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Le chant des partisans :

Publie le vendredi 30 mars 2007 par Open-Publishing
2 commentaires

2è couplet :
 
Montez de la mine, descendez des collines, camarades.
Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades.
Ohé les tueurs, à la balle et au couteau, tuez vite.
Ohé, saboteur, attention à ton fardeau, dynamite.
 
Autres extraits :
 
C’est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères,
La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère…
(…) etc.
 
Demain du sang noir sèchera au grand soleil sur les routes…
Sifflez, compagnons, dans la nuit, la liberté nous écoutent.

Beaucoup moins violent que la Marseillaise !…

Mais tout simplement quand il s’agit de répondre aux crimes comment faisons-nous ?

Messages

  • Tout à fait d’accord !

    De toutes façons, devons-nous avoir honte de la révolution française et du chant de l’armée du Rhin qui accompagnait des soldats en lutte contre l’invasion des monarchie réactionnaires ?

    Par contre il est vrai qu’insister aujourd’hui sur la Marseillaise n’est pas innocent.
    Pour l’extrême droite, le "sang impur", aujourd’hui, n’est certes pas celui des mercenaires armés par les monarchies.

    Donc, l’insistance de Ségo sur la Marseillaise est, plus ou moins, un signe amical adressé aux lepénistes.

    Malgré tout, pas question d’avoir honte de ce chant, popularisé par les Marseillais montant à pied et à cheval sur Paris pour défendre la révolution.

    JPB

  • "Ce soir l’ennemi connaitra le prix du sang et des larmes" toutes les chansons révolutionnaires ne peuvent pas être tendre. Le dernier couplet d’une chanson révolutionnaire qui s’appelle La jeune garde :

    Nous n’voulons plus de guerre
    Car nous aimons l’humanité.
    Tous les hommes sont nos frères,
    Nous clamons la fraternité.
    La République universelle.
    Empereurs et rois, tous au tombeau.
    Tant pis si la lutte est cruelle.
    Après la pluie, le temps est beau.

    Ce dernier couplet résume bien l’état d’esprit des révolutionnaire, ce ne sont pas des barbares assoifés de sang juste des personnes qui ont décidés d’en finir avec l’oppression.