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Le PS, les présidents de fac, le gouvernement et le marché...
Publie le jeudi 29 novembre 2007 par Open-Publishing2 commentaires
Le parti socialiste tendance sociale-démocrate, qui adhère parfaitement à l’économie de marché est dans la place. Les "méchants bloqueurs" selon la gauche caviar comme de la droite sont anti-démocratiques et refusent tout débat. Or les étudiants grévistes veulent justement du débat, des échanges d’idées, des concertations démocratiques du plus grand nombre !
le pb c’est que tout est fait de la part des médias, gouvernement, administrations de fac pour qu’il n’y est pas de débat... le PS, via l’UNEF je pense que c’est clair est d’accord avec la LRU !
Elle est belle leur démocratie, rappelons-nous du non au Traité Constitutionnel Européen, rejet social et non nationaliste des français en général. Alors que la majorité a voté contre, aujourd’hui on oublie le passé, les consultations populaires et on prétend faire passer le mini traité européen (même programme que le grand frère) comme ça, l’air de rien, ahh quelle est jolie votre démocratie !
Droite - Gauche caviar, même combat, libéralisons privatisons allez tous ensemble !
FAUT PAS S’ETONNER QUE LE PS SOIT EN CHUTE LIBRE... !
Oui à une vraie démocratie, directe, participative (pas à la Sego), au débat dans les facultés et partout ailleurs, à une implication de toutes et tous ! !
Messages
1. Le PS, les présidents de fac, le gouvernement et le marché..., 29 novembre 2007, 16:53
Oui !
Et commençons par faire respecter VRAIMENT la voix du peuple exprimée les 28 et 29 mai 2005 !
C’est une question cruciale. Il n’y a RIEN à négocier sur ce sujet. Il ne devrait même pas y avoir à revoter ! Il y a juste à ce que les Républicains, PS compris, fassent blocage au Parlement.
Pour toutes les luttes en cours et à venir.
Nous avons déjà un genou à terre - il ne faut pas y mettre le second.
1. Le PS, les présidents de fac, le gouvernement et le marché..., 29 novembre 2007, 22:06
Faut pas se faire d’illusions sur le PS qui veut à tout prix, comme Sarko, que le traité de Lisbonne soit adopté.
Il faudrait en effet que 2/5 des membres du Parlement votent contre la révision constitutionnelle pour que la ratification parlementaire soit abandonnée.
Or compte-tenu de la composition de l’Assemblée nationale UMP et PS ont plus de 500 sièges.
Seuls les députés communistes et quelques individualités socialistes voteront contre.
Des députés socialistes pourraient même se permettre le luxe de s’abstenir, ou de refuser de participer au vote, ce qui revient au vote oui puisque ça laisse passer la révision.
Bien entendu on peut toujours faire pression sur les députés socialistes, là où il y en a, dans leur circonscription.
Pour le Sénat je ne connais pas exactement le nombre de sièges mais je pense que c’est à peu près la même proportion.