COMORES : L’IMPUNITE DE MARIA GALANTA

Après Bacar et de ses ministres, MARIA GALANTA

Le bateau "Maria Galanta", qui n’avait plus le droit de mouiller dans les ports comoriens à cause de plusieurs violations des eaux territoires des Comores, a repris ses rotations entre Mayotte et Anjouan. Le ministre des affaires extérieures de l’union des Comores avait promis à l’armateur du bateau qu’il ferait tout pour que Maria reprenne ses voyages vers Anjouan.
Le "Maria Galanta" avait violé à plusieurs reprises l’embargo imposé aux séparatistes anjouanais par l’Union africaine et le gouvernement comorien en se mettant au service du colonel Mohamed Bacar presque quotidiennement. Son armateur se moquait des décisions de l’union des Comores.
Le gouvernement comorien avait même saisi l’ambassade de France à Moroni pour lui demander son soutien afin de faire cesser le soutien du "Maria Galanta" aux rebelles anjouanais, l’ambassade avait répondu que si l’exploitant était français, le "Maria Galanta" ne battait pas pavillon français, mais de Saint-Vincent et Grenade".
Lorsque le président Sambi aura compris le rôle néfaste de son ministre, il serait déjà trop tard. C’est aussi la « diplomatie ».

F.NAIL