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La France a basculé !

Publie le vendredi 10 avril 2009 par Open-Publishing
6 commentaires

Tout a commencé par un bon arrosage des copains (le paquet fiscal), puis un camouflet sur un vote populaire (le NON au référendum sur l’Europe retoqué en traité simplifié), une démolition de A à Z de ce qui fabrique le libre arbitre et l’indépendance d’opinion individuelle : l’école (réforme scolaire) ; vint ensuite le fichage systématique des individus supposés dangereux sous prétexte de divergence d’idée avec la bonne parole officielle (ce fut Edvige)... à ce propos qu’en est devenue la mouture allégée ? Il est fort probable qu’après un lifting bon teint, le même principe soit toujours en place. N’oublions pas la main mise sur l’information (réforme de l’audiovisuel), sur la justice (plus de juge d’instruction) et les complaisances affichées avec les débordements policiers...

Et puis il y a eu la crise, cette fameuse crise où l’on méprise la souffrance et dans laquelle on refuse de dire qu’un système qui ne profite pas de façon juste et mesurée à la collectivité est voué à l’implosion, système qu’on tente de maintenir contre vents et marées, sur le dos des contribuables (parce qu’il faudra bien payer la note et à part nous, qui paiera ?)

Imaginez qu’un individu sans vergogne s’empare légalement du pouvoir (ça c’est vu en d’autre temps, en Allemagne, avec un certain chancelier, pas très grand, aigri et prénommé Adolf) ; quelle difficulté aurait-il a développer un régime autoritaire ? AUCUNE !

Je suis au regret de vous dire que la France a basculé vers la dictature et que les républiques bananières que l’on fustigeait ne sont que des cousines, pas si éloignées que ça.

Messages

  • N’ayez crainte, braves gens, Chéreque va nous sortir de là, je vous le dis,... le 1er mai... de 14 à 18 heures en tout cas.

  • La france a basculé depuis longtemps...

    Nous sommes à la merci de certains individus plus ou moins proches des mafieux...

    Le fric est leur raison de vivre.

    Et, nous vivre est notre raison.

    Pauvres de nous, pauvres enfants, et, petits enfants...quel monde leur avons-nous déjà laissé ?

    • de bien sombres cieux rougeâtres se pointent à l’horizon, un point de non retour est à présent franchi, répression sanglante contre insurrection anarchique du peuple à genoux, syndicats complètement à côté de la plaque, choisissez votre camp, il n’y en aura pas trois : opprimés contre oppresseurs, qu’en sortira-t-il ?? le rouge du ciel nous fait craindre le pire... mais quelle autre issue quand la fraternité n’est plus que vain mot ?