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La stratégie antinucléaire sans ambigüités de Greenpeace France
Publie le samedi 4 décembre 2010 par Open-Publishing11 commentaires
Suite à la parution d’un article intitulé « La stratégie « antinucléaire » et les ambigüités de Greenpeace France du jeudi 2 décembre 2010, je tiens personnellement à réagir.
Personnellement engagé dans la lutte anti-nucléaire depuis 35 ans, dans Greenpeace depuis 30 ans, je suis atterré de voir l’énergie développée pour nous « démolir » entre nous, serions-nous si nombreux pour pouvoir nous le permettre ? Aurions-nous été si efficaces que nous aurions arrêté au moins un des 58 réacteurs fonctionnant encore en France, que les installations du Cycle auraient été stoppées ?
Connaissant Roger et Bella (les auteurs du texte) depuis la fin des années 70 et leur très fort engagement contre le nucléaire, je suis très triste aujourd’hui de les voir servir la soupe de l’industrie nucléaire. Lorsqu’une nuit, à mes 18ans, un peu perdu à Paris, ils m’avaient hébergé avec mes amis du CCPAH (Comité Contre la Pollution Atomique dans La Hague), j’étais immédiatement en admiration devant leur engagement antinucléaire. Je ne doute pas de leur sincérité et c’est donc encore plus triste de voir en permanence leurs écrits utilisés par le lobby nucléaire, encore récemment j’ai été obligé d’écouter la lecture d’un de ces messages « assassins » contre Greenpeace par un représentant d’Areva, le sourire jusqu’aux oreilles. Certains de ces articles ont même traduits et sont ressortis à l’étranger, non pas par les antinucléaires, mais par l’industrie nucléaire, pour casser les militants de notre cause, c’est arrivé encore récemment au Japon, pour démontrer l’incohérence de notre mouvement.
Personnellement j’étais très fier d’utiliser les travaux de Roger et Bella, mais depuis, malheureusement, ils perdent tout crédit, lorsque que ceux-ci sont pollués par l’entreprise de démolition contre ceux qu’ils voient probablement comme des « collabos ». Qu’il y est des « Couacs » de communication des uns ou des autres, c’est possible et même vrai, mais de là à y voir aussitôt une stratégie de soutien à l’industrie nucléaire, c’est de la paranoïa aigüe. Mon engagement antinucléaire est total et sans ambigüité, opposer mes propos à ceux de Pascal Husting n’a aucun sens. Je reçois un soutien total de la part de mon directeur, de mon organisation, au niveau national, comme international dans la lutte que nous menons contre le nucléaire.
Ecoutez Pascal Husting au congrès d’Europe Ecologie à Lyon très récemment (caler la vidéo à 9mn) :
http://www.dailymotion.com/video/xfmh6w_assises-de-lyon-12-y-defis-environnementaux_news
Pourquoi, utiliser des propos rapportés par un journaliste, plutôt que de lire les écrit de Greenpeace eux-mêmes ?
Pourquoi ressortir cette histoire plusieurs fois ?
Pourquoi attaquer Greenpeace, quand cette organisation, au coté des autres organisations comme le Réseau Sortir du Nucléaire, continue de montrer sa détermination à s’opposer au nucléaire ?
Greenpeacee est née, il y aura 40 ans l’année prochaine sur les bases d’un combat antinucléaire. Elle a obtenu de nombreuses victoires comme l’arrêt des immersions de déchets radioactifs et autres. Plus récemment, nous avons complètement stoppé les exportations de déchets nucléaires vers la Russie. Nous pouvons dire aussi, sans rougir, que Greenpeace a largement contribué aux échecs de la construction de plusieurs EPR à l’étranger. Nous avons réussi à empêcher la prolongation de vie de plusieurs centrales nucléaires dans le monde, en particulier aux USA.
Je n’attaquerai pas Stop Nogent, dont je connais plusieurs membres extrêmement et sincèrement engagés, mais je ne peux m’empêcher de leurs dire qu’aujourd’hui, leurs messages servent le lobby, en affaiblissant note unité. En pensant sincèrement être les « gardiens du temple » de la pensée antinucléaire, ils tirent contre leur camp.
Personnelles et avec Greenpeace, je continuerai de tout faire pour sortir du nucléaire le plus rapidement possible, en empêchant la construction de nouveaux réacteurs, en faisant tout pour stopper les réacteurs existants, en faisant tout pour fermer au plus vite les installations du cycles, et en faisant la promotion de l’efficacité énergétique et du développement des énergies renouvelables et non productrice de CO2.
Messages
1. La stratégie misérable de Greenpeace France , 4 décembre 2010, 17:30, par Roger NYMO de sanurezo
Bonjour à tous,
Pourquoi écrire :
Peut-on rester sans broncher face à d’aussi méprisables accusations à l’égard de monsieur et madame BELBEOCH ?
Pourquoi et depuis quand Greenpeace ne fait-il plus partie du Réseau "Sortir du nucléaire" ?
Qu’est ce qui techniquement permet à monsieur Pascal HUSTING d’affirmer :
Monsieur Yannick ROUSSELET que pensez-vous du jugement rendu concernant les graves accusations dont monsieur Stéphane LHOMME et quelques anciens administrateurs du Réseau "Sortir du nucléaire" font encore malheureusement les frais ?
En résumé :
2. La stratégie antinucléaire sans ambigüités de Greenpeace France , 4 décembre 2010, 18:37, par Infonucléaire
Bonjour,
Je réponds en mon nom propre (Mathias Goldstein pour le site Web Infonucléaire) et pas pour Stop Nogent ou pour les Belbéoch.
En calant la vidéo à 11:45mn on voit s’exprimer "la radicalité" de l’engagement antinucléaire de Pascal Husting Directeur général de Greenpeace France, il est pour :
"Une sortie du nucléaire totale et complète et rapide, sur 3 axes :
- Non prolongation de la durée de vie des centrales existantes
- Non renouvellement du parc nucléaire existant
- Arrêt de cette diplomatie nucléaire néfaste au profit d’AREVA et D’EDF..."
Décryptage :
– Sachant que la durée de vie prévue par EDF pour ses réacteurs est de 40 ans et que ses réacteurs ont été couplés au réseau électrique entre 1977 pour Fessenheim-1 et 2 et le 24 décembre 1999 pour Civaux-2.
– Il s’agit donc d’une sortie très lente sur trente ans (après la pleine exploitation et le large amortissement économique des réacteurs d’EDF) étalée entre 2017 et 2040.
Il n’y a là rien de rapide, cela revient à laisser EDF exploiter jusqu’à la fin de leur durée de vie prévue les 58 réacteurs existants, et cela revient à dire que pour le Directeur général de Greenpeace France, soit les dangers de tout le cycle nucléaire lui importent peu, soit n’existeraient pas !
Rappel sur les dangers du cycle nucléaire :
– Les mines d’uranium actuelles (les mineurs, les population aux alentours ou les anciennes mines en Limousin, en Vendée, en Bretagne), les usine d’enrichissement et les populations alentours...
– Les centrales et leurs énormes rejets radioactifs liquides ou gazeux (hors accidents) en fonctionnement normal, sans même parler des fuites et des "petits pépins" inévitables...
– Les travailleurs (et notamment les intérimaires) irradiés continuellement lors de leur travail habituel (hors accident).
– Le risque d’accident majeur en France, d’un Tchernobyl français... pour le Directeur général de Greenpeace France ils ne sembleraient donc pas exister ??? alors que les autorités françaises elles mêmes se préparent à l’accident majeur... et même elles se préparent après l’accident à nous laisser (nous les populations) sur place en zone contaminées.
– Le retraitement des déchets serait-il acceptable à La Hague avec ses "très énormes" rejets ???
– Acceptable, que l’on continue de produire des déchets nucléaire, jusqu’en 2040... et on les mettra où, à Bure ????
Pascal Husting a l’air très content de lui (une vraie vedette), et là je parle de lui et de lui seul, pas des militants de Greenpeace qui se bougent contre le nucléaire, mais lui le Directeur général de Greenpeace France, comme antinucléaire il ne vaut pas un Kopeck et la position sur le nucléaire qu’il énonce au nom de Greenpeace envoie la lutte antinucléaire (dont Greenpeace est censé être la pointe avancée) dans le mur, vers l’échec et le renoncement.
Mathias Goldstein,
pour Infonucléaire.
http://www.dissident-media.org/infonucleaire
3. La stratégie antinucléaire sans ambigüités de Greenpeace France , 5 décembre 2010, 11:10, par Chetail
Posez vous la véritable question : d’où viennent ces accusations et ces décribilisations ? Il y tout simplement des personnes infiltrés parmi les militants antinucléaires et qui lancent de fausses rumeurs. Procédés bien connus des tyrannies et potentats de toute époque. Et il existe des militants apparemment pas très futés qui créent des polémiques voire des tentatives de clache. Chercher bien et vous arriverez bien à démasquer ces espions manipulateurs.
1. La stratégie antinucléaire sans ambigüités de Greenpeace France , 5 décembre 2010, 15:19, par Infonucléaire
C’est ça, pour rire, viens chercher les "infiltrés... espions manipulateurs" chez nous.
Infonucléaire
http://www.dissident-media.org/infonucleaire
Stop Nogent
http://www.dissident-media.org/stop_nogent
4. La stratégie antinucléaire sans ambigüités de Greenpeace France , 5 décembre 2010, 19:44, par ivani
Nous allons voir si ma contribution réussit à rester sur ce site, ce serait une première…
Mon opinion est que l’enjeu n’est pas de savoir si Greenpeace est assez antinuclaire ou non : leur stratégie et leurs pratiques sont connues de longue date. L’enjeu est de savoir qui a intérêt à faire courir le bruit que Greenpeace n’est pas antinucléaire, ou que le Réseau SDN n’est plus antinucléaire depuis le départ de Stéphane Lhomme. Bref, à qui profite la rumeur ? Et puis, derrière, évidemment, qui manipule qui ? Rien que des questions intéressantes à se poser, je crois.
1. assez de complotisme ! Toute critique n’est pas du pouvoir..., 6 décembre 2010, 11:02, par R
Il faudrait toujours é"fendre l’unité et ne jamais critiqué des positions qui envois les mouvements dans une impasse sous peine d’être taxé dallié du pouvoir (nucléariste ici). Cela me désespère de lire des absurdités comme cela. Dire que le Réseau Sortir du Nucléaire ou Greenpeace sont alter-nucléaire quand il se focalise sur les énergies renouvelables ce n’est pas être nucléariste par exemple.
A lire ce livre sur ce sujet : le sensens du vent
un antinucléaire
2. Réponse à "ivani", 6 décembre 2010, 17:38, par Infonucléaire
Et pourquoi parler de rumeurs ?
Il s’agit de différences de positions (politiques) par rapport au nucléaire, et d’apprécier ce quelles impliquent...
Il n’y a aucune rumeur, chaque "participant" : Pascal Husting, Stop Nogent, les Belbéoch, Yannick Rousselet, et moi-même (Mathias Goldstein webmaster d’Infonucléaire et membre de Stop Nogent) avons clairement dit, écrit, publié, et signé nos positions.
Tous les éléments du débat sont matériellement disponibles, par exemple :
– Pour Pascal Husting Directeur général de Greenpeace France :
- « Mieux vaut prolonger les centrales qu’en construire de nouvelles », à lire sur
DirectMatin n°495.jpg
- Dans Le Monde, du 8 juillet 2009 :
« Pour Pascal Husting, directeur général de Greenpeace France, fer de lance de la lutte antinucléaire, “une grande partie des centrales pourrait être prolongée de dix, voire vingt ans”. Cela éviterait de “se lancer à corps perdu dans un renouvellement du parc qui compromettrait la mise en œuvre de vraie solution face au changement climatique”. A condition dit-il, que la décision s’inscrive dans une politique de sortie progressive du nucléaire et que les bénéfices de la prolongation soient investis dans les renouvelables et les économies d’énergie »
- Pascal Husting au congrès d’Europe Ecologie à Lyon http://www.dailymotion.com/video/xfmh6w_assises-de-lyon-12-y-defis-environnementaux_news :
à 11:45mn on voit s’exprimer ""sa radicalité"" antinucléaire de pacotille (qui revient à vouloir une sortie du nucléaire en douceur, très lente sur 30 ans, entre 2017 et 2040, après la pleine exploitation et le large amortissement économique des réacteurs d’EDF) :
Je cite :
"Une sortie du nucléaire totale et complète et rapide, sur 3 axes :
- Non prolongation de la durée de vie des centrales existantes
- Non renouvellement du parc nucléaire existant
- Arrêt de cette diplomatie nucléaire néfaste au profit d’AREVA et D’EDF..."
– Pour Yannick Rousselet relire le texte ci-dessus, faire une recherche Google, lire : le texte de Greenpeace du 8 juillet 2009.
– Pour Stop Nogent voir le bulletin n°119 et les autres bulletins sur le site Web du comité Stop Nogent-sur-Seine. Voir la Charte pour l’arrêt immédiat du nucléaire signée par le comité Stop Nogent.
– Pour les Belbéoch faire une recherche sur Google ou sur le site Infonucléaire, lire leurs livres "Tchernobyl une catastrophe", "Sortir du nucléaire c’est possible, avant la catastrophe", Tchernoblues : De la servitude volontaire à la nécessité de la servitude, voir leurs propositions.
– Pour moi (Mathias Goldstein), voir Infonucléaire sur dissident-media.org ou faire une recherche google...
Ici du côté des antinucléaires (Greenpeace, Stop Nogent, etc.) tout est clair et signé, par contre on ne peut pas en dire autant de celui qui se planque derrière le pseudo "Ivani" et qui est bien connu des adhérents des listes de discussion du Réseau Sortir du nucléaire pour avoir largement contribué à foutre la merde sur la liste "[rezo-debat]" au moment où le Réseau Sortir du nucléaire virait Stéphane Lhomme.
Donc je retourne le "compliment" au provocateur "Ivani", qui es-tu ?? et pour qui tu travailles ???
Mathias Goldstein,
pour Infonucléaire.
5. IndependentWHO attend Greenpeace France , 6 décembre 2010, 12:48, par Peillard Jean-Yves
Bonjour,
La sortie du nucléaire c’est illico presto, la raison est simple : la santé publique et la barbarie.
Le collectif independentwho n’a à ce jour que reçu le soutien de deux militants de greenpeace Suisse.
On salut le travail qui a été fait par tous mais il me semble que Greenpeace a les moyens de faire tomber définitivement l’imposture nucléaire si elle s’empare de ce volet santé. Qu’elle le fasse et qu’on en finisse ; notre vocation à tous est de disparaître parce que nous aurons obtenu gain de cause, pas vrai ?
à votre disposition :
www.independentwho.info
(et arretons de broyer du vert, c’est pas bon pour la santé.
grosses bises à Bella. B et bella C.)
6. La stratégie antinucléaire sans ambigüités de Greenpeace France , 6 décembre 2010, 17:25, par Bella Belbéoch
Droit de réponse
Yannick Rousselet « m’allume » dans son courrier à Bellaciao, il va loin dans ses accusations, je ferai même le jeu du lobby nucléaire, en attaquant Greenpeace, suite à mon article : « La stratégie “antinucléaire” et les ambiguïtés de Greenpeace France » publiée dans la lettre d’information n°119 du Comité Stop Nogent sur Seine.
http://www.dissident-media.org/stop_nogent
Dans ce texte, je cite les phrases suivantes de l’article de Jean-Michel Bezat du Monde :
Dans Le Monde, 8 juillet 2009
« Pour Pascal Husting, directeur général de Greenpeace France, fer de lance de la lutte antinucléaire, “une grande partie des centrales pourrait être prolongée de dix, voire vingt ans”. Cela éviterait “de se lancer à corps perdu dans un renouvellement du parc qui compromettrait la mise en œuvre de vraie solution face au changement climatique”. A condition dit-il, que la décision s’inscrive dans une politique de sortie progressive du nucléaire [souligné par moi].et que les bénéfices de la prolongation soient investis dans les renouvelables et les économies d’énergie ».
Oui ou non Pascal Husting a-t-il prononcé ces mots sur la prolongation de dix voire vingt ans des centrales ? Il est important de le savoir car cela implique le journaliste du Monde Jean-Michel Bezat.
S’il ne les a pas prononcées il devrait de toute urgence faire paraître un démenti dans Le Monde, et je lui ferai des excuses.
Merci de répercuter
Bella Belbéoch, 6 décembre 2010
1. La stratégie antinucléaire sans ambigüités de Greenpeace France , 6 décembre 2010, 20:02, par Laure
On commence passablement à être fatigués par vos querelles sur l’Internet.
Que des clans existent ceci est vrai (intérêts politiques, intérêts personnels, manipulations diverses, noyautages etc etc).
De réaliser un site sur l’Internet et de diffuser des informations n’autorise pas ceux qui le font d’avoir des droits de notoriétés des droits d’expression plus forts que d’autres, certains apparaissent au fur et à mesure qu’ils avancent dans leurs actions comme de bien piètres individus, la lutte contre le nucléaire n’est pas plus réservée à l’un qu’à l’autre (clan) ...
Il y a bien des militants, bien des associations qui n’utilisent pas l’internet, ce n’est pas une raison pour certains de profiter de ce moyen de communication pour s’imaginer pouvoir tout ramener à soi, c’est purement prétentieux et grotesque.
Bref, ce coup de gueule est nécessaire, tant il y a de l’abus dans toutes les manoeuvres actuelles qui visent à laisser penser que certains détiennent plus que d’autres des droits d’expression.
Le temps fera qu’effectivement bien des manipulateurs seront à découvert, et, le noyautage de certaines associations, et les subventions allouées à d’autres...etc etc
Bref, à ma connaissance Greenpeace international n’attend pas après ces subventions...au fait : connaissez-vous les actions qui ont été menées il y a déjà bien des années contre Greenpeace-France (sans parler de l’affaire du RW où le terrorisme d’Etat a démontré ce qu’il savait faire ) ?
Il serait bon de vous préoccuper des problèmes journaliers qu’ont les centrales qui arrivent en fin de vie, et pour moi une centrale PWR a une durée de fonctionnement de 30 ans, seulement de 30 ans ! L’ASN et autres... sont peu crédibles...que d’incidents étouffés...
Ce n’est pas pour autant que j’ai dénoncé ceux qui prétendent le contraire, chacun à son échelle à son niveau doit être capable de prendre ses responsabilités, car un jour ou l’autre tous les égarements se paient.
Une chose est évidente les magouilles vont bon train et les noyautages aussi, les preuves ne manquent pas.
Et bien des questions devront un jour trouver réponses...il faut laisser au temps le temps.
2. La stratégie antinucléaire sans ambigüités de Greenpeace France , 7 décembre 2010, 10:10, par Jean-Yves Peillard
"intérêts politiques, intérêts personnels, manipulations diverses, noyautages, magouilles etc etc).
L’internet... tout ramener à soi...clan... droits d’expression" hé bé Mademoiselle Laure (Noualhat ?).
L’internet est malheureusement le seul moyen le plus large que nous ayons à notre disposition pour communiquer car tout autour de nous est vérouillé (et le vérouillage d’internet est déjà commencé via les moteurs de recherche par exemple). Personne n’a d’intérêt (pas un rond, rien, nada). On discute pour remettre à jour les fondamentaux : La sortie du nuc illico presto et l’accès au grand média comme Libé par exemple pour dénoncer l’imposture nucléaire et ceci tous les jours vu le mal qui a été fait avec la propagande depuis la maternelle.
Ce n’est pas tout ramener à soi mais tout ramener à eux, ceux qui luttent et ceux qui souffrent. Il faut toujours discuter entre amis, le fait de remuer la boue est le principale moyen de décantation, alors on discute et on redemande à Greenpeace France de confirmer son soutien au volet santé qui permettra de faire effondrer cette barbarie et son soutien à sortir illico presto de ce merdier infâme cadeau d’énarques et polytechniciens.
A part cela, en attendant meilleur tribune, vous avez le bonjour du clan ou de la secte des objecteurs de croissance.
Bien à vous.
Bisous
"laisser au temps le temps" non mais je rêve...