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LES 2 OU 3 PETITES CHOSES QUE JE CROIS COMPRENDRE A PROPOS DU WEB2.0

Publie le jeudi 1er février 2007 par Open-Publishing
7 commentaires

Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

– http://www.argotheme.com

Les 2 ou 3 petites choses que je crois avoir compris à propos du Web.2.0, et qu’on le sollicite déjà !

Une nouvelle technologie mettant fin à la passivité de l’internaute en simple récepteur consommateur, est sur le point de restructurer entièrement Internet. C’est en fait, le passif l’anonyme et le simple surfeur sur la toile qui, s’est davantage impliqué, est à l’origine d’une révolution. Si en réalité elle s’impose d’elle-même pour la convergence et la simplicité, elle reste le fruit de créateurs humains. Arrivée à maturité après des années d’échanges sur la toile qui n’ont de virtuel que de garder les distances entre communicants, pourtant mitoyens par la brièveté accélérée avec l’ADSL, le Web 2.0. entame une métamorphose de ce qui a été son prédécesseur le Web.1.0. Ce dernier se présentait éditions sur papier que l’encyclopédie incarne le mieux, et obéissait, comme elles à travers les menus d’accueil, aux repérages des sommaires et des tables de matières. Seuls les liens hypertextes donnaient l’allure du dynamisme qu’au lieu de tourner les pages, on y va directement et rapidement par la magie l’électronique.

Désormais une interactivité à l’échelle planétaire attribue au Web.2.0 la forme, contrairement au bouquin ou la revue, d’un vaste réseau occasionnant ainsi des bases de données produites d’une manière dûment collective. L’internaute, qui dans la précédente mise au point prenait de l’information et accéder à des services, s’est converti de lecteur en publicateur de données et certains ont déjà tissés leurs propres réseaux. Aidé par les progrès technologiques de ces dernières années (microprocesseurs des machines et le haut débit du signal Internet), la communauté des internautes est plus impliquée que par le passé. Elle lance ainsi l’exigence, sans nécessairement la décréter, que de nouveaux principes régissent le Web. Bien sûr des plateformes collaboratives sont mises en services pour bousculer les modes usités qui ont certes donné leurs preuves, mais semblent déjà dépassées. Citons quelques principaux sites de partage de données : Digg (actualités), Wikipedia (encyclopédie), Upcoming (agenda public) et del.icio.us (tags et favoris)

Messages

  • Vous ne maitrisez absolument pas votre sujet. Internet est dynamique depuis plus d’une décennie. Vous nous parlez de la différence entre des pages HTML et des pages dynamiques impliquant des bases de données relationnelles. Celà n’a rien à voir avec la popularisation du terme web 2.0.

    Des technologies comme php, jsp, coldfusion, asp permettent de faire ce que vous découvrez depuis dix ans au moins. Web 2.0, c’est un terme à la mode pour désigner une pseudo révolution. Il n’y a pas de rupture, même dans le technologie "ajax" qui représente d’une certaine manière le fleuron de cette appelation.

    Cette "magie" tient dans le résumé très simple qu’il est possible d’utiliser l’architecture client-serveur classique par le biais de sous-requètes HTTP qui ne nécessitent plus de rafraichissement de la page du navigateur. De plus, ceci n’est pas nouveau mais existait déjà depuis très longtemps sans qu’on ait songé aux potentialités du zbinz.

    Ce qui a vraiment changé c’est effectivement le nombre de sites collaboratifs qui a explosé, et d’autre part la mise à disposition d’outils clefs en main pour gérer des communeautés, ne nécessitant pas de connaissances poussées en développement web.

    Vous avez vraissemblablement sauté une révolution. Hiberniez-vous ces dix dernières années ?

    Christophe B.
    ex consultant NTIC écoeuré par le monde du buisness

    • Christophe B

      Comme vous allez l’air de toucher grave votre sujet, cela serait mieux si vous faisiez un article de vulgarisation sur ce sujet au lieu de renvoyer dans ces buts un gars qui vous avait rien fait.

      Par exemple, si vous avez 1 heure à consacrer à Bellaciao, est-ce que pourrier expliquer ce qui relie Web 2.0 à l’histoire de "Second Life", si oui ou non l’hypothèse de l’accès libre aux sources aura pour effet cette "révolution" qu’évoquent plusieurs articles de la presse sans allez plus loin que la possibilité de faire ses courses en 3D, ce qui est très amusant certes, mais dont on se fout.

      Est-ce que par exemple, un 3D temps réel sous forme d’avatar est possible à court terme avec le transport de la paroles par exemple, est-ce qu’une réelle interactivité entre un nombre important d’utilisateurs du réseau sous forme d’avatar graphique pourra déboucher sur des projets interessants, comme par exemple des réunions politiques à distance.

      Merci si vous faites cet effort.

      jyd.

    • OK avec JYD , ca peut intéresser pas mal de personne !!!!!

    • Je ne me suis vraiment pas interessé à second life jusque ici car le phénomène ne m’enchante pas vraiment pour ce qu’il est à la base : une manière de plus d’occuper sa vie, de remplir le vide de nos existences de consommateurs occidentals par du vide, dans un couloir de la mort auquel nous nous serions nous mêmes condamnés.

      Mais vous soulignez les potentialités communeautaires de la maitrise du code source de l’application. C’est une voie intéressante. Je vais essayer de m’y consacrer d’ici la semaine prochaine.

      Vous avez raison Jyd, on a pris tellement l’habitude de s’invectiver ici que c’est presque devenu gratuit.
      Je m’en veux d’avoir été cassant, ARGOTHEME.

      Christophe Bord

    • Bonjour.

      C’est l’auteur des 3 ou 2 (inversion oblige) petites choses que j’ai cru comprendre.

      Nous attendons avec impatience et toujours, votre éclairage.

      J’insiste dans mon modeste sujet sur l’esprit collaboratif que l’avenir nous offre, avec la promesse de ce qui est mature va, comme un fruit de la nature, donner ses délices. Sinon il tombe de son arbre, se dettache de sa branche.

      Afin de le happer dans son envol "Icarien", j’ai soulevé un sujet qui sonne, et nous le souhaitons tous, y compris ceux qui vous ont répliqué avant moi, à être enrichi. Le collaboratif nous condamne au partage. Et comme il faut quelqu’un avec 2 ou 3 petites bidouilles, à mettre sur la planche du pain à faire, pour commencer, j’ai proposé ce sujet. Mon espoir avec comme vous le devinez certainement, de trouver davantage de connaissances, à échanger est une soif inassouvie.

      Alors nous attendons encore, qui malaxera, mettra la main, peut aller jusqu’à la cuisson... La consommation nous est, sans aucune distinction, une nécessité pour vivre

      L’usage d’une terminologie strictement technique, laisse perplexe bien des lecteurs qui savent de quoi il s’agit sans pourtant s’adonner aux applications pratiques. Alors qu’on vulgarise, ceux qui lisent ne doivent pas pris pour des dindes. Toute chose qui a de la brillance, surtout la plus affichée, est un couteau. La peur des fois...

      Cordialement !

    • Argothème, je m’en veux terriblement de na pas avoir trouvé le temps de me consacrer à cet article que je vous avais promis. C’est un acte manqué qui hante mes nuits, je vous assure. ;-)

      Je m’en veux toujours aussi d’avoir réagi à votre article initial de la sorte. Je vous demande sincèrement de m’excuser pour ce comportement agressif infondé ce jour là.

      C. B

    • Salut de ARGOTHEME.

      Il n’y a rien de grave. Et pas de soucis.

      Cordialement de argotheme.