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Journée internationale de la femme

Publie le mercredi 8 mars 2006 par Open-Publishing
34 commentaires

de Marianne

Si la femme a besoin d’une journée pour exister ou pour s’exprimer, au moins la loi aura eu cet avantage... Heureusement, les femmes n’attendent pas qu’on leur attribue une journée - même internationale, pour exister.

Au quotidien, la femme met de l’huile dans les rouages de la société, elle invente chaque moment avec une plus grande souplesse dans les règles auxquelles l’agressivité des hommes donne une tournure statique, frontale, binaire...

Les femmes ont appris, comme tous les êtres "plus faibles" à ruser avec la force du plus fort ; elles savent que le "plus petit" n’a pas intérêt à tomber dans la provocation du plus couillu. Par contre, elles savent déplacer le terrain de l’affrontement, elles savent donner un autre sens aux rapports avec leurs environnements.

Les femmes n’abdiquent pas devant l’autorité et l’absurdité, même si elles ont appris à baisser les yeux. Les femmes cherchent l’issue efficace, pragmatique, idéalement ludique...

Les Hommes ont encore beaucoup de progrès à faire dans leur manière de regarder les femmes. On peut parfois regretter la courtoisie de l’ancien temps, celle qu’il faisait que les hommes nous tenaient les portes. Aujourd’hui, au nom de l’égalité entre les sexes, les femmes ont désormais le droit de conduire des camions la nuit à travers toute l’Europe ; les femmes ont le droit de vider les poubelles à l’arrière des camions-bennes urbains ; les femmes ont le droit de cumuler emploi-garde d’enfants-gestion de l’intérieur familial.
Car au nom de l’égalité, les tâches se sont additionnées, pendant qu’on a cru pouvoir allonger le temps.

La technologie pour mieux gérer le temps... Une femme racontait dans un magazine qu’elle aussi a eu un téléphone portable, elle aussi l’a beaucoup utilisé, voire aimé, mais malgré ses fréquentes utilisations avec son époux, ça ne l’a pas empêché de ne pas savoir qu’elle était « trompée » par ce même mari.
La technologie facilite peut-être la communication mais ne l’enrichit pas forcément et tout dépend de ce qu’on attend de nos outils.

On nous parle actuellement de parité dans la représentation politique, dans les entreprises, afin qu’elle reflète mieux la présence des femmes dans la société (puisque, de plus, elles sont plus nombreuses). Mais si les femmes se comportent comme les hommes, cette parité n’aura pas d’influence, le système restera le même. Ce qui est intéressant, c’est que les femmes soient représentées et interviennent avec leurs atouts, leurs connaissances, leur intuition, leur culture, leur intelligence, leur douceur, leurs fermes intentions.

Ce que j’attends d’une femme qui me représente, c’est qu’elle soit droite dans ses convictions et dans sa façon d’agir, qu’elle facilite le dialogue et qu’elle propose des idées, des possibilités, des issues, d’autres systèmes plus ouverts...

Face à l’absurdité des réponses politiques : « le monde tourne comme ça, on ne peut pas faire autrement », « il faut savoir s’adapter, accepter le changement, faire des compromis », bla-bla, bla-bla... il faut plutôt vouloir résoudre des situations qui ont reçu beaucoup de réponses ineptes, inadaptées.

Aux « non » rabâchés, aux impossibilités chroniques (d’apprendre, de se former, de changer, de s’adapter justement, mais dans son propre sens), il faut savoir parer, déplacer le point de gravité de la problématique, poser le problème autrement, sans faire de prose mais dans une optique de satisfaction générale. Face au mécontentement, il faut tenter d’entendre toutes les voix, même le bruit, pour comprendre la confusion générale, les redits, les mêmes interrogations, les mêmes soucis...

En tant que femme, je souffre régulièrement de ne pas me sentir suffisamment écoutée et d’être plus souvent dans un rapport de force, de pouvoir, de miroir que dans une réelle relation d’écoute et d’échange. Ca paraît toujours fleur bleu quand on parle d’échange et d’écoute ; et pourtant, c’est ce qu’il y a de plus enrichissant que d’éviter l’affrontement et lui préférer l’optimisme, la construction, la consolidation.

La technique de la fuite en avant peut difficilement être appropriée par les femmes puisqu’elles sont censées savoir gérer les besoins quotidiens mais sans l’aspect de la conquête d’un territoire.

Messages

  • Pour mémoire, la journée internationale DES femmeS - avec cette dimension collective ! - est une création du mouvement marxiste révolutionnaire, et en particulier de la future spartakiste Clara Zetkin en 1910.

    L’objecif de l’abolition du sexisme et du salariat, défendu à l’époque par les féministes Karl Marx puis Rosa Luxemburg, est plus que jamais d’actualité !

    • un peu de pub : un livre collectif à lire sur l’antiféminisme et les résistances des femmes en Amérique et en Europe : L’AUTONOMIE DES FEMMES EN QUESTION (sous la dir. de J. Trat, D. Lamoureux et R. Pfefferkorn), collection Bibliothèque du féminisme, éditions L’Harmattan, vient de sortir, 2006

    • Ce genre d’article est plus qu’énervant !
      C’est quoi ce ton plaintif et tous ces poncifs sur les hommes et les femmes ?
      Les femmes aussi peuvent utiliser la violence, l’affrontement, l’autoritarisme, les femmes peuvent être aussi salopes que les hommes.
      hé Marianne réveilles toi, nous vivons en France et nous ne sommes plus des victimes, M..... ! Alors !
      Penses un peu à Me Thatcher, et aux nanas qui font la guerre en Irak et aux femmes flics et aux DRH etc ect...

      Personnellement je ne me suis jamais sentie inférieure à un homme. Même quand il était mon patron. Voilà ce qu’il faut transmettre à nos enfants. les femmes sont différentes évidemment mais ni pire ni meilleures que les hommes.

      La journée de la femme c’est comme la journée de la pauvreté, du sida etc... C’est juste un moyen pour certains de se donner bonne conscience.

      La vraie vie et le combat féministe n’est pas là. Il n’est pas dans la psychologie à 2.5euros.

      Ha mon humble avis.

      Exemple : pourquoi les femmes se coltinent-elle en général le plus gros des tâches ménagères et les plus ingrates aussi ?

      Francesca

    • Désoléé de vous énerver... Je ne parle pas de féminisme. Une fois de plus, on me demande de la fermer, effectivemement, c’est plein de poncifs... Merci pour la photo et aux autres, bonnes manifs !
      Marianne

    • Je ne vous demande pas de vous la fermer.
      Juste de ne pas nous cantonner, nous les femmes du côté des faibles.

      Par contre j’insiste, on peut se demander pourquoi en 2006, ce sont encore, en général, les femmes qui se coltinent le plus gros des taches ménagères ?

      Francesca

    • attention : méfiance, Francesca serait un mec

    • réponse à Francesca

      au niveau des tâches ménagères : parce que c’est inscrit dans les gènes des femmes, il en est de même pour l’élevage des enfants.

      Explications anthropologiques :
      pendant 350.000 ans (environ) et jusqu’en mai 1968, l’homme partait à la chasse (ou au boulot) plusieurs jours pour nourrir sa p’tite tribu, lourde responsabilité car l’homme n’avait pas le droit à l’échec. En plus par sa force, il assurait la sécurité.

      Pendant ce temps, les femmes restaient au campement (ils ne vivaient pas dans les grottes, sauf exception) et s’occupaient des tâches dites ménagères, élevaient les enfants... ; en plus, les femmes papotaient entre elles... etc alors que l’homme lui devait rester silencieux (sinon. pas de gibier)

      D’où aujourd’hui des capacités très développées à la femme pour la parole, les TM (taches ménagères) et l’élevage des enfants

      D’où aujourd’hui pour l’homme ses capacités à fermer sa gueule, ses capacités à l’action en dehors de son campement conjugal, à atteindre l’objectif, d’où aussi son agressivité.

      Comment en une ou 2 générations supprimer ces atavismes ? comment modifier nos gènes aussi vite ?

    • Exemple : pourquoi les femmes se coltinent-elle en général le plus gros des tâches ménagères et les plus ingrates aussi ?

      QUOOIII ???

      Depuis qu’une méchante Marie qui était apparue sur le site pour nous montrer comment plier les teeshirts, ma "gonzesse"

    • Exemple : pourquoi les femmes se coltinent-elle en général le plus gros des tâches ménagères et les plus ingrates aussi ?

      QUOOIII ???

      Depuis qu’une méchante Marie qui était apparue sur le site pour nous montrer comment plier les teeshirts, ma "gonzesse" m’oblige à repasser tout le linge et à le plier !!! sinon...rien !

      Et tu trouves que ce n’est pas le plus gros boulot de repasser et de plier le linge ?

      Tu y vas un peu fort Francesca.

      D’ailleurs les femmes vous êtes des méchantes avec nous qui sommes des sentimentaux, et vous négociez même les gatés !

      Voilà çà vous apprendra !

       ;-D

      Esteban

    • Cher Camarade,

      Repasser le linge est une activité inutile !
      Il suffit de réfléchir 5 minute à la réelle utilité du repassage pour y renoncer.
      Cette habitude bourgeoise qui dit qu’il faut que les vêtements soient repassés pour paraître propres doit être abolie par les révolutionnaires que nous sommes !
      Ta copine va devoir trouver autre chose à négocier contre les gâteries !!
      Francesca

      PS : je sens que l’on va encore penser que je suis un homme....

    • Chère Francesca, au risque de te déplaire une fois de plus avec mes discours pleins de poncifs, j’ai remarqué que se présenter avec des vêtements repassés permet de participer au compromis collectif, au travail, par exemple. Malheureusement, notre société occidentale juge encore beaucoup sur l’apparence, et ne pas jouer ces règles, c’est se marginaliser. C’est comme accepter de payer son titre de transport, ses impôts, respecter les limitations de vitesse, etc... Ce sont les règles de notre société et ça permet de ne pas être emmerdé dans certains milieux. Et alors ? Pour gagner du temps, on peut aussi ingérer des pilules plutôt que de faire à manger (j’ai même des copines qui me prônent les avantages du jeûne en terme de temps dégagé : courses, préparation, vaisselle, digestion). On peut aussi ne pas faire de mômes, parce que ça prend du temps, ne pas travailler parce que c’est alinénant, vivre sans carte de crédit...
      Je suis assez d’accord avec le fait que la société a changé très vite et, au nom de l’émancipation de la femme, a obligé les hommes à plus la fermer. Mais il ne faut pas oublier que la France, "pionnière des droits de l’homme", n’a accordé le droit de vote aux femmes qu’après la Libération et ma mère a connu l’obligation pour la femme qui voulait ouvrir un compte bancaire d’avoir l’autorisation de son mari...
      Je ne crois pas que les hommes doivent la fermer et se comporter comme des carpettes face aux femmes... L’issue n’est ni dans le communautarisme, ni dans le féminisme, mais tout de même, heureusement qu’il y en a qui sont descendues dans les rues pour demander plus de droits, heureusement qu’il y a eu des Simone Weil pour supporter un marathon agressif à l’Assemblée nationale et finir par faire adopter la loi sur l’avortement... Heureusement qu’il y a eu des Rosa Parks pour initier la résistance à la ségrégation dans la société américaine...
      Les révolutionnaires que nous sommes ne sont pas forcément des sous-commandantes véhémentes aux nippes frippées et s’il faut repasser mes vêtements pour passer inaperçue dans le filet du jugement et être plus libre dans mes mouvements, j’accepte le compromis. Serai-je jugée par le tribunal populaire ou pourrai-je continuer à négocier avec mon partenaire masculin que j’apprécie tant pour sa diplomatie et son sens de l’adaptation ?
      Marianne

    • Marianne,

      Je ne porte préjudice à personne en ne repassant pas mes vétements. cela n’a donc aucun rapport avec le code de la route ou la fraude dans le métro.
      Ceci dit, il s’agit bien du paraitre.

      Je voulais juste plaisanter avec Esteban qui lui aussi plaisantais, je crois...
      Francesca

    • T’as raison Francesca, pourquoi nous présenter toujours comme des victimes et des êtres faibles. Je ne me suis jamais sentie ni inférieure et ni supérieure à un homme.

      Des salopes j’en connais un tas.

      Tiens, que pense Marianne de Laurence Parisot ?

      Leila

    • je suis abasourdie, quand je lis ce genre de commentaire, pourquoi toujours parler des taches ménagères
      Je pense en tant que femme, si je doit défendre une cause, afin que notre condition s’améliore, je me fous éperdument si mon chemisier est repassée, ou si la vaiselle est faite. Il m’est désagréable, que la maison, les enfants, etc.
      nous empêche de réagir.Nous devons agir militer, travailler. arretons de toujours nous lamenter sur ces tâches ménageres et luttons. Demandons à nos patrons des heures ou les réunions doivent être à des heures raisonnables.
      Demandons à nos institutions des crêches sur notrel ieu de travaill. Demandons à nos politiques de ne
      plus coopter les leurs, si la place est facile à gagner. Battons nous, agissons, et tant pis pour la vaisselle,
      ou la poussiére. Mais en avons-nous vraiment envie, ou notre bonne conscience de lutte féministe d’un
      jour, et rentrons chez nous. Pensons à toutes les autres disparues, emprisonées, violées, battues,
      leur ménage est il fait. Arretons cette hypocrisie . brigitte d’ollioules

    • Tu ne peux pas nier que ce sont les femmes qui font les doubles journées et se coltinent en général tout le boulot.
      Ceci n’est tout de même pas anodin comme question.
      Quand les hommes ne parleront plus d’aider leurs femmes mais feront leur part s’en même en faire cas, le féminisme aura fait un grand pas.
      Certains hommes ont compris cela
      d’autres pas du tout.
      Une femme qui a des enfants et vit avec un macho qui ne fait rien de ses dix doigts à la maison ou juste la vaisselle pour la bonne conscience, ne peut pas etre militante.
      Ou alors, elle a une maman ou une nounou et des sous pour la payer...
      Donc ce sujet est aussi important.
      Francesca

    • Brigitte, tu es merveilleuse, ton idée est magnifique :

      Plus de vaisselle, plus de lavage, plus de repassage, plus de pliage, plus de courses, plus de...non pas çà ;

      VIVONS TOUS À POIL ET AIMONS-NOUS !

      (pour nous c’est facile tu es dans le Var et moi dans les BdR (je parlais du climat) et quand le soleil chauffe, il chauffe !)

      Esteban

  • Les femmes ceci, les femmes cela...

    Grâce soit rendue à Marianne qui parvient à globaliser la diversité des personnalités de la moitié de l’Humanité en une entité unique...et malheur au féminisme...qu’elle prétend défendre.

    • Que tu le veuilles ou non, plus de la moitié de l’humanité est féminime et je connais moins de femmes chefs de guerre que d’hommes, peu sont à la tête d’entreprises d’armes, peu violent ou battent leurs époux et leurs enfants, peu abandonnent leur conjoint après 40 ans parce qu’il n’est plus aussi bandant qu’à 20...
      Les femmes, à mon sens, sont plus diplomates et gloire au féminime d’avoir fait descendre les petites culottes dans les rues, même si le message a été récupéré par les pubards.
      Quant à la globalisation de la femme, j’attends tes idées, tes arguments, tes propositions, plutôt que tes poncifs.
      L’intelligence s’emmerde de nos jours, tant elle est confrontée à la médiocrité.

    • T’as raison.
      C’est ce que je dis aux gens bornés. Bonne nuit.

    • Les femmes ceci, les femmes cela...

      moi c’est ma maman qui m’a appris que les filles ça joue à la poupée et que ça s’occupe de la maison , et que les garçons ça joue aux gendarme et aux voleurs et que ça va gagner le pain de la famille .
      D’accord elle etait née en 1921 , ma maman , et j’ai soixante balais , je veux dire que cette image de repartition des taches etait vehiculée jusqu’a pas tres longtemps par les femmes elles memes !

    • Et tu continues d’en profiter mon beau salaud de macho de Claude.

      J’en parlerai à ta bergère pour ne plus qu’elle te materne !!!

      Pan !

      Comme ma chérie risque de me lire : JE FAIS UNE GROSSE BISE À LA GENTE FÉMININE.

      Oui, pas trop poétique mais j’ai pas envie de morfler !  ;-D

      Esteban

    • JE FAIS UNE GROSSE BISE

      tsss les grosse bises, c’est pour les enfants :))

      Thom

    • Salut Thom, tu as bien lu que je n’avais pas envie de morfler, tu sais comme elles sont les filles, il faut leur expliquer et gnagnagna et gnagnagna...

      Tu commences à me faire prendre des risques !  ;-D

      Esteban

  • Afrik.com : Qu’est ce que la femme pourrait apporter de plus ou de différent que l’homme ? Queen Eteme : La femme donne la vie. Elle la porte en elle et pas seulement sur le plan biologique. Parce qu’elle met au monde ses enfants, elle est plus sensible à la vie et au devoir d’aider à un meilleur épanouissement du monde. Les hommes aiment le pouvoir, la femme montre qu’il existe d’autres voies pour obtenir des choses que la force.

    http://20six.fr/basta/cat/199850/0

    • On ne peut pas détacher la condition féminine (comme on disait dans le temps) au social en général.

      Donc y’a du boulot. mais il ne faut quand même pas mettre tout le monde dans le même sac.
      Militante à gauche je n’ai jamais subit le machisme. Même pas à la CGT contrairement aux lieux communs qui circulent. Les camarades hommes ont beaucoup évolués. Le PS ne respecte pas la parité mais le PC, la LCR et LO, oui.
      Il faut le dire ça aussi. Esteban nous montre bien tous les efforts que les hommes sont capables de faire !!

      Et si Marianne veut faire la révolution avec un chemisier repassé c’est son droit !
      Mais on peut aussi aller outre les conventions qui nous aliènent à des taches sans intérêts.

      Francesca

    • Tout à fait d’accord avec ce que vous dites et avec votre volonté "tête de mule", Francesca. (Une idée drôle me passe par la tête : vous pourriez être la fille au regard décidé - Anna "Francesca" Magnani - qui illustre l’article !
      Le Yéti (qui déteste les vêtements repassés)

  • A toutes les femmes qui luttent au quotidien contre la pression et l’oppression de nos sociétés quelles qu’elles soient et ceci de l’extrême orient à l’occident. Je vous dédie ces vers en espérant que vous garderez toujours en mémoire que : « L’indifférence profite toujours à l’oppresseur , jamais à l’oppressé »

    Parce que pour moi, vous êtes notre début et notre fin,
    Vous êtes une fin en soi et non un moyen,
    Parce que vous nous portez, vous nous supportez !
    Parce que vous portez la vie que nous concevons à deux
    Et pour ça vous êtes sans doute bénies de Dieu.

    Vous nous égayez la vie mais l’attristez aussi,
    Vous êtes source de bonheurs comme de souffrances,
    Et dans cette société, masculine, qui préserve ses pouvoirs,
    Sachez que ce que vous avez acquis de nos jours,
    N’est rien à coté de ce que vous méritez d’avoir , pour toujours

    Ernesto ALIAS djalim, le 08/03/06

    ps : si j’étais une femme je dirais à ces hommes qui ont la bonté d’accorder un jour dans l’année aux femmes : " Gardez ce jour pour vous et donnez nous les 365 autres qui restent "

    CA C’EST DIT !!!!!

    • d’accord mais cela fait 366 jours , donc elles auraient tout et nous un jour virtuel , c’est une conception tres genereuse du partage , moi je suis pour la femme à l’année , et le 366eme jour on change (de femme bien sur ) , par ailleurs je suis pour les vetements repassés , rien que pour le plaisir de les froisser , oui Esteban , macho un jour , macho toujours , et je me deconnecte aussitot .
      claude de tlse .

    • OOOhhh !!! Ernesto,

      ÇÀ VA POUR TOI OUI ?

      Tu as bien profité de ta soirée jeudi ?

      C’est ce qu’on peut appeler une approche de renard. Jolis préliminaires, j’espère que tu es monté en puissance ! :))

      ALLÉ PAS DE FIORITURES
      TOUS À POIL C’EST BRIGITTE QUI NOUS A AIGUILLÉ !

      Esteban

  • Bravo Marianne je suis d’accord avec beaucoup de choses .Seule nuance, je pense que les hommes souffrent aussi de ne pas être écoutés (y compris par des femmes) et puis je pense que nous avons tous un mélange de tendances dites masculines et féminines ; certaines femmes se comportent comme des hommes (Tatcher, ségolène etc.) ; la loi du pouvoir préfère le comportement typiquement masculin.
    Francesca sans vouloir t’agresser je pense que tu n’as pas compris ce que voulait dire Marianne. Il ne s’agit pas de "s’écraser" mais de ne pas se forcer à être comme des hommes car il y a d’autres moyns de faire valoir ses idées.

    A celui ou celle qui a utilisé le mot "élevage" (des enfants) je conseillerais un petit tour chez un psy.

    Adèle