de Frédéric OCQUETEAU, Philippe PICHON
Si un flic dénonce les siens, il n’est plus rien. Pour le commandant Pichon, ce fut la révocation. Le 5 octobre 2008, le site Bakchich publie dans un article intitulé « Tous fichés, même les potes de Nicolas Sarkozy », deux fiches issues du logiciel informatique STIC (Système de traitement des infractions constatées), utilisé par la police française pour répertorier les mis en cause et les victimes de délits légers.
La publication des fiches STIC de (…)
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Articles
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Fichier STIC : Une mémoire policière sale
3 septembre 2010 par (Open-Publishing)
6 commentaires -
Vichyste ? Vous avez dit Vichyste ?
3 septembre 2010 par (Open-Publishing)
2 commentairesça ne s’invente pas : Brice Hortefeux briguerait la mairie de Vichy en 2014
"Je suis Auvergnat, mes racines, mes souvenirs et ma famille sont ici et j’y tiens, même si je n’ai pas choisi la facilité sur le plan politique", a-t-il expliqué à lamontagne.fr.
Selon une information de lamontagne.fr, l’actuel ministre de l’Intérieur Brice Hoertfeux aurait annoncé son intention de briguer la maire de Vichy lors des élections municipales de 2014. Le maire, Claude Malhuret avait annoncé un peu (…) -
Avancées vers une possible saisine de la Cour de Justice de la République contre Eric Woerth.
3 septembre 2010 par (Open-Publishing)
1 commentaireLe ministre du Budget François Baroin a annoncé au procureur général de la Cour de cassation Jean-Louis Nadal qu’il lui transmettrait le rapport de l’Inspection générale des finances sur la gestion du dossier Bettencourt, a-t-on appris jeudi au cabinet du magistrat.
Le parquet général de Versailles a confirmé à ce même magistrat que lui seraient également transmis les éléments de l’enquête pénale conduite par le parquet de Nanterre sur ce même dossier, qui éclabousse le ministre du Travail (…) -
Retraites : pour les syndicats, la situation de Woerth est un « vrai problème ».
3 septembre 2010 par (Open-Publishing)
2 commentairesA quatre jours du débat sur la réforme des retraites à l’Assemblée nationale, la situation d’Eric Woerth apparaît de plus en plus délicate, voire intenable. Le ministre du Travail a reconnu jeudi être intervenu pour l’attribution de la Légion d’honneur à Patrice de Maistre - le gestionnaire de la fortune de Liliane Bettencourt et l’employeur pendant deux ans et demi de sa femme - ce qu’il avait toujours nié.
Pour la première fois, le PS, qui le juge « disqualifié » demande sa démission et (…) -
Eric Woerth mènera à terme la réforme des retraites, dit Fillon
3 septembre 2010 par (Open-Publishing)
1 commentaireReuters | 02.09.10 | 23h20
PARIS (Reuters) - Eric Woerth, empêtré dans des affaires judiciaires et de trafic d’influence, "mènera à son terme" la réforme du régime des retraites dont l’examen débute mardi à l’Assemblée nationale, a réaffirmé François Fillon jeudi dans un communiqué.
Les appels à la démission du ministre du Travail se multiplient dans l’opposition en raison des soupçons de trafic d’influence qui pèsent sur Eric Woerth.
La réforme "est nécessaire pour sauvegarder nos (…) -
Woerth : les syndicats lâchent le ministre.
2 septembre 2010 par (Open-Publishing)
"Mensonge". Le mot est dans la bouche de tous les membres de l’opposition, ou presque. Après avoir affirmé pendant plusieurs semaines n’avoir pas demandé la Légion d’honneur pour Patrice de Maistre, Eric Woerth a admis ce matin avoir envoyé en 2007 une lettre à Nicolas Sarkozy allant dans ce sens.
François Chérèque de la CFDT et Bernard Thibault de la CGT dénoncent la collusion entre l’affaire Woerth et la bonne tenue du débat sur les retraites.
François Chérèque s’interroge : “Je me (…) -
Woerth, casse toi ! et surtout emmène ta loi et ton maitre avec toi !
2 septembre 2010 par (Open-Publishing)
2 commentairesJour après jour on voit combien ils nous mentent..
Combien ils se foutent de nous et veulent nous faire payer toujours plus pour que leurs potes patrons et banquiers continuent leurs profits.
Ils se connaissent, jouent au golf ensemble, s’invitent, s’échangent une légion d’honneur contre un financement politique, une grosse enveloppe contre un accord pour des licenciements, etc.
ça pue !!
enfin ce soir CGT et CFDT se réveillent et disent clairement que Woerth pose "problème"... (…) -
Affaire Bettencourt : plusieurs témoignages confirment la remise d’argent liquide à Nicolas Sarkozy.
2 septembre 2010 par (Open-Publishing)
1 commentaireMaître Antoine Gillot est l’avocat de Claire Thibout, l’ex-comptable des époux Bettencourt.
Vendredi 9 juillet 2010 :
Maître Antoine Gillot dénonce l’"acharnement" du parquet contre sa cliente, l’ex-comptable des époux Bettencourt. Parce que "c’est un témoin crédible et qu’elle sait beaucoup de choses". Maître Gillot affirme encore que sa cliente "ne s’est aucunement rétractée et a maintenu mot pour mot" ce qu’elle avait déclaré au journaliste de Mediapart. Notamment les "espèces (…) -
Woerth : les critiques se font plus virulentes, les soutiens plus discrets
2 septembre 2010 par (Open-Publishing)
2 commentairesDepuis qu’Eric Woerth a reconnu ce matin avoir demandé la Légion d’honneur pour Patrice de Maistre, le gestionnaire de la fortune de Liliane Bettencourt, les appels à la démission se multiplient à gauche. Et les membres de la majorité - François Fillon en tête - ne se bousculent pas pour défendre le ministre du Travail, accusé d’avoir "menti".
"Mensonge". Le mot est dans la bouche de tous les membres de l’opposition, ou presque. Après avoir affirmé pendant plusieurs semaines n’avoir pas (…) -
Affaire Bettencourt : Nicolas Sarkozy serait cité dans les carnets de Banier.
2 septembre 2010 par (Open-Publishing)
Mediapart révèle jeudi 2 septembre que le photographe François-Marie Banier, poursuivi pour abus de faiblesse, a rédigé dans son journal intime, au printemps 2007, des "propos tenus" par Liliane Bettencourt selon lesquels Nicolas Sarkozy aurait reçu, en pleine campagne présidentielle, de l’argent des époux Bettencourt.
Le document, saisi par les policiers de la brigade financière lors d’une perquisition en juillet, pourrait conforter les soupçons qui pèsent sur le financement de l’UMP et (…)




