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Enjeux : Pour la paix au Proche-Orient
Publie le samedi 21 avril 2007 par Open-Publishing1 commentaire
Noha Rashmawi, présidente du comité international de soutien aux prisonniers palestiniens.
« La résistance, c’est la révolte et la colère, c’est aussi le sentiment que la justice est de votre côté. Ces mots sont de quatre résistantes françaises parmi lesquelles Germaine Tillon, qui avait accepté de soutenir le comité pour la libération de Marwan Barghouti. Nous, en Palestine, nous avons accepté de céder plus de trois cinquièmes de notre terre en espérant la paix.
Nous reconnaissons l’existence d’Israël mais en échange Israël et le peuple israélien doivent reconnaître la catastrophe de 1948 (exode de milliers de Palestiniens - NDLR) et le gouvernement israélien doit cesser sa politique d’épuration ethnique.
Il ne faut pas qu’Israël soit le seul pays au monde à construire encore des murs de la honte. Il ne faut plus qu’Israël soit le seul pays qui opprime tout un peuple. Il faut qu’Israël montre sa volonté de faire la paix des braves. En commençant par libérer les prisonniers palestiniens. On m’a appris qu’il fallait choisir mon camp.
Mon camp, c’est celui de Marie-George Buffet et du PCF, un parti qui n’a jamais failli dans le soutien à la juste cause du peuple palestinien. »
Messages
1. Enjeux : Pour la paix au Proche-Orient, 22 avril 2007, 01:34
"Il ne faut pas qu’Israël soit le seul pays au monde à construire encore des murs de la honte. Il ne faut plus qu’Israël soit le seul pays qui opprime tout un peuple"
Je voudrais simplement faire rappeler à Noha que les USA construisent aussi des murs de la honte (frontière avec le Mexique et séparation entre eux de divers quartiers de Bagdad ; comme les USA continuent à opprimer non seulement tout un peuple, mais plusieurs.
Quant à libérer les prisonniers, pardon, de quels prisonniers ? Ceux de Guantanamo ou ceux confiés à des pays complices ou enfin ceux qui voyagent aux frais de la CIA ?
hm