HONDURAS : Autre complot des Etats-Unis contre les Peuples d’Amérique-Latine ?

NDLR : Il ne peut échapper à personne que les Etats-Unis sont encore derrière ses marionnettes au Gouvernement du Honduras ! Surtout avec sa base militaire en ce pays !Le sang de la population désarmée a déjà coulé, 20 morts déjà sont à déplorer ! La révolte gronde puisque la police a déjà prévenu qu’elle ne tirera pas sur leurs frères sans défense ! Après, une armée prétorienne encadrée par les Etats-Unis et des mercenaires sont là prêts à l’affrontement ! Mais le Peuple a appris qu’un Peuple UNI JAMAIS NE SERA VAINCU !

Honduras : Le Honduras au bord de la guerre civile

Publié le 21 Décembre 2017 par Bolivar Infos
Catégories : #Honduras, #élections au Honduras, #coup d’Etat au Honduras

Le Honduras est au bord d’une guerre civile si l’actuel président reste 4 ans de plus à la tête du Gouvernement, a averti le candidat de l’Alliance d’Opposition, Salvador Nasralla.

Après avoir été reçu au Secrétariat Général de l’Organisation des Etats Américains (OEA) où il a montré des preuves de la fraude électorale que la coalition a dénoncée, il a rappelé que son adversaire candidat à sa réélection, Juan Orlando Hernández, avait déjà volé les élections de 2013 et « il en est au point où il sait qu’il a perdu et il sait qu’il perdrait une nouvelle élection parce qu’il a 80% des gens contre lui. C’est insoutenable et nous sommes aux portes d’une guerre civile, » rapporte La Radio del Sur.

Nasralla a dénoncé le fait qu’il y a déjà eu plus de 20 opposants assassinés « par les militaires que gère Hernández » pendant les protestations contre la fraude.

Il a aussi demandé à la communauté internationale de suspendre son aide extérieure au Gouvernement jusqu’à ce que ce contentieux électoral soit résolu.

Au sujet de la demande du Secrétariat Général de l’OEA de refaire les élections, il a allégué qu’il faut que ce soit un tribunal électoral indépendant qui s’en charge et non le tribunal électoral actuel parce qu’il obéit aux intérêts d’Hernández.

Nasralla, en outre, a condamné « énergiquement » la déclaration du Gouvernement des Etats-Unis qui reconnaît Hernández en tant que président élu le 26 novembre parce qu’elle « ne reconnaît pas la fraude électorale évidente. »

Source en espagnol :

http://www.resumenlatinoamericano.org/2017/12/20/honduras-al-borde-de-una-guerra-civil/