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Deux responsables du Pcf en Chine...
Publie le mardi 9 novembre 2010 par Open-Publishing4 commentaires
Voyage d’Etude en Chine- Dossier pour la presse, les responsables politiques, associatifs, syndicaux.
Notre voyage en Chine de Hong-Kong à Shanghai et l’Exposition Universelle
en passant par Shenzhen, Kunming, X’ian, Yangling, Chengde, Pékin, Tianjin, Qingdao, Suzhou,
du 13 septembre au 6 octobre nous a permis de mieux percevoir :
Qu’est ce réellement que la Chine ? Où en est–elle ? Quel état des lieux,
Quels sont ses objectifs et orientations pour les prochaines décennies,
Quel sera son rôle dans l’évolution du monde et pourquoi pas d’une planète transformée ?
Un parcours de l’est à l’ouest, du sud au nord et des rencontres…
Nous avons parcouru 6000 kilomètres, visité 10 villes et passé 5 jours à l’exposition universelle de Shanghai.
Nous avons rencontré des personnalités chinoises responsables de grands territoires, le plus souvent de 8 à 16 millions d’habitants, des chercheurs, des élus, des chefs et cadres d’entreprises. Nous sommes aussi allés à la rencontre de français, chercheurs, diplomates, entrepreneurs.
Ils ont tous conforté et éclairé nos impressions de voyage :
Un pays complexe, pétri de contradictions dans sa volonté de passer d’un pays communiste sous développé à un pays du « socialisme de marché », riche, « harmonieux », alliant traditions et modernité.
Sa croissance continue engendre des défis sociaux et politiques inédits.
Une impression générale
– Sérénité et débat, planification et foisonnement, pragmatisme, capacité à réaliser dans les délais ce qui a été décidé, capacité à généraliser les expériences réussies,
– Fierté nationale et adhésion populaire ce qui entraîne des décisions et réactions difficilement compréhensibles avec une culture occidentale.
– Débats à tous les niveaux sur la nécessité de développer la démocratie, comment et à quel rythme ?
D’un pays sous développé à une grande puissance à la « chinoise »
La Chine est aujourd’hui une grande puissance industrielle, technologique, scientifique, militaire. Malgré plus d’une décennie de croissance, les prédictions de certains experts internationaux renommés, la Chine n’a pas fini de se développer.
Après l’explosion économique de l’est côtier et des estuaires, les projets sont à l’Ouest, financés pour une grande partie par les succès économiques des provinces de l’Est, réalisés grâce à leurs activités tant en Chine que dans l’ensemble des pays du monde.
Hong Kong : puissance et domination des gratte ciel…
Nous l’avons constaté à Hong Kong : délaissée par les activités industrielles, mais devenue une plateforme financière malgré tout atteinte par la crise. Ouverte sur le monde elle est collectrice de fonds asiatiques d’abord, occidentaux ensuite et en voie d’intégration à la Chine. Une porte d’entrée pour les pays occidentaux sur l’ensemble de l’Asie. C’est aussi « La Chine vers le Monde et le Monde vers la Chine ».
Shenzhen : de 170.000 pêcheurs à une agglomération de 16 millions d’habitants
A Shenzhen, zone économique spéciale au premier rang de la Chine en recherche et développement, nous avons rencontré des responsables ouverts, travaillant simultanément au développement économique, social et environnemental de leur territoire mais aussi en solidarité avec d’autres territoires moins développés du delta de la rivière des perles. Shenzhen sert de base d’expérience pour d’autres villes, pour l’ensemble de la Chine. Une réussite, avec bien sûr, des ombres et des conséquences collatérales par exemple une mixité particulière un homme pour six femmes.
Shenzhen c’est la province des centrales atomiques et de la démonstration du savoir faire désormais acquis par les Chinois. C’est aussi la construction de deux réacteurs EPR, dans les délais prévus, c’est un principe chinois, et pour un coût sans doute inférieur aux prévisions.
Kunming : des toits couverts de chauffe eau solaire
A Kunming, nous avons visité un laboratoire universitaire dirigé par un tout jeune professeur chargé de mettre au point des biocarburants à base de déchets organiques et de certifier les chauffe eau solaires. La province a généralisé l’utilisation de biocarburants à base d’huile de friture, et les toits de la ville sont couverts à 50% de chauffe eau solaires.
Dans cette même ville, une ONG travaille en lien avec des ONG internationales et les autorités politiques aux alternatives agronomiques.
Ville de l’Ouest, nouveau développement : en 8 ans de 1 millions à 8 millions d’habitants.
Les chauffe eau solaires nous poursuivront tout au long de notre voyage sur tous les toits même dans le nord de la Chine.
Yangling : une université au service des souhaits alimentaires des Chinoises et des Chinois
A Yangling près de X’ian, des échanges un peu formels à l’université spécialisée dans l’agronomie, les biotechnologies et l’agroalimentaire ne nous ont pas permis de répondre à nos questions sur la vision et les projets agricoles de la Chine, mais la taille et les moyens de cette immense université passée en peu d’années de 3.000 à 30.000 étudiants (5000 salariés dont un millier d’enseignants universitaires, plus de 100 masters et 71 doctorats, 5000 projets de recherche, 900 brevets), ainsi qu’une incursion au laboratoire de clonage animal nous ont montré son importance.
Pour les chercheurs, la Chine est autosuffisante pour son alimentation. Les Chinois auront, comme les occidentaux, accès à la viande.
Faire peur avec l’intervention de la Chine sur les marchés alimentaires est-il plus utile que de faire renaitre une autre agriculture et l’autosuffisance alimentaire dans chaque région du monde, de sortir l’agriculture des règles des marchés concurrentiels et de l’OMC ?
Retenez aussi Yangling c’est l’avenir de l’aéronautique Chinoise. Nous avons volé sans encombres dans des « airbus made in china » (18 en 2009 – plus de 40 en 2010 etc…).
Quand le bâtiment va : 50.000 gratte-ciel supplémentaires d’ici 2025
A Pékin et Chengde, mais aussi à Tianjin, Qingdao, Suzhou, et bien sur à Shanghai et ses banlieues, c’est l’urbanisation galopante, avec son cortège de spéculations immobilières et de flambée des prix des logements. Nous avons pu observer l’accompagnement environnemental des infrastructures routières, le développement insuffisant malgré son importance des transports collectifs.
L’innovation y règne avec le TGV chinois, le train à grande vitesse Maglev 420 km/h, le métro chinois qui vient pour la première fois d’être vendu à son grand voisin l’Inde. Les projets de métros, de trams et d’autobus géants sont dans les cartons et nous avons vu qu’ils en sortent pour devenir réalité..
Vous avez dit « et l’environnement ? » : bien sûr le leur mais surtout le notre…
Dans les banlieues de ces villes fleurissent les projets d’écovilles, parfois des réalisations d’économie circulaire. Il n’est pas encore possible d’en apprécier les résultats.
Dans ces domaines toute la planète balbutie. Les Chinois savent aller vite et tenir les délais dès qu’ils ont décidé et expérimenté.
Les Chinois ont voulu la Zone des bonnes pratiques urbaines à l’Exposition universelle. Ils l’ont beaucoup financé. Nous y avons vu beaucoup d’expériences à travers le Monde, les décideurs chinois aussi.
Parallèlement au développement moderne, nous avons constaté la volonté de préservation du patrimoine historique et la multitude de touristes chinois dans les musées, les temples et les palais. Dans le même temps, des quartiers historiques entiers, à Pékin comme à Shanghai sont détruits pour faire place à des complexes immobiliers spéculatifs.
La préservation de l’environnement semble une préoccupation très présente : énergies et transports propres, plantations urbaines et reforestation, développement de l’économie circulaire. Notre visite de TEDA, la zone de développent technologique et économique de Tianjin, nous a fait toucher du doigt cette volonté tout à la fois politique et économique.
Tianjin TEDA : En Chine nous serons mieux placé pour la mise en œuvre et pour les coûts…
TEDA. Nous y avons rencontré les responsables d’EcoTEDA , organisme chargé de la mise en œuvre de l’économie circulaire et des projets internationaux de coopération pour le « bas carbone » en produits, technologies et services. Avec un budget annuel de 100 millions de Yuan, cet organisme promeut un futur industriel écologique à travers de multiples services, formation, information, mise en réseau, gestion d’éco projets, consultations et maquette géante de la future éco zone dont une partie est déjà réalisée. Si la Chine émet beaucoup de CO2, elle agit aussi très volontairement pour diminuer ses taux déjà beaucoup plus faibles par habitant que dans le reste du monde développé. Elle prévoit la construction de pas moins de 400 villes vertes d’ici 2020, et devient l’atelier du monde pour les énergies propres.
Qingdao
Notre court séjour à Qingdao nous a permis d’apprécier une autre facette de la vie chinoise : les séjours à la plage.
Station balnéaire et port de plaisance où se sont déroulées les épreuves nautiques des derniers jeux olympiques, jumelée avec 55 villes dont Brest.
Qingdao est encore une ville moderne, qui a gardé des traces urbaines et industrielles de son passé allemand.
Selon le petit livre en français présentant la ville, la construction de la base olympique a été l’occasion de développer savoir-faire et innovations urbanistiques et environnementales. Qingdao qui se présente comme « la ville des marques chinoises » a maintenu une croissance à 2 chiffres depuis 14 ans. Outre sa spécialisation dans la transformation de produits agricoles, Qingdao s’est développée selon huit bases industrielles, parmi lesquelles deux marques chinoises, leaders au plan mondial : Tsingtao premier brasseur et Haier, premier fabricant d’électroménager dans le monde. La visite de la tour d’exposition de Haier (11 étages de démonstration) a illustré les orientations de cette entreprise : diversification et segmentation, avec par exemple des produits électroménagers et informatiques spécifiquement adaptés aux zones rurales, des ordinateurs pour le marché des enfants américains, des machines à laver et réfrigérateurs pour les cubains…
Ici aussi comme chez Tsingtao, souci de l’environnement, du recyclage total, piloté par les lois chinoises.
Entreprises étrangères ?
pas si sûr ni du point de vue des salariés, ni du pouvoir, ni des capitaux…
Les entreprises étrangères, ici comme chez Volkswagen à Shanghai, ou chez le cimentier Lafarge dans diverses provinces de Chine, sont le plus souvent dirigées par des chinois, propriété majoritaire de l’état chinois et soumises aux lois sociales et environnementales chinoises qui évoluent avec les exigences nouvelles des salariés et consommateurs chinois. De toute manière y compris comme dans la grande distribution, Carrefour par exemple, le personnel chinois se compte par milliers, le personnel étranger par quelques dizaines au plus.
Les conflits sociaux ont transpirés dans notre presse. Nous avons rencontré un dirigeant chinois, propriétaire d’une société privée chinoise de distribution d’électricité (oui, la bas aussi…) il nous a confirmé que son directeur du personnel était nommé par le syndicat.
Vendre à la Chine : une vente équitable ?
La différence exportations vers la Chine, importations depuis la Chine donne sauf exception une balance positive en faveur de la Chine.
En Rhône Alpes, la Chine ce sont 10.000 emplois et 2,9 milliards d’€ d’importations pour 1,1 milliard d’€ d’exportation. Les Airbus sont fabriqués sur place, et la Chine prépare activement ses propres avions, un modèle de 100 places est presque certifié. Le métro est désormais chinois et déjà revendu à l’Inde. Le modèle chinois de TGV existe et sa vitesse commerciale est supérieure à celle du TGV Français. Sur les 6 réacteurs nucléaires de Daya Bay : 2 sont à 100 pour 100 français, 1 à 75%, 1 à 50%, 1 à 25%, 1 à 100% chinois. La Chine a désormais son propre modèle de réacteur…
Shanghai :
La densité de population au centre de Shanghai est inférieure à celle du centre de Lyon
Fin de notre périple, Shanghai, ville magique et l’exposition universelle.
Est-ce l’effet de la venue attendue de millions de visiteurs (73 millions en 6 mois dont 95% de chinois) qui a transformé si rapidement cette ville ?
En moins de 20 ans, la « perle de l’Orient » est redevenue un centre économique de première importance, qui comptait en 2005 20 % de la production industrielle nationale pour seulement 1,5 % de la population.
Elle se destine aujourd’hui à devenir centre international financier, maritime, de services et de commerce de la Chine, avec l’aval des autorités centrales.
En matière de transports publics, le réseau de métro est passé de 350 km en 2009 à 400 km en 2010 (plus que le réseau parisien 214 km pour 16 lignes) et comptera 780 km en 2020.
La construction du port en eaux profondes de Yangshan complète le port de Waigaoqiao et fait de Shanghai le 1er port mondial pour le vrac (582 M t. en 2008) et 2ème port pour le trafic de conteneurs (25 M. EVP en 2009, soit ¼ du trafic chinois) derrière Singapour…En visite au printemps au port d’Amsterdam, il nous a été dit : le nouveau port de Shanghai 5 fois le nôtre…
L’aéroport de Hongqiao, a ouvert en 2010.
Shanghai, du fait de l’arrivée massive de migrants chinois connaît aussi de graves problèmes de logement et de spéculation immobilière. La situation sociale de ces migrants venus des campagnes chinoises n’est toujours pas réglée : l’accès au « hukou », permis de séjour qui donne des droits sociaux comme l’inscription des enfants à l’école avance très lentement.
On ne peut pas parler de notre visite à Shanghai sans évoquer ces fabuleux musées, musée de l’urbanisme, musée des sciences et des technologies (capacité de 3 millions de visiteurs/an) et musée de Shanghai où nous aurions voulu passer des heures. Science, culture, patrimoine font là encore la fierté des shanghaiens et des chinois qui se pressent nombreux dans ces musées.
Exposition universelle :
plutôt une exposition chinoise universelle…
Notre dernier mot sera pour l’exposition universelle où nous avons passé 5 jours bien remplis.
D’abord pour remercier les élus et responsables des pavillons des régions de France qui nous ont reçus et permis d’effectuer des visites guidées de nombreux pavillons nationaux sans avoir à faire des queues de plusieurs heures. Merci encore à tous les « petits hommes et petites femmes en vert », étudiantes et étudiants « volontaires » parlant très bien l’anglais et qui nous ont aidés à nous diriger dans l’expo et à ses abords avec gentillesse et gaieté. Cette gaieté, cette décontraction que nous avons rencontrées partout le long de notre voyage, était particulièrement visible dans les rues, les parcs, les musées et les magasins de Shanghai envahie par des vacanciers venus de tous les coins de Chine durant cette semaine de vacances d’automne.
La barrière de la langue ne nous a pas permis de véritables rencontres avec les chinoises et les chinois. L’anglais, les interprètes nous ont cependant permis des dialogues sincères et parfois d’intenses moments d’émotion. Les bains de foule à l’exposition, dans les rues et le métro nous ont démontré que Chinoises et Chinois – 650 millions de téléphones portables et 350 millions d’internautes même avec accès limités - vivaient avec « leur liberté », ni plus ni moins que la nôtre, la courtoisie et le respect vis à vis des anciens en plus.
Quelques impressions encore sur cette exposition :
Organisation, propreté, accueil remarquables. Entrées de l’Expo fluides, mais Pavillon de Chine inabordable, queues immenses dans quasiment tous les pavillons nationaux.
Un pavillon français apparemment plaisant et ludique pour les chinois. Un pavillon ayant battu le record de visites, mais notre groupe de voyageurs a plutôt eu un sentiment de honte devant la vacuité du pavillon : bug informatique sur les écrans, désordre dans la cour d’arrivée (les photos sont à disposition) pas de réalisations techniques, rien sur la jeunesse, de vieilles images de vieux films, pas même contemporains d’Amélie Poulain pourtant si aimée des chinois ! Rien pour donner aux chinois une autre idée de la France que ce « romantisme » proclamé. « Un plus » : des Chinois à l’accueil du pavillon coiffés de bérets basques et en tee shirt marin breton sans nul doute en coton bio équitable : l’image de la France et la relance de notre économie. (plus d’un milliards de bérets…)
Les pavillons Rhône Alpes et Alsace nous ont réconciliés avec les efforts français. Le pavillon Ile de France, quoique esthétiquement réussi n’apportait pas non plus une idée de ce qu’est cette grande région, ses ambitions et ses réalisations.
La zone des bonnes pratiques urbaines bourrée d’innovations, notamment dans les pavillons de villes européennes comme Hambourg ou Londres a mérité de longues visites, en particulier les immenses pavillons à thème installés dans d’anciennes usines. Ainsi, le pavillon des urbains dont le message était celui du développement humain, préalable au développement durable, du pavillon de l’empreinte humaine racontant avec force décors l’histoire des sociétés dans leurs villes, le pavillon de la ville « être », être vivant ayant besoin de la protection humaine, le pavillon de la planète urbaine, l’Homme en symbiose avec la ville et la planète, et enfin le pavillon du futur, où chacun pouvait dérouler ses propres rêves, en particulier les enfants.
C’était une exposition voulue par les chinois, pour les chinois, 95% des visiteurs, une exposition à la hauteur de tout ce que nous avons vu à travers notre périple, au niveau des ambitions de la Chine.
“We have a dream”
Vingt jours après ces rencontres et découvertes « nous avons un rêve »
En trente ans la Chine est sortie du sous développement et de la condition de sous-traitant des pays occidentaux, condition de l’Afrique, de la majorité des pays de l’Amérique du Sud et de l’Europe de l’Est..
2010 – 2030 : nous rêvons
– que tous les pays du monde en Afrique, Asie Amérique du sud, Europe de l’Est, qui ne l’ont pas fait encore, parcourent la même progression. C’est possible.
– que tous les peuples du monde modifient la représentation donc le pouvoir dans les organismes internationaux
– que tous les citoyennes et citoyens du monde disent stop à toute augmentation des dépenses militaires . (135 milliards de 2008 à 2009,), imposent la réduction des budget publicitaires (évalués à 800 milliards/an) pour qu’ils soient affectés à la construction du monde alternatif équitable et solidaire que nous devrons impérativement faire émerger pour nos enfants.
Jean Pierre Caldier – Sylvie Mayer
Messages
1. Deux responsables du Pcf en Chine..., 9 novembre 2010, 16:55
c’est une parodie ???
1. Deux responsables du Pcf en Chine..., 9 novembre 2010, 20:02, par Copas
Tintin en Chine, ...
morceau de bravoure :
On en frémis
est-ce un fait exprès ? le minuscule "c" entre "P" et "F"
de débat point . Les travailleurs n’ont pas le droit de s’organiser .
C’est vrai ça, c’est inconnu en occident ça, le nationalisme et la fierté nationale.
En + un p’tit brin d’exotisme : ces gens là ils ne sont pas comme nous (en occident).
ça non, même si les débats existent dans les sphères hautes de la nomenclatura bourgeoise.
Et leur problème c’est comment accomplir la transition complète à une domination bourgeoise avec quelques libertés tout en contrôlant la classe populaire.
Rien de neuf.
pas un mot sur la bataille sur le salaire minimum à Hong Kong ?
exact pour le développement de l’énergie solaire dans cette ville. L’effort est gigantesque pour la transition énergétique.
Mais ça ne signifie rien sur la transition d’un régime et sa nature.
ahhhhhh..............
pompon...
2. Deux responsables du Pcf en Chine..., 9 novembre 2010, 20:18
SYLVIE MAYER Biologiste, Maire adjointe Brest, Députée européenne, Conseillère régionale Ile de France, (1977-2006). Responsable environnement du Pcf (1980 –2000), responsable groupe de travail économie sociale et solidaire du Pcf. ...
JEAN PIERRE CALDIER Sup de Co Reims, Cadre dirigeant, dirigeant salarié ou propriétaire de sociétés, consultant, dirigeant de mouvement de jeunesse et associations, (syndicat - laïques - protestantes). Citoyen militant chrétien.
http://www.blogger.com/profile/08960729917608891105
:))))))
3. Deux responsables du Pcf en Chine..., 9 novembre 2010, 22:59
"Tintin en Chine"... 70 ans après "Tintin en URSS". A l’époque Tintin nous montrait des usines en papier, de la fumée artificielle etc... En 2010 il semblerait que les usines sont bien réelles....