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LIBERTE POUR LES CYBERJOURNALISTES ANTI-MENARDIENS !

Publie le mercredi 26 mars 2008 par Open-Publishing
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Hier mardi, j’ai envoyé le commentaire ci-dessous au quotidien 20 Minutes à la suite de son article : "Robert Ménard promet d’autres actions contre le régime de Pékin",
J’ai enregistré la page du journal quand c’est paru. Bien m’en a pris. Les textes qui précèdaient et qui suivaient le mien étaient toujours en ligne dans la soirée alors que le mien avait disparu dans la matinée.

Le sujet de la discussion était, comme on le sait, le droit à la parole, la censure (en Chine), la liberté d’expression du cyberjournaliste, etc.

Au fait, avez-vous remarquez que le site de RSF, qui juge, analyse, dénonce, classe, cloue au pilori, est le seul site de ce type qui n’ autorise pas qu’on lui réponde ? Tous les sites qui vont publier mes propos sont ouverts au dialogue. RSF et ses amis verrouillent.

Chuuut !

MV.


LE TEXTE PARU BRIEVEMENT DANS 20 MINUTES :
Mardi 25 Mars 2008 mise à jour 09h12
vos réactions

maxime vivas | 25.03.2008 - 09h11

Non seulement Ménard est suspect pour ses indulgences envers l’extrême droite et les propos négationnistes, non seulement il fonctionne avec des dollars d’officines écrans de la CIA, mais il tient sur la torture des propos que ni Le Pen, ni Bush n’auraient osé tenir.

L’émission « Contre expertise », de Xavier De la Porte sur France Culture le 16 août 2007 (12h45 à 13h30) avait pour sujet : « La gestion des otages peut-elle être transparente ? »

Robert Ménard était l’un des invités. Il s’y est posé la question de la légitimité de la torture. Citant le cas de familles de preneurs d’otages torturées en représailles par les services de police au Pakistan, il fait mine de se demander jusqu’où il faut aller dans ces pratiques : « Moi je sais plus quoi penser ».

Il ajoute : « Je ne dis pas, je ne dirai pas qu’ils ont eu tort de le faire » et il livre le fond de sa pensée jusqu’alors implicite : « ...moi, si c’était ma fille que l’on prenait en otage, il n’y aurait aucune limite, je vous le dis, je vous le dis, il n’y aurait aucune limite pour la torture. »

Légion de Déshonneur !

Maxime Vivas, écrivain.

(Dernier livre paru : "La face cachée de Reporters sans frontières. De la CIA aux Faucons du Pentagone").

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