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FRANCE/COMORES / MAYOTTE : COMPLEXE D’INFERIORITE INTELLECTUELLE

Publie le mardi 9 décembre 2008 par Open-Publishing
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La France n’a pas choisi Mayotte par hasard. Elle sait que le Mahorais faible d’esprit est facilement manipulable. Le complexe d’infériorité aidant, le Mahorais prend le colon pour un dieu. Pour montrer sa soumission, il n’hésite pas à se renier. Il oublie volontairement qu’il a les mêmes origines que ces supposés « clandestins ». On lui fait croire qu’il est plus français que le français.

Pour occuper une partie des Comores à un prix moindre, la France se doit de déstabiliser les autres îles, de les appauvrir pour justement montrer au mahorais qu’il a raison de rester colonisé. Il appelle cela liberté. Son slogan favori étant : « j’ai choisi de rester français pour être libre » et l’on s’étonne que leurs fils aient d’énormes difficultés en philosophie.

A compétences égales voir plus, un mahorais ne gagne pas comme un mouzoungou (un blanc). Ce dernier à coups de diverses indemnités arrive à tripler son salaire mensuel. Le Mahorais ne coûte pas trop cher à la France à cause de la misère entretenue par ce grand pays dit "démoncratique" dans les trois autres îles avec l’aide des personnes de même calibre que le mahorais.

L’an dernier les instituteurs mahorais n’avaient-ils pas fait grève pour revendiquer l’indexation des salaires ? Ils n’ont rien obtenu malgré plusieurs semaines de grève. Ils ne peuvent pas et ne doivent pas être comme Jean François. Ils attendent toujours les résultats d’une commission chargée d’étudier les prix à Mayotte. En fait une façon de calmer les esprits en attendant la départementalisation complète d’ici 25 ans.

Rédaction wongo

source : http://wongo.skyrock.com/2181574917...

NAIL

Messages

  • C’est facile de faire des raccourcis. C’est limite fascisant de dire que la lâcheté est inscrite dans les gênes des Mahorais. Autant que dire que le Mgazidja est un vantard, que le Mdzuani est un voleur ou que le Mmwali est un fainéant. Comme partout, on a de tout, et ayant eu 17 au bac de philo, je pense avoir une notion très lucide de ce qu’est la liberté.
    Cela consiste y compris à choisir l’option supposée la moins mauvaise : une domination de Ngazidja ou celui du mcolo. Les Mahorais ont choisi la seconde solution et ce n’est pas une honte d’affirmer que c’est aussi pour avoir le ventre rempli. Après tout, ceux qui prennent le kwassa s’en foutent de venir dans un département. Ils ont faim, leur famille restée au pays à faim et en restant sur place, ils savent qu’ils n’auront rien.
    Si Mayotte n’était pas tout proche, ils partiraient ailleurs, comme le font d’ailleurs certains Comoriens qui atterrissent comme les Mahorais à Marseille.
    Quand aux instituteurs, certes ils n’ont pas encore les mêmes droits que leurs homologues de l’Hexagone mais leur sort est bien plus enviable que ceux de l’Union qui ont les mêmes droits mais attendent 7 à 8 mois d’arriérés de salaires. La dignité dans la pauvreté, certes c’est l’idéal, mais manger c’est mieux. Et pour manger, parfois, vaut mieux faire quelques compromis. Mais faut pas croire, les Mahorais se réveillent et dans quelques années, il y aura moins de Wazungu comme dirigeants d’administrations. On n’est pas inférieur à quiconque et moi je n’ai de complexe envers personne. Beaucoup de Mahorais sont comme moi.