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Il faut mettre fin à la dictature financière mondiale
Publie le vendredi 21 mai 2010 par Open-Publishing3 commentaires
Par Patrick Brousse de Laborde
A ce jour Fraternité Citoyenne est le seul parti politique ( club de réflexion ) qui se bat pour que la France retrouve sa souveraineté financière, qu’elle puisse elle-même fabriquer sa monnaie au lieu d’endetter le pays auprès des banque privées comme elle le fait depuis 1973 en raison de la trahison de Giscard, alors ministre des finances sous Pompidou. Il est vital, après cette faillite financière généralisée orchestrée pour instaurer le nouvel ordre mondial financier, de réfléchir de manière pertinente, de ne plus craindre de remettre en question tout ce système monétaire, afin de ne plus être le jouet de la finance internationale.
La plupart des gens sur la planète reproduisent malheureusement et systématiquement le conditionnement général qui veut faire croire que les impôts permettent une juste répartition des richesses produites. En réalité les impôts ainsi que toutes les autres taxes prélevés ne servent qu’à alimenter les banques qui récupèrent ainsi l’argent-dette qu’elles produisent alors que cela ne leur a rien coûté. C’est une escroquerie mondiale organisée, gigantesque et inouïe, tous les partis politiques « groupements privilégiés et avantagés » ferment les yeux et sont complices de cette fabuleuse et monstrueuse manipulation.
Jamais le cartel mafieux bancaire tout puissant : FMI, Banque Mondiale, Federal Reserve et autres Banques Centrales n’a autant tenu en laisse les nations, les forçant à suivre la politique la plus perverse et antisociale qui soit. Aussi il est impératif d’abolir cette finance internationale parasite en nationalisant les banques dont la seule finalité est d’endetter les nations et chaque citoyen de la planète. Les banques fabriquent systématiquement les guerres appuyées par les lobbies industriels et d’armements dans le seul but de valoriser l’argent. Ce sont les guerres qui redonnent de la valeur à l’argent et empêchent son écroulement en périodes fastes. Ces guerres jouent un double rôle qui rend la majorité des populations mondiales serviles et dépendantes du travail.
L’essentiel de la démarche est que l’Etat soit le seul à exercer le droit de création de la monnaie et du crédit sans intérêts. Ce qui induit que tout le système monétaire ne dépendra plus d’aucune compétition financière ou commerciale. L’Etat se doit de veiller à ce que chaque habitant touche de quoi vivre dignement, compensant les bas salaires en établissant l’équité. Chaque nation doit donc prendre entièrement à sa charge la fabrication de sa monnaie, une monnaie qui ne coûte rien à fabriquer et qui alimente directement les organisme qui sont chargés de l’Habitation, de la Santé gratuite pour tous, de l’Agriculture, de l’Enseignement non élitiste et gratuite pour tous, des Loisirs, des Transports gratuits pour tous, de la Recherche Scientifique et de l’Industrie, de l’Import-Export, des Energies et de la distribution de l’Eau …
Chaque humain adulte doit percevoir un minimum mensuel. Ceci sonnera le glas de toute spéculation, mettant fin à l’usure, à l’argent-dette et à l’industrie de la guerre. Les crédits doivent disparaître au profit de « dotations » remboursables partiellement ou entièrement gratuites, selon le cas, mais toutes strictement contrôlées par les organismes de tutelle et des associations.
« Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et, en un tour de mains, ils créeront assez d’argent pour la racheter. Ôtez-leur ce pouvoir et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais, si vous voulez continuer à être les esclaves de banques et à payer le prix de votre propre esclavage, laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits. » Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941, 2ème fortune d’Angleterre.
Messages
1. Mettre fin à la dictature finacière à diffuser, 21 mai 2010, 09:55, par NEZ HAUT LIT BAIE RALE
Pour le moment on n’en voit pas la fin de la dictature du néolibéralisme primaire mais plutôt la continuité même si now ça ne trompe plus personne l’échéance est double soit la mort lente "déflation" soit le choc l’implosion dans les deux cas la ruine généralisée des peuples.
La finance comme le coucou s’est installée dans le nid des institutions.
Et pire, dès que l’animal sourcille on s’empresse de satisfaire ses moindres désirs.
Le peuple souffrira c’est une certitude désormais mais une fois les peuples tondu on ne pourra plus rien tondre piètre consolation, la bête crèvera.
Le néolibéralisme est dans une exponentielle et l’économie réelle est une donnée finie deux contradictions.
2. Mettre fin à la dictature finacière à diffuser, 22 mai 2010, 12:08
Les questions de la défense de la retraite par répartition, d’un retour aux 37,5 années, d’un départ obligatoire et non à la carte à 60 ans maximum avec le calcul sur les 10 meilleures années (6 derniers mois dans le public), de la reconnaissance de la pénibilité et des années d’études et de chômage, d’un niveau de pension qui ne peut être inférieur à 1600 euro, du maintien de la réversion… sont des questions fondamentales.
Perdre cette bataille aurait des conséquences désastreuses pour l’avenir des droits collectifs : conventions collectives, statuts, smic, droits nationaux, péréquation, service public… pourtant l’impression laissée par les centrales syndicales est loin d’être celle du combat nécessaire pour faire capoter les réformes, c’est-à-dire d’un appel commun à la grève générale et généralisée à l’ensemble des secteurs de productions ou de service !
Sarkozy a été élu sur le « travailler plus pour gagner plus » mais il n’a pas mentionné « pour vivre moins longtemps ». Les générations présentes et à venir risquent de payer pendant des dizaines d’années la facture et l’ardoise laissées par 5 années de Sarkozisme.
Les dizaines de milliers de milliards d’euro injectés dans l’économie capitaliste pour sauver un système en complète faillite devront être remboursés par les travailleurs à moyen et long terme, d’où l’idée de Sarkozy d’inscrire l’obligation d’acquitter les dettes énormes créées par le capitalisme dans la Constitution Française.
Inscrire cela dans le texte fondamental de la République, c’est permettre au capital de continuer à faire des profits pour lui même, et de socialiser les dettes. Les travailleurs seront contraints à les rembourser d’une façon constitutionnellement légale : l’austérité et la précarité deviennent des pratiques constitutionnelles.
C’est-à-dire que les futurs gouvernements devront soit réviser la Constitution mais faire face aux obligations européennes, soit payer les dettes et faire face à la révolte d’un Peuple… l’antagonisme de classes va s’aiguiser et quand le capital se sent pris au piège, il sort son arme de guerre impitoyable, le fascisme.
3. Mettre fin à la dictature finacière à diffuser, 22 mai 2010, 16:29
Sarkozy a été élu sur le « travailler plus pour gagner plus » mais il n’a pas mentionné « pour vivre moins longtemps ». Les générations présentes et à venir risquent de payer pendant des dizaines d’années la facture et l’ardoise laissées par 5 années de Sarkozisme.
Les dizaines de milliers de milliards d’euro injectés dans l’économie capitaliste pour sauver un système en complète faillite devront être remboursés par les travailleurs à moyen et long terme, d’où l’idée de Sarkozy d’inscrire l’obligation d’acquitter les dettes énormes créées par le capitalisme dans la Constitution Française.
Inscrire cela dans le texte fondamental de la République, c’est permettre au capital de continuer à faire des profits pour lui même, et de socialiser les dettes. Les travailleurs seront contraints à les rembourser d’une façon constitutionnellement légale : l’austérité et la précarité deviennent des pratiques constitutionnelles.
C’est-à-dire que les futurs gouvernements devront soit réviser la Constitution mais faire face aux obligations européennes, soit payer les dettes et faire face à la révolte d’un Peuple… l’antagonisme de classes va s’aiguiser et quand le capital se sent pris au piège, il sort son arme de guerre impitoyable, le fascisme.