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La diplomatie Français continue l’ingérence sur les Tamouls
Publie le samedi 2 mai 2009 par Open-PublishingDiplomatie Français, continue l’ingérence sur les Tamouls
La diplomatie international continue de proposer une parodie de solution pour les tamouls de Sri Lanka, alors que le gouvernement Sri Lankais continue de perpétué des crimes de guerre en tuant, et en enfermant massivement les Tamouls dans des camps de « concentration ». La communauté international continue d’œuvré pour la guerre au Sri Lanka et pour l’extermination de la population tamoul de Sri Lanka. Aucun effort n’est effectué par la diplomatie internationale pour mettre fin aux hostilités de l’armée Sri Lankais sur la population Tamoul, ni pour effectuer une solution politique sur la situation de Sri Lanka.
La France et les Britanniques ont appelé à ce que les tamouls au Nord-Est quitte leur domicile pour se mettre dans des camps. Alors que le gouvernement Sri Lankais continue de plus calculez la situation des Tamouls par de graves violations. Ils ne portent plus aucune attention aux civils Tamouls, il continue de considéré la population Tamoul comme une population de seconde zone.
Biens que plusieurs pays ont appelés à un arrêt immédiat de la guerre, le gouvernement Sri Lankais continue de réfuter cette idée de la fin de la guerre. En effet le président Sri Lankais continue de déclarer la continuité de la guerre jusqu’à la fin des tamouls. Plusieurs ministres du gouvernement ne veulent plus parler de solutions politique et continue de promouvoir la guerre auprès de la population cingalaise pour justifier leurs dépenses colossales pour la guerre.
Le gouvernement Sri Lankais continue de réclamer de l’aide auprès de FMI, Fond Monétaire International et auprès des pays de l’OCDE. L’Inde continue d’aider au terrorisme d’état en apportant son aide militaire et financière, contre l’avis même de l’Etat de Tamil Nadu.
Mission des Nations unies au Sri Lanka (17 avril 2009)
Nous soutenons pleinement la mission de bons offices du directeur de cabinet du Secrétaire général des Nations unies au Sri Lanka, qui vise à convaincre les parties de permettre l’évacuation des civils de la zone de combat, de reconduire l’arrêt des combats et de convaincre le LTTE de s’engager dans la négociation d’un accord de reddition de ses forces.
Alors que la situation des populations civiles sur le terrain suscite de vives inquiétudes après l’expiration hier de la trêve de deux jours annoncée par le gouvernement sri lankais, nous réaffirmons notre appel aux parties à respecter leurs obligations au titre du droit international humanitaire et de la protection des civils.
Comme l’a rappelé le communiqué conjoint du 15 avril des ministres des affaires étrangères français et britannique, nous continuerons à suivre avec la plus grande attention l’évolution de la situation et la médiation des Nations unies, y compris au Conseil de sécurité.