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COMORES : DIPLOMATIQUEMENT CORRECT
Publie le dimanche 30 mars 2008 par Open-Publishing2 commentaires
Secret défense
L’AND et les militaires ayant participé à intervention militaire à Anjouan, ont découvert des caisses des munitions portant la mention : Ambassade de France – Moroni.
Monsieur l’ambassadeur de France aux Comores, Christian Job avait déclaré le 26 juillet 2007, je cite « l’agenda de la médiation internationale n’est pas calqué sur l’impatience des comoriens », avant d’ajouter qu’il faudra « user de toutes les voies pacifiques possibles avant d’en arriver à une action de force ».
On aura compris pourquoi la France ne voulait pas aller jusqu’à Anjouan.
Le colonel Bacar et sa garde rapprochée (accusée par plusieurs familles de la région Sima de viol sur mineurs de moins de 15 ans) se trouvent dans des appartements destinés aux officiers français à la Réunion. On appelle cela : Centre de rétention administrative.
La France n’enverra jamais ces criminels aux Comores pour qu’ils soient jugés : Secret défense oblige. Alors que Mohamed Allaoui un proche de Mohamed Bacar qui avait entré illégalement à Mayotte, n’a pas eu cette chance. Il a été renvoyé directement à Moroni en application des accords signés entre la France, l’Union Africaine et les Comores. Il faut dire aussi que ce dernier n’avait pas d’arme avec lui.
D’ailleurs c’est aussi le cas d’Abdou Bacar (le frère du colonel). La première fois qu’il est entré illégalement à Mayotte, il avait été renvoyé immédiatement à Anjouan. (Il n’avait pas d’arme). Cette deuxième fois c’est la bonne car il était armé. Nous attendons impatiemment la Jurisprudence Bacar :Cela peut sauver beaucoup de vies.
Ceux qui fuyaient le régime dictatorial du colonel et qui demandaient l’asile politique, avaient un autre traitement de la part de notre amie. Lisez (C’est un exemple parmi beaucoup d’autres).
Naufrage à Mayotte : la Cimade demande la libération des personnes placées en rétention administrative
Suite à la collision, dans la nuit du lundi 3 au mardi 4 décembre 2007, entre une embarcation de migrants comoriens et une navette de la police aux frontières (PAF), une femme et un enfant sont morts. Au moins trois personnes sont toujours portées disparues, deux seraient encore hospitalisées à Mamoudzou.
Vingt-six personnes ont été placées au centre de rétention administrative (CRA) de Dzaoudzi, parmi lesquelles dix-sept hommes, trois femmes et six mineurs dont le plus jeune est âgé de onze mois. Le centre, prévu pour accueillir soixante personnes, en compte maintenant soixante-treize.
Le ministre de l’Immigration, Brice Hortefeux a déclaré mardi 4 décembre qu’une enquête de l’Inspection générale de la police nationale serait diligentée. Mercredi 5, le directeur de la PAF à Mayotte a confirmé que les rescapés avaient été déclarés, suite à un examen médical, aptes à un placement en rétention, « sans éloignement effectif pour le bon déroulement de l’enquête, dans l’attente de la décision du procureur pour la poursuite de l’exécution de la décision d’éloignement ».
La Cimade demande que les rescapés ne soient pas placés en rétention car il y a obligation de soins pour ces personnes qui viennent de vivre une situation traumatisante. Les conditions matérielles indignes du centre de rétention ne permettent pas un accueil approprié : les personnes retenues dorment à même le sol, aucun nécessaire de couchage n’est fourni, il n’y a pas d’espace séparé pour les familles et les mineurs isolés, il n’y a aucun téléphone à disposition, ce qui empêche les personnes retenues de communiquer avec l’extérieur. Toutes ces dispositions sont contraires aux textes législatifs propres à Mayotte, où s’applique déjà un régime dérogatoire.
Ce placement en rétention est d’autant plus inacceptable car incompatible avec le bon déroulement de l’enquête qui devra établir les circonstances de l’accident et le recueil de témoignages dans des conditions sereines, c’est-à-dire sans la crainte d’un éloignement imminent vers l’île voisine d’Anjouan.
En outre, les visites sont empêchées par le personnel du CRA : depuis leur arrivée au centre, aucune des personnes retenues n’a pu avoir un contact avec l’extérieur, que cela soit avec la famille, un médecin, un psychologue, un avocat, ou le milieu associatif.
La Cimade a saisi le Comité européen de prévention de la torture (CPT), ainsi que la Défenseure des enfants, Dominique Versini et, par l’intermédiaire du député Etienne Pinte, la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS).
Source : http://wongo.skyrock.com/
Georges Houmadi
Messages
1. COMORES : DIPLOMATIQUEMENT CORRECT, 31 mars 2008, 00:36
Les USA ont l’IRAK
la France a les Comores, ont fait avec ce qu’on peut.
les USA ont un grand guignol à leur tête
la France à le petit roquet du grand guignol à sa tête.
Voilà pourquoi on entendra pas sur les ondes FRANCAISES une CRITIQUE de l’action fumeuse de la FRANCE aux Comores dont elle occupe depuis plus de 30 ans une fraction de son territoire : MAYOTTE.
Les chinois sont des mauvais garçons à cause du TIBET et les français des anges, eux, c’est bien connu, la patrie des droit de l’homme...donneurs de leçons pour citoyens anesthésiés par des médias aux ordres.
1. COMORES : DIPLOMATIQUEMENT CORRECT, 31 mars 2008, 02:00, par siti
Nous demandons au peuple français de nous aider. Dénoncez ce qui se passe en ce moment aux comores. Il y a des choses que l’on vous cache. La france (l’etat français) va offrir à des personnes qui ont commis des viols sur des enfants l’impunité.
La france (l’etat français) fait mal.
Au secours peuple de france.