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FORUM DEBAT AVEC OLIVIER BESANCENOT : QUESTION CENSUREE PAR LE JOURNAL « LE MONDE »

Publie le mardi 27 juin 2006 par Open-Publishing
21 commentaires

 Chat : « Présidentielle 2007 : pourquoi une candidature LCR plutôt qu’unitaire à la gauche du PS ? »

QUESTION POSEE LORS DU DEBAT AVEC OLIVIER BESANCENOT, PORTE-PAROLE DE LA LIGUE COMMUNISTE REVOLUTIONNAIRE, MARDI 27 JUIN 2006 (15H) ET CENSUREE PAR LES JOURNALISTES/MODERATEURS DU JOURNAL LE MONDE !? On rigole ! Inutile de se demander pourquoi !... Pourtant, il me semblait que depuis le « départ » d’ Edwy Penel, comme le déclarait il y a peu Olivier Besancenot, le journal « le Monde » roulait pour Sarko... !? :-D

 La question censurée :
M. Olivier Besancenot, lors de l’émission du jeudi 8 juin 2006, présentée par Mme Arlette Chabot, c’est avec un certain toupet (pour ne pas dire « foutage de gueule ») que vous avez demandé à M. François Hollande « s’il était maintenant pour la taxation de la spéculation boursière, c’est à dire la taxe Tobin » !? On croit rêver !?

En effet, pourquoi cette question ? Vous savez très bien (tout comme-moi, ex-militant d’Attac) que le projet de “ taxe de Tobin ” sur les capitaux spéculatifs à été rejeté avec l’aide des députés trotskistes européens en 2000 ! Pour mémoire, les trois députés Luttes Ouvrière ont voté contre ce texte ; Krivine, lui, s’est abstenu et l’autre moitié des députés Européens de la LCR (c’est à dire Roseline Vachetta) a préféré aller s’occuper ailleurs...

En 2007, tout comme hier avec la taxe Tobin qui risquait de diminuer la révolte des masses et leur désir de révolution, lorsqu’il s’agira de dire Stop à la droite ou à l’extrême-droite vous allez aussi nous dire que c’est pour la bonne cause, pour la révolution (« dont on sait plus ce qu’elle est, qu’on n’a jamais su faire ! ») que vous n’appellerez pas à voter pour le candidat de la gauche le mieux placé ?

Tyi

Messages

  • TAXE TOBIN Alain Krivine s’explique :

    Voici la lettre que nous a fait parvenir Alain Krivine, député européen et dirigeant de la Ligue communiste révolutionnaire pour expliquer son abstention lors du vote de la résolution sur la taxe Tobin.

    " Quelques précisions sur ce qui s’est réellement passé au Parlement européen. Partisan résolu de la taxe Tobin, j’ai voté sans problème les points 9, 10 et 11 de la résolution qui demandaient à la Commission de travailler sur " la faisabilité de la taxe ". Mais j’ai effectivement refusé de voter l’ensemble de la motion de compromis soutenue par la gauche plurielle, Pasqua et Bayrou. Il y était notamment écrit que les signataires étaient " soucieux de garantir à terme une plus grande stabilité du système monétaire, financier, économique et social à l’échelle mondiale, qui ne pourra résulter que d’un renforcement de la coopération internationale " ou encore désiraient " mettre l’accent sur l’importance cruciale que revêt la nécessité de formuler un cadre réglementaire et prudentiel capable d’assurer le fonctionnement de marchés financiers globalisés, débarrassés de leurs excès ".

    Je crois que tous les compromis et consensus ne sont pas possibles et que les anticapitalistes ne peuvent, par " tactique ", voter des textes contradictoires à leurs engagements. La bataille pour la taxe Tobin n’est pas finie, encore faut-il la mener dans la clarté. "

    • Couillonades de la LCR, à cause d’eux la taxe Tobin n’est pas passée ; Le père Krivine a fait comme le voulaient les libéraux de droite... et de gauche !

    • BONJOUR
      DEPUIS LA LOI CENSI C EST LA DEBANDADE DANS L ENSEIGNEMENT PRIVE ...
      les maitres du privé aspirent quasi à 100% d’être intégrés au sein de l’éducation nationale !
      quelques syndicats se disant majoritaires ont délaissé totalement l’intérêt de ceux qu’ils devaient défendre ! IL suffit de lire l’article de ouest france du 24 juin pour comprendre la désintégration et le ridicule du statut des enseignants du privé ( sous contrat )
      alors question : quand la gauche prendra t elle ses responsabilités et décidera t elle de rassembler en un grand service d’ éducation national en intégrant enfin le privé ?
      seule solution pour enfin gommer les inégalités et le détournement outrancié de la carte scolaire ... je ne parle pas du financement obligatoire des communes pour des etablissements privés ...
      allez sur les sites du sundep de lyon lille et toulouse pour comprendre l’urgence de la situation
      en bref , olivier besancenot : souciez vous de ce probleme
      INTEGREZ L ENSEIGNEMENT PRIVE SOUS CONTRAT ET FONCTIONNARISER LES ENSEIGNANTS DU PRIVE ENFIN !

    • Voici le texte refusé par les libéraux de droite, par l’extrême droite, par les sociaux libéraux et par les députés trotskistes au parlement Européen !

      Retour site principal Alain Lipietz
      PROPOSITION DE RÉSOLUTION COMMUNE SUR LES MOUVEMENTS INTERNATIONAUX DE CAPITAUX

      PARLEMENT EUROPÉEN - 18 JANVIER 2000

      déposée conformément à l’article 42 du règlement

      par

      M. Goebbels, au nom du groupe PSEMM.

      Huhne, Gasoliba, au nom du groupe ELDR

      les députés Jonckheer, Auroi, Kreissl-Dörffler, Staes, au nom du groupe Verts/ALE

      les députés Wurtz, Brie, Jové, Bertinotti, Schmid, Theonas, Papayannakis, Cossutta, Miranda, AU NOM DU GROUPE GUE/NGL

      Mme Kuntz,

      M. Couteaux

      en remplacement des propositions de résolution déposées par les groupes suivants :

      GUE/NGL (B5-0089/2000)

      PSE (B5-0090/2000)

      Verts/ALE (B5-0091/2000)

      ELDR et PPE-DE (B5-0092/2000)

      Le Parlement européen,

      A. considérant l’importance toujours croissante des mouvements de capitaux à l’échelle internationale et leur rôle dans les phénomènes de globalisation des relations économiques entre États,

      B. considérant les effets néfastes en termes économiques et sociaux des récentes crises financières et monétaires dans différentes parties du monde et, en particulier, les coûts exorbitants de ces crises pour les économies émergentes,

      C. soucieux de garantir à terme une plus grande stabilité du système monétaire, financier, économique et social à l’échelle mondiale, qui ne pourra résulter que d’un renforcement de la coopération internationale,

      D. considérant que de nombreuses opérations effectuées sur les marchés restent assez opaques et que les normes appliquées en matière de mesure varient selon les pays, de sorte qu’il est difficile aux autorités de contrôle d’assurer un suivi et une surveillance vigilante de ces opérations,

      1. prend note du processus de réformes du système financier international engagé dans le cadre du FMI, du Comité de Bâle et d’autres enceintes internationales, telles que le G7 ;

      2. met l’accent sur l’importance cruciale que revêt la nécessité de formuler un cadre réglementaire et prudentiel capable d’assurer le fonctionnement de marchés financiers globalisés, débarrassés de leurs excès ;

      3. demande que les institutions européennes s’engagent de manière active et volontariste dans la formulation d’une nouvelle architecture financière internationale ;

      4. souligne que les causes des crises financières ne sont pas seulement inhérentes à l’émergence d’une économie mondiale (mondialisation), mais qu’elles tiennent aussi aux politiques budgétaires et monétaires peu judicieuses menées par les gouvernements nationaux, aux pratiques de népotisme, aux déficiences structurelles, à la libéralisation politique et économique inadéquate régie par les principes du droit et au manque de surveillance du secteur financier ;

      5. demande que de meilleures règles en matière de surveillance prudentielle dans le secteur financier soient convenues au niveau international et appliquées à l’échelle mondiale ;

      6. admet qu’il est justifié que les pays en développement ne disposant pas de marchés des capitaux parvenus à maturité constituent, à la manière du Chili, des dépôts de réserve, lesquels exerceraient un effet dissuasif sur les flux de capitaux à court terme sans affecter les flux à long terme ;

      7. demande aux pays européens et aux institutions européennes participant aux organismes monétaires internationaux de mettre l’accent sur les moyens d’"associer" les investisseurs en sorte qu’ils participent aux pertes lorsque des pays traversent une crise financière ;

      8. demande à la Commission d’examiner les moyens d’exercer des pressions et de prendre d’éventuelles sanctions financières à l’encontre des pays qui favorisent l’évasion fiscale, comme les centres offshore ;

      9. souhaite que, dans ce contexte, la Commission établisse, dans les six mois, un rapport quant à l’intérêt et la faisabilité d’une taxe sur les mouvements de capitaux spéculatifs internationaux- en examinant notamment sous quelles conditions concrètes l’introduction d’une telle taxe pourrait être envisagée ;

      10. invite dès lors la Commission et le Conseil, en préparation de la prochaine réunion annuelle du FMI, à élaborer un document de synthèse sur ces questions, lequel sera soumis au Parlement européen ;

      11. charge sa Présidente de transmettre la présente résolution à la Commission, au Conseil, aux gouvernements et aux parlements des États membres ainsi qu’au FMI, au Comité de Bâle et au Secrétariat du G7.

      « Oui, M. Krivine si vous n’avez pas encore réalisé le caractère non révolutionnaire, voire carrément réformiste de cette taxe, vous et votre organisation vous devriez vous interroger sur votre participation aux groupes ATTAC. ! »

    • Je suis peut-être bête, mais si je lis bien, ce texte ne demande pas de voter sur la Taxe Tobin, mais propose de réaliser une étude sur sa faisabilité, ce qui est tout de même différent, non ?

      Et l’article mentionné qui prévoit de garantir un système "capable d’assurer le fonctionnement de marchés financiers globalisés", sans être forcément révolutionnaire, être antilibéral devrait suffir à être contre (et il est du coup compréhensible que Bayrou, Pasqua et d’autres l’aient voté sans état d’âme, à moins qu’ils soient antilibéraux ?)

  • La source de l’offensive on la connaît....

    Verts et PS en quête de virginité.... Je dirai que ça vient plus précisement des Verts, oh ! Lipietz, c’est toi ?

    Copas

    • Raymond LCR ton argument c’est celui de ton "chef" Olivier Besancenot qui joue la démago et l’intox "en demandant à F. Hollande s’il était d’accord pour imposer la taxe Tobin" (voir l’émission en ligne)..et ceci, après le coup de poignard dans le dos porté par les parlementaires de LO et de la LCR lors tu vote en 2000 au parlement Européen ! ... Pour ton info, IL MANQUAIT 3 VOIX pour que la proposition concernant la TAXE TOBIN, portées principalement par les député(e)s communistes et verts au parlement, PASSE haut la main !

    • Alors, pour éviter de passer pour un rigolo ou un provocateur, mieux vaut éviter de dire n’importe quoi :
      -la Taxe Tobin n’a jamais été en position de gagner, ou de perdre, puisqu’il ne s’agissait que de voter sur l’étude d’une éventuelle faisabilité de cette taxe...

      Ensuite, quand tu dis "passe haut la main", précédé de "il manquait trois voix", d’un coup ça décrédibilise...d’autant que la LCR n’a pas voté contre, mais s’est abstenu.

      Cf la réponse de l’époque dans l’hebdo de la LCR, Rouge :

      Première précision : la résolution se contentait de demander à la Commission européenne de préparer un rapport sur l’intérêt et la faisabilité de cette taxe, sans préjuger de la réponse ni demander sa mise en oeuvre.
      D’ailleurs, une bonne partie des parlementaires qui ont présenté la résolution ne sont pas favorables à la taxe Tobin. Certains, comme les libéraux du groupe ELDR, ont même expliqué que s’ils souhaitaient un débat, c’était pour mieux la combattre.

      Deuxième précision : la LCR et ses députés se sont clairement engagés pour cette taxe ­un objectif qui s’intègre, à leurs yeux, à un combat contre la dictature des marchés, les inégalités sociales, en défense des populations du Sud, et pour une démocratie citoyenne.
      Ainsi, au Parlement Européen, A. Krivine et R. Vachetta ont participé à la constitution d’un comité Attac. Tous deux ont soutenu le principe d’une résolution demandant un débat sur la taxation et le contrôle des mouvements spéculatifs de capitaux.
      Le 20 janvier, A. Krivine a voté pour les points 9 à 11 de la résolution (le point 9, majoritaire, demandait à la Commission de préparer un rapport sur la taxe) et, s’il avait été soumis au vote de façon dissociée, il l’aurait fait pour le point 8 concernant la lutte contre l’évasion fiscale et les centres offshore (une demande rejetée par les travaillistes britanniques et la droite du PPE).

      Alors pourquoi s’être abstenus, quand la résolution a été présentée dans sa totalité ?
      Parce qu’elle inscrit l’éventualité d’une taxation des mouvements de capitaux dans une perspective trop inacceptable. En effet, il y a plusieurs façons d’envisager "l’intérêt et la faisabilité" d’une telle taxe. La résolution demande à la Commission de le faire "dans le contexte" défini par divers considérants ou articles qui concernent les objectifs assignés à la taxe.

      La "stabilité" du système capitaliste

      Chacun comprendra qu’il est difficile à des élus qui combattent les injustices du système capitaliste de voter un texte qui se donne explicitement pour objectif la stabilisation ­et donc la pérennité­ du système dominant (capitaliste) (considérant C) et qui veut assurer le meilleur fonctionnement des marchés financiers globalisés (article 2) ! Cette résolution, vu sa rédaction, devrait poser problème à tous ceux qui sont engagés dans un combat démocratique pour une transformation sociale. On ne peut pas manifester dans la rue pour la taxe Tobin et ne pas voter pour elle au Parlement ? Certes. Mais on ne peut pas non plus manifester à Seattle contre la mondialisation libérale et voter pour elle au Parlement !
      D’autres considérants de la résolution peuvent être plus confus, voire positifs. Mais aucun ne restitue notre combat pour la taxe Tobin dans sa perspective alternative : en lien avec les mobilisations citoyennes (Seattle) plutôt qu’avec les négociations menées au sein du FMI et du G7 (article 1) ; en jetant du sable dans les rouages du système dominant plutôt qu’en les huilant ; en ouvrant une brèche démocratique face à la dictature des marchés plutôt qu’en la renforçant ; en finançant grâce à elle, une politique de réduction des inégalités Nord-Sud et des inégalités sociales plutôt que les institutions financières internationales...
      Les députés de la LCR n’exigeaient pas que le document présenté reprenne ces considérants et objectifs (qui sont ceux d’Attac). Ils étaient prêts à soutenir une résolution brève, de compromis, ouvrant le débat. A. Krivine est intervenu à plusieurs reprises en ce sens, mais ses propositions n’ont pas été retenues. Ce sont, au contraire, des amendements présentés par la droite et la social-démocratie qui ont été intégrés. Vu le contenu final de la résolution, le seul compromis possible devenait l’abstention.
      Bien des députés qui ont voté la résolution reconnaissent que la rédaction de certains points fait problème. Mais ils jugent que l’essentiel reste le mandat donné à la Commission et qu’il fallait donc la voter. Si la résolution avait demandé l’instauration d’une taxe positivement définie (taux, modalités et champs d’application, usage des fonds...), l’argument aurait plus de valeur. Les députés européens de la LCR ont déjà voté des résolutions dont ils jugeaient certains considérants mauvais parce qu’elles s’affirmaient en faveur de mesures politiques concrètes, suffisamment positives (ou tout simplement des avancées dans les législations sociales). Mais est-ce le cas ici ?

      La droite donne le "la"

      Initialement conçue à gauche, la résolution a été présentée par les groupes socialiste (PSE), libéral (ELDR), Verts/ALE, Gauche unitaire européenne (GUE/NGL, à laquelle nous sommes associés) et par deux représentants de l’aile "pasquaienne" du RPF français. Elle a notamment été votée par Lamassoure, Bayrou et Pasqua. Le problème n’est pas qu’une partie de la droite opte pour la taxe Tobin et la rende ainsi majoritaire. Le problème est que, dans le cours des négociations consensuelles, ce soit la logique libérale et conservatrice qui fixe le cadre du débat et le sens de la taxe. Le terrain du débat était cadré avant que le débat ne s’engage.
      Il était possible de présenter une résolution simple qui se serait contentée de relever la gravité du problème posé par les mouvements spéculatifs de capitaux et de demander à la Commission d’ouvrir le débat en préparant un rapport. Pourquoi cela n’a-t-il pas été fait ? Nous aimerions qu’il soit répondu à cette question.

    • Toute cette polémique à propos du "vote" des députés LCR et LO, n’a strictement aucun intérêt. Pour ma part, et par ailleurs, je ne discute plus, depuis très longtemps (depuis quelques semaines avant le 29 mai 2005 déjà) à avec les "ouistes-ouistes", repentis ou non. Ces gens ont montré à quel point (particulièrement les ouistes dits de gauche) ils étaient de mauvaise foi, des menteurs professionnels chicaniers qui cherchent à "enfumer" l’opinion. Des cacophones sectaires dont la technique consite à répéter deux cent mille fois, sur tous les tons et toutes les ondes, le même message laconique de 3 phrases fausses et d’un faux-syllogisme, pour tenter d’imposer que "le capitalisme c’est le socialisme", "la dictature de la commission et de gens faiblement élus/inconnus, c’est la vraie démocratie", "La destruction du Code du travail dans chaque pays national, remplacé par de vague déclaration de bonnes intentions ("tu seras aimables avec ton prochain".. et autres hypocrisie de sachristie) sans portée juridique, c’est la vraie défende des travailleurs", "la destruction de la Yougoslavie, c’est la liberté des peuples", "La constitution Giscard/schmidt c’est la modernité de l’avenir..." et autres paradoxes orwelliens.
      Cela étant le naîf objectif des lanceurs de cette polémique est transparent : essayer d’enfoncer le "coin" entre la LCR et le PCF ! Et tout est bon : "Bellaciao" rouge-brun parce que Noniste, donc lié aux nonistes de droite, donc à Le Pen et Villers . CQFD : ils ont publié un texte d’un dénommé "Baudoin" (non le Roi des Belges), mais un obscur collègue à Lipietz au parlement européen ! CQFD, la "Grande Logique" (non celle de Hegel ou de CS Peirce), mais celle de ces pignoufs d’attachés de cabinet, vague cancre d’une "grande école" de l’Etat français (au sens de l’Etat français, qui se maintient quel que soit le régime politique). Maintenant on va chercher un vote, sur lequel Krivine s’est déjà au moins deux cent fois expliqué (et qui a dû prendre des milliers d’heures de réunions , de discussions ...), et dans de grands éclats de rire : un texte de merde, dans un parlement de merde, avec des pseudos-députés de merde qui ne représentent qu’eux-mêmes (qui votent chaque année des milliers de résolutions et autres recommandantions.. qui n’ont strictement aucun impact, aucun effet, aucune efficience pragmatique quelconque... bref pur "flatus vocis" qui n’a d’autres intérêts que de faire travailler les armées d’interprètes, de sténo, d’opérateurs de saisie, de correcteurs, de maquettistes, de "webmestres", d’imprimeurs etc, etc. : et en + cà amusent les députés et M. lipietz, ils ont quelque chose à raconter dans leurs "blogs").
      De toutes les façons, messieurs les "ouiouistes", vous l’avez eu dans le cul avec votre "TCE". N’y revenez plus. L’ordre du jour est la destruction des Traités de Rome, Maastricht, Nice, Amsterdam. De la destruction de l’OTAN en Europe, et de la configuration de choses entièrement nouvelles. Cessez de nous ennuyer et de nous polluer avec vos vieilles histoires du vieux monde du XXème siècle. Soyons résolument modernes. cessez de vouloir nous faire vieillir. C’est très mauvais pour la santé, et vos somatisations diverses n’en sont que le symptôme.