Accueil > Etats-Unis : la récession s’amplifie.

Etats-Unis : la récession s’amplifie.

Publie le lundi 4 mai 2009 par Open-Publishing
1 commentaire

Lundi 4 mai 2009 :

Etats-Unis : la récession s’amplifie.

Le PIB américain a chuté de 6,1 % en rythme annualisé au premier trimestre 2009.

Les analystes s’attendaient à un recul plus modeste (- 4,7 %), mais la chute de l’investissement a été bien plus sévère que prévu.

L’investissement des entreprises s’est effondré de 37,9 % sur un an.

L’investissement des ménages a également chuté de 38 % sur un an. Il y a tout de même une bonne nouvelle : leurs dépenses de consommation ont accéléré, avec une progression de 2,2 % au premier trimestre sur un an.

http://www.lexpansion.com/economie/actualite-economique/etats-unis-la-recession-s-amplifie_180531.html?XTOR=EPR-177

Messages

  • en attendant le Dow Jones enregistre des scores "historiques" nous dit-on.
    Le Titanic financier vogue à toute vapeur, la mer est calme, tout va bien. Sur le pont un orchestre joue des airs d’operettes. Pas d’iceberg en vue avant longtemps. Seulement voilà, cette hausse boursière n’a aucun fondement. L’expression la plus utilisée dans les médias c’est : "les marchés sont dopés".
    Et puis il y a eu la grippe porcine qui a détourné l’attention pendant quelques jours, ça aussi c’est à la fois un bon stimulant pour les bourses et une manière pour les détenteurs de la pensée unique de justifier des choix par des situations de fatalité... Cette remontée aussi rapide du Dow Jones ne laisse rien présager de bon. Jamais les dettes publiques n’avaient atteint de tels chiffres, les banques centrales se substituent aux banques qui peuvent donc aggraver leurs pertes en falsifiant au grand jour leurs bilans.Situation inédite ! Les déséquilibres financiers au niveau internationnal deviennent tellement inquiétants qu’ils entraîneront sous peu des désordres sur le marché des changes. La partie de poker menteur prendra fin sous peu, au plus tard en octobre, date à laquelle ont lieu tous les krachs boursiers. On n’est pas au bout de nos surprises.