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Et du côté des groupettes du PS

Publie le mardi 28 mars 2006 par Open-Publishing
8 commentaires

Allez vomir après avoir lu ce blog !

Affligeant : ca respire le mépris de classe !
http://www.radical-chic.com/

Messages

  • Ah ah ! T’as pas l’air d’avoir apprécié la réponse de Guillermo dis donc...

    Mais bon, c’est vrai que cela à l’air d’être un GROS Guignol bien Narcissique, bien caricatural : le genre à faire du second degrés, à ce la jouer décaler pour (mal) caché que ses opinions sont bien bien premier degrès. (Et bien petit-bourgeoise...)

    • "Ca respire le mépris de classe" : au moins tu as le sens de la formule originale, à défaut de démontrer tes trucs. Enfin merci pour la pub, et bon comptage de manifestant.
      (et bonjour à Manu Chao : quel artiste, et pas du tout récupéré lui au moins)

  • Ça peut s’ignorer, non ? Y a pire. Plus con peut-être pas, mais pire, si.

    Helge

  • Bof, quel intérêt ?

    Ce n’est pas la première fois que je tombe sur ce M. Guillermo. Certains y sont sensibles, en disent du bien. J’ai survolé jusqu’à tomber une fois de plus sur une phrase du type "la France est impossible à réformer".

    Le mot inréformable a dû être inventé il y a quelque temps.

    Ca me fait assez rire - je me souviens de manifs en 1975 ou 76. Et surtout de l’opposition faite, à cette époque, entre réformes et révolution. Si, si. Avec des épisodes déjà comiques, comme (scandé dans lesdites manifs) : "Une seule solution, la révolution - un seul chemin, le programme commun !" Slogan qui, évidemment, brouillait complètement l’opposition révolution/réformes. Enfin bon, les réformistes, à l’époque, c’était le PS (les "révolutionnaires", devinez qui !). Et donc le mot de réforme avait une connotation de gauche.

    Aujourd’hui, après Raffarin, et dans ce qu’il reste de Villepin (jusqu’aux présidentielles ? - j’ouvrirais bien un bureau de paris là-dessus), "les réformes" sont devenues un terme de droite absolument. En linguistique, l’évolution des mots dans le temps, ça s’appelle la diachronie. Je ne dis pas ça pour étaler ma science, mais parce qu’il n’est pas rare que, avec le temps, un mot ou une expression finisse par dire le contraire de ce qu’elle signifiait au départ.

    Bon, mais ce qui est sûr, c’est que leurs réformes "actuelles" ont pour but de détruire la société publique, et de tout faire basculer dans le privé. C’est là que je me suis arrêté dans le blog de M. Guillermo, parce que ce mot me fout la gerbe.

    Ce qu’il faut réformer, c’est le patronat, les bénéfices boursiers, toute la marche de ce travail de sape des institutions qui ne vise qu’à une chose, concentrer l’argent dans les mains des mêmes. Je crains qu’il ne soit pas difficile de démontrer que, en vingt ou trente ans, la pauvreté a augmenté proportionnellement aux bénéfices des classes que j’appellerais financières. Au bénéfice du capital, tout simplement, si l’on peut dire (j’ai pas peur ! :-D). Et pendant ce temps, la productivité de la France est montée droit vers le plafond.

    C’est tout bonnement le principe d’un minimum de répartition des richesses qui est en train de sauter.

    Une phrase, pour finir, du poète palestinien Mahmoud Darwich : "Un riche qui se complaît de la misère de son voisin est un idiot, car il ne se sentira jamais en sécurité." C’était dans une interview dans un journal de l’après-midi, il n’y a pas longtemps.

    Et ces riches de France ou d’ailleurs sont des idiots car, s’ils continuent comme ça, le reste du monde va leur sauter à la figure.

    J-L

    • Normalement, les critiques négatives, je m’en branle. Manque de pot, vu le traffic que cela créé sur mon blog, il faut bien que j’aille voir.

      Donc tu survoles et tu tombes sur une phrase "la france est inréformable". Bien. Sauf que le billet dans lequel cette phrase est contenue milite justement contre cette espece de tarte à la creme UDF (et milite aussi contre les exces théoriques du gauchisme militant : on n’est certainement pas d’accord, c’est sur).

      Mais bon, on survole, et donc on juge n’importe comment. je veux bien qu’on me traite de sale PS, mais qu’on ne me reproche pas ce que je n’ai pas écrit putain !

    • Sur ce blog j’y ai lu des avis un peu narcissique, qui ne colle pas très bien avec la majorité des citoyens Français mais après tout si pour ces internauts : débattre sur la "religion du Dieu économique" mais pour finir que "débattre pour des idées, c’est tellement ringard"
      Pourquoi pas, dans un milieu dit créatif : nous nommions ce genre de propos empoulés de l’enculage de mouches.

      Mais après tout à chacun et chacune ses idées

      Nicole

    • Bonjour, je me promene souvent sur Radical-chic et je trouve dommage que certains ne comprennent pas le second degré("débattre pour des idées c’est tellement ringard"), est-ce de la bêtise ou de la mauvaise foi...
      Ah oui, et désolé pour ces avis "qui ne collent pas très bien avec la majorité des français(sic)"...Tu as raison Nicole, on va faire des sondages d’opinions pour calibrer nos réponses, ce sera beaucoup plus démocratique et ça sentira moins le "mépris de classe" !
      Dans ton milieu dit créatif on devrait apeller ce genre de propos de la connerie, c’est ce qu’il y a de plus adequate...

    • Ne soyez pas vexé 86*216, mais avouez que ce site fait dans le "BOBO" révolutionnaire et on peut en rire quoique que je ne devrais pas dire ce mot car comme il est dit on est le beauf de quelqu’un ou pour moi le BOBO de quelqu’un
      Allez souriez de mon ironie mas que voulez-vous il faut bien rire par ces temps moroses

      Nicole