveaux créneaux. Les plus avertis n’ont pas les bras croisés, recrutant de jeunes génies grouillant à travers le monde pour cette discipline technologique. On croit même que des nombreux sont les parrains à roder dans les campus, procédant de méthodes plus tentaculaires que par le passé.
A propos des camorras, les jeux en ligne (casinos, paris sportifs et poker) occupent le haut du pavé de l’intéressement des capos. On recense pas mois de 1200 sites Web français qui s’adonnent à mettre à disposition de leurs visiteurs le tapis vert sans des croupiers. Sans aucun doute le blanchiment des capitaux acquis des économies illégales (interdites) et informelles (ne payant pas d’impôts), trouve ici un débouché insoupçonné. Aux Etats-Unis un ordre ferme a été donné aux banques de ne pas gérer, même pas l’ouverture d’un compte, les fonds venant des jeux en ligne. La sincérité des parties même organisées par les boîtes qui ont pignon sur rue, tenant une tradition bien française pour l’Europe où le fisc engrange 56% de chaque mise d’un joueur, n’est plus vérifiable.
Les experts disent que les gains des malfaiteurs qui sévissent sur le Web sont plus importants de ceux concepteurs : programmeurs, webmestres et autres personnes travaillants dans le domaine. Selon ces mêmes experts le décryptage des éléments privés frappés du secret est l’enjeu essentiel. Les mots de passe, les codes et tous les identifiants qui permettent les détournements d’intérêts ou de capitaux sont menacés. Des logiciels sont conçus pour les happer et les déchiffrer. L’espoir est mis dans des développements plus avancés plus sécurisées et qui désobéissent aux censures.
Prochains articles :
1- La révolution du Web2.0
2- Le blogger-boom est bien juvénile.
3- Windows-Vita, dernier né de Microsoft.
Messages
1. C- 3ème Partie : D’un côté, à l’affût des failles, l’arnaque ! - De l’autre, en guerre contre les malignités, des logiciels ?, 17 janvier 2007, 00:55
"Aux Etats-Unis un ordre ferme a été donné aux banques de ne pas gérer, même pas l’ouverture d’un compte, les fonds venant des jeux en ligne. La sincérité des parties même organisées par les boîtes qui ont pignon sur rue, tenant une tradition bien française pour l’Europe où le fisc engrange 56% de chaque mise d’un joueur, n’est plus vérifiable."
– L’auteur de cet article aurait pu rajouter que les Etats-Unis ont agi notamment sous la pression des lobbys des casinos de Las Vegas et Alantique City, bien connu pour être géré par des gens au dessus de tous soupçons.....
Philippe