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Ecologie et capitalisme : Nicolas hulot, le dindon de la farce ?
Publie le mercredi 7 octobre 2009 par Open-Publishing7 commentaires
J’ai entendu deux fois Nicolas Hulot s’exprimer ces deux derniers jours ; une fois sur France-info, l’autre sur France-inter. Ce brave homme, que j’estime par ailleurs en tant qu’homme de convictions et activiste dévoué à la cause écologique, tentait d’expliquer comment son activité était complémentaire (et non supplémentaire) au débat politique concernant le climat.
Evoquant les mesures prises par la France et celles qu’il faudrait prendre dans le monde entier, Nicolas Hulot défendait les taxes (en acceptant toutefois son cadre économique), tout en se disant favorable à une forme de décroissance dans certains domaines (comme l’utilisation du pétrole par exemple). Il se disait également favorable à l’obligation de fixer des limites, en appuyant sur le rôle de la puissance publique comme garante de celles-ci (en renforçant la démocratie), en faisant référence aux enfants dont le besoin de limites est incontestable.... et en omettant la réalité du parent qui, loin d’être démocratique, doit pour fixer et faire respecter des limites être le dépositaire de l’autorité suprême et incontestable.
Ensuite et sur France-inter, un auditeur sans doute mal intentionné lui fit une question sur la contradiction de se faire financer ses activités par de grosses multinationales (dont on sait les vertus...), en proclamant grâce à celles-ci un discours opposé à la consommation de masse. C’est très intelligemment que Nicolas Hulot répliqua par la différence entre le mécénat et le sponsoring, qui pour son cas (le mécénat apparemment) ne l’engageait à rien en retour. C’est sans doute sans le vouloir qu’il se prit à citer le nom du principal à plusieurs reprises, mais les auditeurs auront bien compris : il s’agissait d’EDF. Mais il ne faut pas oublier les autres : Ibis hotel, L’Oréal, TF1...pour ne citer que les fondateurs (voir son site : http://www.fondation-nicolas-hulot.... ).
Après l’écoute de ces deux émissions, je me suis replongé dans une réflexion concernant cet éminent personnage : peut-il être à ce point naïf qu’il croie réellement que les mécénats d’EDF ou de L’Oréal soient le résultat d’une transformation morale non axées exclusivement sur la recherche du profit à travers une bonne image, comme lui permettent de le faire d’autres acteurs de la vie publique ? ou n’a-t-il pas, de bonne foi, compris que la société capitaliste ne peut absolument se satisfaire d’une quelconque décroissance, de limites ou de valeurs morales ?
Vu comment fonctionne le capitalisme et ce que requiert la sauvegarde de la planète, un homme de terrain comme lui devrait avoir observé cette vérité : c’est le capitalisme qui a détruit la planète, et il n’y a pratiquement aucune chance pour qu’il soit possible d’en être autrement. Nicolas hulot est sans doute très déçu du monde comme il va, mais il devrait comprendre que les limites ne pourront jamais être inculqués par un Etat réellement démocratique, que la démocratie est à l’opposée du capitalisme, et que le capitalisme est inévitablement contre l’écologie.
Car l’innovation technologique est la cause d’une pollution systématique, en même temps que l’outil principal du capitalisme : pour vendre encore et toujours il faut parvenir à l’obsolescence continuelle d’un produit, remplacé par une innovation, et la suppression pure et simple du produit précédent.pour que l’on ne soit ni en mesure de le réparer, ni même de le conserver. En bref, qu’on en achète un nouveau : c’est le principe même de la consommation de masse, qui est une consommation jetable, et donc obligatoirement polluante.
Mais les multinationales ne sont pas les seuls partenaires de cette fondation ; plusieurs organisations institutionnelles comme le ministère de la santé, ou celui de l’éducation nationale, subventionnent également cette fondation. Cela signifie-t-il que le gouvernement se trouve acquis aux convictions de Nicolas Hulot ? Ou bien se trouve-t-il être le dindon de la farce, ses "partenaires" l’utilisant sans vergogne dans le but de vendre du "vert" grâce à son image ?
Pour ma part, je doute fortement que les activités de VRP de notre président (comme son voyage au Kazakhstan avec GDF-suez, Areva, Alstom, EADS...), soient exactement en accord avec les idées écologiques et sociales que monsieur Hulot défend. et je doute plus fortement encore que ces partenaires soient assez stupides pour se tirer une balle dans l’un des pieds du capitalisme : tous sont de gros pollueurs, et des adeptes de la consommation de masse...
Alors quand les deux fonctionnent ensemble (multinationales et gouvernement), et cela au sein même de sa propre fondation, que peut-il réellement en espérer ? s’il ne comprend pas que le combat pour la planète doit s’effectuer au travers du combat contre le capitalisme, alors il ne peut pas être totalement écologiste, car il se trompe d’ennemi : ce n’est pas l’homme qui est la cause des malheurs de la terre, mais le système qui est la cause du malheur des hommes.
Messages
1. Ecologie et capitalisme : Nicolas hulot, le dindon de la farce ? , 7 octobre 2009, 10:20
Je me méfie d’un type trop médiatique, amis des pouvoirs en place et sponsorisé par des pollueurs !
Je suis méfiant,... je sais, mais c’est comme ça,... j’y peux rien !
2. Ecologie et capitalisme : Nicolas hulot, le dindon de la farce ? , 7 octobre 2009, 11:15, par belladona
aux arguments de caleb irri, je lui propose de lire les propostions d’ignazio Albore et sa conception d’un nouveau capitalisme contrôlé par les états dans son ouvrage : la théorie des 5 leviers. Un Capitalisme traité comme une maladie avec un vaccin pour contrôler sa virulence. Ce qu’explique finalement Nicolas Hulot en affirmant que c’est aux états de contrôler le capitalisme dévastateur de la planete.
1. Ecologie et capitalisme : Nicolas hulot, le dindon de la farce ? , 7 octobre 2009, 11:48, par belladona
erreur, il s’agit de l’idéologie des 5 leviers dont voici quelques passages qui peuvent intéresser Nicolas Hulot , en particulier l’art 1 sur les 14 principes universels de l’égalité et de la démocratie dans le 3ème millénaire.
IGNAZIO ALBORE’
L’IDEOLOGIE DES 5 LEVIERS
De la conservation et du développement maximum du libre marché des 5 leviers, du « plein emploi obligatoire (effectif : de toutes les familles) par loi », du socialisme des 5 leviers, de l’absence de fluctuations cycliques, de la « Nouvelle Démocratie » (« Seconde Phase » de la démocratie, la « matérielle ») et de la paix.
L’Idéologie des 5 leviers comme « phase historique successive » et innovatrice par rapport au socialisme.
CHAPITRE 1
Principes fondamentaux, fondations et statut de l’idéologie des 5 leviers
LE CAPITAL COMME MOYEN DE LA RÉVOLUTION
« Les systèmes économiques devront apprendre à donner un cœur et une âme à l’économie sans envahir,cependant, les espaces du diable (c’est-à-dire les grandes concentrations de pouvoir »).
« Lorsqu’ en économie les cœurs (les passions) et le diable seront parfaitement compatibles, complémentaires et complétés, on aura atteint la perfection de l’économie. L’économie est le seul lieu où le saint et le diabolique peuvent cohabiter ! »
(Ignazio Albore’ - 27-07-00)
« Le capital est bon, en soi, mais il a de mauvais maîtres. Il faut bonimenter ses maîtres et gagner leurs bonnes grâces pour jouir de toute sa bonté ! »
(Ignazio Albore’ – 13-09-06)
VOICI LE CONCEPT UNIVERSEL DE L’IDÉOLOGIE DES 5 LEVIERS :
« On parviendra, dans le monde entier, à la justice sociale totale et définitive, au déracinement définitif de la pauvreté et du chômage, grâce à la STABILISATION SCIENTIFIQUE DU CAPITAL », obtenue, à son tour, par la stabilisation scientifique des variables macroéconomiques fondamentales, grâce aux 5 Leviers.
De cette façon, le facteur économique « K » (Capital), devenant « Ks » (Capital stabilisé), pourra devenir l’auteur de la révolution de notre civilisation vers la justice sociale définitive.
On l’appellera, donc, « Kr » (Capital Révolutionnaire).
Avec la stabilisation scientifique, le capital devient révolutionnaire.
On réalisera vraiment et définitivement la révolution sociale à travers le capital.
Ainsi, dans le futur, la bataille éternelle de l’homme pour la justice, ne devra pas être « contre le capital » mais « pour le capital stabilisé scientifiquement », à travers un modèle de type 5 Leviers ou pareil, qui contienne, de toute façon, la stabilisation scientifique.
Voici les deux « Principes fondamentaux et universels de l’équilibre et de la stabilisation scientifique » énoncés par l’idéologie des 5 leviers, qu’on expliquera dans ce livre :
« Si dans tout système économique de tout pays, on fait agir dans un système, selon les mécanismes et les règles du modèle économique des 5 leviers, les macro variables économiques représentées par 5 leviers, c’est-à-dire demande de consommations et investissements, niveau de l’emploi, niveau des prix, dépense et revenus de l’Etat (qui correspondent aux macro variables économiques fondamentales de tout système économique), on pourra obtenir, à la fois, l’équilibre économique du système, le plein emploi effectif, l’équilibre monétaire constant (basse inflation), la stabilisation continue des consommations et des investissements à un niveau haut, la stabilisation du développement économique à un niveau haut, l’équilibre constant du budget de l’Etat” ( Premier principe universel de la stabilisation macroéconomique scientifique)
« Si l’on parvient à des équilibres macroéconomiques « partiels », c’est-à-dire des procès de stabilisation réalisés sur une seule macro variable économique fondamentale (prix, budget de l’Etat, consommations, emploi, etc), déliée et non coordonnée en système avec les autres macro variables économiques fondamentales, on n’atteindra jamais l’équilibre économique du système entier, ne produisant pas le plein emploi effectif, l’équilibre monétaire constant, la stabilisation constante des consommations et des investissements à un niveau haut, et la stabilisation du développement économique à un niveau haut et l’équilibre constant du budget de l’Etat »
(Second principe universel de la stabilisation macroéconomique scientifique)
Aujourd’hui, au début du millénaire, le monde n’a pas besoin de révolutions. Il a seulement besoin d’ « une » révolution qui conduise à la « stabilisation » du capital.
Avec l’Idéologie des 5 Leviers le capital n’est plus l’ennemi, mais le seul, vrai moteur de la bataille contre la pauvreté et l’injustice.
Le capital n’est plus l’ennemi, mais le moyen de la révolution définitive contre la pauvreté et l’exploitation impérialiste et capitaliste.
Le capital devient révolutionnaire.
Voici la révolution ! Partout dans le monde, sans verser même pas une goutte de sang, c’est le capital qui peut instaurer la révolution, la révolution de tous les opprimés du monde.
Le capital ne devra plus se défendre. Ainsi, il sera le vrai, le seul vrai moyen de justice sociale.
La révolution ne consiste pas à enlever le pouvoir au capital, mais à lui en donner !
Contre le capital il est inutile de combattre, parce qu’il se forme par instinct naturel.
Avec le capital on ne doit que « traiter » ! Traiter pour partager. Traiter pour l’exploiter en faveur de tous. Traiter pour l’inciter et l’obliger à faire le bien collectif.
Partager avec lui le pouvoir et la richesse. Et dans le domaine de ce partage, on doit trouver le maximum pour toutes les deux parties adverses (capital contre collectivité).
On peut baiser le capital seulement par le capital !
Pour vaincre le capitalisme il ne faut pas le combattre ; il faut plutôt « l’empoisonner », en mettant du « poison » dans sa nourriture même, c’est-à-dire le capital.
Il faut lui faire manger une « boulette empoisonnée », un « capital empoisonné ».
Dire capital, dans beaucoup de cas, veut dire MAFIA.
La stabilisation scientifique du capital et les 5 Leviers, sont la seule façon pour vaincre la mafia, en la neutralisant et en la bridant à travers « les mêmes mécanismes du capitalisme ».
On battra la mafia à travers son arme même, c’est-à-dire le capitalisme.
Il faut brider le capital, en lui concédant des faveurs, et en l’obligeant, en revanche, au plein emploi effectif.
Le capital est invincible ! On ne peut pas combattre le capital par les armes. Cela n’a pas de sens !
Un million de Che’ Guevara et un million de ses héroïques guérillas armées, ne suffiraient pas à anéantir le pouvoir du capital dans le monde.
3.
Voici dans l’essentiel, le système proposé par Ignazio Albore :
de la civilisation moderne, les
14 PRINCIPES UNIVERSELS DE L’ÉGALITÉ ET DE LA DÉMOCRATIE DANS LE 3° MILLÉNAIRE, des principes dont on comprendra mieux la valeur et la philosophie après avoir compris l’Idéologie des 5 Leviers :
Art.1
Dès sa naissance jusqu’à sa mort, chaque individu a le droit à la vie, à la liberté, à la propriété, à la continuité du travail et d’un revenu , à la sauvegarde de la santé de toute le planète, à la sûreté.
Les hommes, dès leur naissance jusqu’à leur mort, sont tous libres et égaux devant la loi.
Cette liberté et cette égalité se perpètrent et se consolident à travers la démocratie, les lois, le travail, l’État, le marché, le capital.
Le capital n’est pas seulement le but du marché, mais surtout le moyen pour l’égalité substantielle et effective de tous les hommes de l’avenir.
Le capital stabilisé est le plus grand moyen de l’égalité substantielle définitive entre tous les hommes du monde.
Le droit à la vie s’exerce même en respirant, en buvant, en cultivant.
L’air, l’eau et la terre sont des ressources qui appartiennent, dans leur totalité, à tous les hommes, et sont sujets à détérioration et à appauvrissement. C’est pour cela que chacun a le droit à qu’elles ne soient pas contaminées, dans aucune partie du monde.
Chacun dans le monde a le droit que la consommation d’eau soit rationalisée par loi, afin d’être équitablement distribuée.
La contamination d’air, d’eau et de terre est un « crime contre l’humanité », et celui qui contamine doit répondre pénalement de ce délit.
Art.2
La démocratie est non seulement un droit de chaque individu, mais aussi une situation concrète de bien-être, une situation matérielle.
La démocratie est faite de droits, de liberté, et d’une concrète, précise et certaine condition économique, qui doit rendre effectif l’exercice des droits et des libertés, de la part de chacun. La garantie concrète et certaine d’un emploi digne pour tous, est la condition dont il faut tenir compte pour l’existence d’une démocratie.
Art.3
La démocratie devra consister, pratiquement, dans la garantie au moins d’un emploi, (deux, pour les familles avec des enfants) jusqu’à l’âge de la retraite, pour chaque famille et pour chaque citoyen qui ne soit pas marié.
Cela, afin d’éliminer la pauvreté dans la société. C’est ainsi qu’on atteint la participation à la démocratie.
Le travail peut être fixe, à temps determiné ou à mi-temps, mais le revenu doit être toujours fixe, et fixé toujours au-dessus du seuil de pauvreté.
Le caractère temporaire et la partialité d’un emploi, doivent être toujours compensés par sa continuité, c’est-à-dire que la succession des divers emplois à temps déterminé ou à mi-temps, doit être continue. Toutefois, dans le cas de vide d’emploi à cause du passage d’un emploi à l’autre, ce vide devra être payé, en manière suffisante, et couvert par la Sécurité sociale.
Art.4
Le marché est le moyen le plus concret et puissant de la démocratie (« matérielle »). C’est pour cela qu’il doit être libre.
La liberté du marché se légitime étant fonctionnelle à la réalisation d’un concret bien-être matériel pour tous (en pratique, le plein emploi obligatoire).
Seulement si le marché vise à ce résultat, il peut être totalement libre. Le marché peut être pleinement libre, seulement s’il respecte les susdites conditions, essentielles pour l’existence de la démocratie moderne.
Les créateurs de la richesse sont le marché et l’État, ensemble.
Art.5
L’État, en ce qui relève de sa compétence, décide la direction du marché, afin de rendre les décisions économiques des hommes, utiles à la réalisation du bien-être matériel pour tous les individus. C’est à l’État, donc, de prédéterminer et décider les concrets résultats finaux des actions économiques du marché et des instituts publics.
L’État, sauf quelques aspects, n’aura aucun pouvoir de gestion dans les entreprises. Il agira comme simple « associé » des entreprises, un associé ayant l’intérêt exclusif du plus grand développement possible des entreprises privées et du plein emploi effectif constant.
Art.6
L’État, à travers une méthode spéciale et scientifique de coordination des actions des opérateurs du marché, et même de celles publiques, devra rendre certains les résultats du marché, c’est-à-dire qu’il devra concrétiser le bien-être matériel pour tous.
Art.7
Afin de rendre utiles les actions du marché, c’est-à-dire afin d’atteindre le résultat d’un bien-être matériel certain et concret pour tous, l’État devra programmer et imposer un système de stabilisations (automatique et qui s’autoalimente) dans sa politique économique. Sans ce système de stabilisations, on ne pourra pas atteindre ce résultat précis et certain en manière pleine et concrète.
Art.8
À travers la pleine réalisation du système de stabilisations, l’État aura le devoir d’éliminer la pauvreté
2. Ecologie et capitalisme : Nicolas hulot, le dindon de la farce ? , 7 octobre 2009, 21:14
C’est assez touffu à lire. Et plein de bonne intentions.
Mais il me semble que le mec a "oublié" une seule chose lorsqu’il écrit que "le Capital n’est pas mauvais en soi".
S’il parle seulement du "Capital" ça pourrait être vrai. le "Capital" en lui-même étant un "objet", aucun objet ne peut être objectivement mauvais en lui-même.
Même une arme ça n’est jamais qu’un outil détourné de son usage premier.
Mais il "oublie" surtout de parler de "QUI" possède le "Capital". Et surtout du "POURQUOI" ceux qui le possèdent désirent le garder en leur possession.
Alors ou il pense que les possesseurs ne savent pas gérer un capital au bénéfice de ceux qui ne le possèdent pas, (Et là il y a un GROS problème pour l’auteur du texte, au mieux de la naïveté), ou il ne le pense pas et je désirerai qu’il m’explique comment il va convaincre les possesseurs du Capital pour qu’il gèrent leur bien pour le compte de ceux qui n’en ont pas au lieu de le gérer pour leur intérêt.
Et surtout comment ça peut se faire de les convaincre sans leur mettre un fusil dans le dos.
Il paraît que le mec il a écrit un bouquin...
No comment !!!
G.L.
3. Ecologie et capitalisme : Nicolas hulot, le dindon de la farce ? , 7 octobre 2009, 11:57
C’est bien vrai que si seulement les pontes, élus et bureaucrates de l’écologie polluaient, il y aurait moins de pollution sur la planète.
Salaud de peuple qui veut aussi profiter !
4. Ecologie et capitalisme : Nicolas hulot, le dindon de la farce ? , 7 octobre 2009, 14:47
Pour faire son film il en a dépensé du CO2, ce sarkozyste convaincu !
5. Ecologie et capitalisme : Nicolas hulot, le dindon de la farce ? , 7 octobre 2009, 15:34
De toutes les façons on se fait mettre. Nicolas choisi le parfum de la vaseline pour se faire mettre mais il fait les poches de celui qui l’enfile. Quitte à se faire mettre, autant en profiter.