Accueil > Deux mille septième année
Alors que nous entronsDans cetteDeux mille septième annéeDe douleurs et d’iniquitésJ’ai rêvé d’un monde serein !J’imagine un peuple libre !J’aspire à une terre combléeD’amour, de justice et de partage !J’exige une solidarité !Qui bannisse la duplicitésEt la convoitise !J’ai rêvé d’un mondeQui rejette cet univers d’acier glacé,Qui nous cloisonneDans une prison d’indifférence,Espace intraitableQui sépareEt qui régit jusqu’aux espoirs.Je rêve de dire adieu,Adieu à un glacial mondeDe solitudeOù chacun poursuit sa quêteDe comparaisons stériles,Adieu à cette vaineEt sévère réalitéQui ne nous aveugleQue lorsqueL’incandescence du soleil,Éteint ses brandonsAux confins de l’horizon.J’ai rêvé d’un peuple,Qui cesse de marcher à pas cadencésEn brigades courbéesAu rythmes de la publicité.J’ai rêvéD’un peupleQui refuse de se blottirDans une fébrileimpuissance résignée.J’ai fait un rêve !Celui de ne plus subirL’oeil béat satisfaitDe ce very important personnageQui s’imagineAvoir bien vécuQuand le temps de mourir est venu.J’ai fait un rêve !Celui d’un amour d’élans spontanésQue nous pourrions tous partagerLa force d’amourPeut changer le monde.Je croisQue nous ne formons tous qu’un.Comprends ceci toi-même.PersonneNe pourra le faire pour toiTu deviens meilleursCrois-moiQuand tu aimes,Car la vie continueAvec ou sans toi.
Tous mes Voeux
Esteban Diez